Salut,
Oui, ça fait peur plutôt.
Quelle époque sombre du cyclisme,,, et 98 allait arriver.
Aujourd’hui c’est plus fin, plus subtil, mais je ne pense pas que le dopage ne soit moins présent....
Après, je lis à droite et gauche que certains jeunes français présentent un profil, un potentiel physique énorme (VO2m) mais curieusement ils ne semblent pas être approche par les supers teams mondiaux,,,,, et pour l’instant, explosent pas comme d’autres jeunes recrutés et « préparés » par ces fameux top teams.
Après, pour être objectif, je trouve que la logique est un peu plus respectée par rapport aux années 90-2000, années où les vieux briscards (30-35 voire plus) étaient majoritaires dans les milieux et sur les podiums,,, à l’encontre des règles physiologiques... Aujourd’hui à part certains vétérans, dont notre champion du monde, la plupart des vainquéurs sont des garçons de la tranche 25-30 ans, correspondant à la pleine force de l’age,,,, sans pour autant garantir une pratique sans dopage. Mais, jusqu’a preuve du contraire, la jeune génération fait peu parler d’elle sur ce sujet la,,, pourvu que ça dure.
Enfin, que je n’aime pas ces entraînements, stages, préparations effectués dans des contrées éloignées ou les contrôles sont délicats à réaliser et où les directeurs sportifs nous répètent que du bon boulot a été fait par leurs coureurs. Ça me rappelle Armstrong que l’on citait en exemple parqcequ’il reconnaissait toutes les étapes du tours, plaçait la technique et plaçait l’entrainement Comme étant à l’origine de sa réussite, on sait ce qu’il en était.
Tout comme, je suis méfiant sur les teams qui surclassent les autres, comment justifier tant de différence avec des potentiels somme toute très similaires à quelques exceptions près, celles des champions.
Vivement les premiers résultats de l’enquete En Autriche pour en savoir plus sur les pratiques dopantes, celles qui passent au travers d3 contrôles.
Ciao