onlinetri.com

Bonjour,

comme tous les ans quand arrive l'hiver on veut améliorer notre nat
alors en regardant de plus près, j'ai trouvé ça

http://www.les3sports.com/html/index.ph ... orie2=3840

qq a-t'il déjà utilisé ces différents matos et quels retours ???

je précise que mon plus soucis est la prise d'appui
le fin de la poussée est bonne

merci
sportivement

Salut,

J'ai utilisé les paddle FINIS, ce sont pour moi, qui suis contre les achats inutiles, un accessoire très pratique pour travailler la force de pousser et la posture de ta main. Je m'explique, si tu rentre ta main de travers, tu perd tes maintien, si tu travaille a pousser ta main jusqu'au bout (derrière cuisse), tu sens que cela te pousse un peu plus et te permet de mieux glisser.

J'ai participé au stage de perfectionnement natation de Guy Hemmerlin, un accesoire à été acheté inutilement (anti-paddle) mais pour le reste très pratique en entrainement. Excepté les paddle FINIS qui sont très bien faites, je pense que le reste peut être acheté chez D4...

Le meilleur investissement pour moi cet année a été de perdre mon pull-buoy ........................et d'avoir eu la flemme d'en racheter un

Progrès garantis

Des petites plaquettes de doigts à 6€ : si tu rentres mal la main, elles tournent. Utilisable dans les quatre nages
http://www.nataquashop.com/Plan_du_site ... EN,ip=1468

Bonjour!
Je pense que le matos est utile, à partir du moment où le travail qu'il nous fait produire amène des progrès sans blessure. Le matos aide à varier les entraînements, et motive les moins aquatiques d'entre nous. Il faut juste ne pas en devenir esclave ou dépendant: le matos doit rester un outil de travail visant à faire travailler dans des registres bien précis, et non pas devenir une aide indispensable, comme c'est le cas de certains "pullo-dépendants".
Se souvenir aussi que le matos ne remplace pas l'apprentissage, la technique, les bornes, l'oeil et les conseils du coach.
A+!

bien sûr, il ne faut pas être dépendant

mais un eu de matos ne peut pas faire de mal et c'est dans ce sens que j'avais posté
donc je retiens les paddle finis et pourquoi pas les plaq de doigts

merci

Frank a écrit :Bonjour!
Je pense que le matos est utile, à partir du moment où le travail qu'il nous fait produire amène des progrès sans blessure. Le matos aide à varier les entraînements, et motive les moins aquatiques d'entre nous. Il faut juste ne pas en devenir esclave ou dépendant: le matos doit rester un outil de travail visant à faire travailler dans des registres bien précis, et non pas devenir une aide indispensable, comme c'est le cas de certains "pullo-dépendants".
Se souvenir aussi que le matos ne remplace pas l'apprentissage, la technique, les bornes, l'oeil et les conseils du coach.
A+!

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens visé là...
C'est probablement qu'il y a une raison...

d;-)

Fabreizhad Triathlon a écrit :

Frank a écrit :Bonjour!
Je pense que le matos est utile, à partir du moment où le travail qu'il nous fait produire amène des progrès sans blessure. Le matos aide à varier les entraînements, et motive les moins aquatiques d'entre nous. Il faut juste ne pas en devenir esclave ou dépendant: le matos doit rester un outil de travail visant à faire travailler dans des registres bien précis, et non pas devenir une aide indispensable, comme c'est le cas de certains "pullo-dépendants".
Se souvenir aussi que le matos ne remplace pas l'apprentissage, la technique, les bornes, l'oeil et les conseils du coach.
A+!

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens visé là...
C'est probablement qu'il y a une raison...

d;-)

Bonjour!
Je ne sais pas si tu es concerné, mais certains triathlètes sont reconnaissables de loin dans les piscines: pull d'entrée de jeu entre les cuisses, place qu'il ne quittera qu'en fin de séance, et paddles format A3. Et c'est parti pour 2000m à allure régulière, appuis croisés, amplitude insuffisante, équilibre perfectible, gainage d'anguille et semi-battement parce que pull aux cuisses. Du grand art.
Au bout d'une heure, sortie de l'eau triomphante, avec la satisfaction d'une séance productive et bien menée, devant les mamies ébahies par ce grand costaud au bronzage partiel avançant dans l'eau moins vite qu'un minime en école de natation. Un coup d'oeil ostensible sur son GPS au poignet lui confirme qu'il a effectivement nagé plus vite que les mamies en question.
Un clin d'oeil amical amical au MNS de surveillance -c'est une connaissance qu'il voit souvent, mais rien à foutre de ses conseils, ce con ne connaît rien en triathlon- puis, une fois l'essuyage en serviette microfibres achevé, le triathlète se dirige vers les vestiaires, auréolé de gloire, puisant sa force dans le mythe d'Hawaï, drapé dans sa dignité que des abrutis de non-initiés qualifieraient de suffisance.
C'est bien sûr une caricature, mais j'aime bien.
A+!

Frank a écrit :

Fabreizhad Triathlon a écrit :

Frank a écrit :Bonjour!
Je pense que le matos est utile, à partir du moment où le travail qu'il nous fait produire amène des progrès sans blessure. Le matos aide à varier les entraînements, et motive les moins aquatiques d'entre nous. Il faut juste ne pas en devenir esclave ou dépendant: le matos doit rester un outil de travail visant à faire travailler dans des registres bien précis, et non pas devenir une aide indispensable, comme c'est le cas de certains "pullo-dépendants".
Se souvenir aussi que le matos ne remplace pas l'apprentissage, la technique, les bornes, l'oeil et les conseils du coach.
A+!

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens visé là...
C'est probablement qu'il y a une raison...

d;-)

Bonjour!
Je ne sais pas si tu es concerné, mais certains triathlètes sont reconnaissables de loin dans les piscines: pull d'entrée de jeu entre les cuisses, place qu'il ne quittera qu'en fin de séance, et paddles format A3. Et c'est parti pour 2000m à allure régulière, appuis croisés, amplitude insuffisante, équilibre perfectible, gainage d'anguille et semi-battement parce que pull aux cuisses. Du grand art.
Au bout d'une heure, sortie de l'eau triomphante, avec la satisfaction d'une séance productive et bien menée, devant les mamies ébahies par ce grand costaud au bronzage partiel avançant dans l'eau moins vite qu'un minime en école de natation. Un coup d'oeil ostensible sur son GPS au poignet lui confirme qu'il a effectivement nagé plus vite que les mamies en question.
Un clin d'oeil amical amical au MNS de surveillance -c'est une connaissance qu'il voit souvent, mais rien à foutre de ses conseils, ce con ne connaît rien en triathlon- puis, une fois l'essuyage en serviette microfibres achevé, le triathlète se dirige vers les vestiaires, auréolé de gloire, puisant sa force dans le mythe d'Hawaï, drapé dans sa dignité que des abrutis de non-initiés qualifieraient de suffisance.
C'est bien sûr une caricature, mais j'aime bien.
A+!

T'as oublié de dire qu'il nageait sur l'heure du midi, donc quand il retourne au boulot l'après-midi après la pause-déjeuner il passe pour un héros auprès de ses collègues de boulot et ce malin avec ses 1'45 au 100 M NL se la pète quand même un petit peu.

Frank a écrit :Bonjour!
Je ne sais pas si tu es concerné, mais certains triathlètes sont reconnaissables de loin dans les piscines: pull d'entrée de jeu entre les cuisses, place qu'il ne quittera qu'en fin de séance, et paddles format A3. Et c'est parti pour 2000m à allure régulière, appuis croisés, amplitude insuffisante, équilibre perfectible, gainage d'anguille et semi-battement parce que pull aux cuisses. Du grand art.
Au bout d'une heure, sortie de l'eau triomphante, avec la satisfaction d'une séance productive et bien menée, devant les mamies ébahies par ce grand costaud au bronzage partiel avançant dans l'eau moins vite qu'un minime en école de natation. Un coup d'oeil ostensible sur son GPS au poignet lui confirme qu'il a effectivement nagé plus vite que les mamies en question.
Un clin d'oeil amical amical au MNS de surveillance -c'est une connaissance qu'il voit souvent, mais rien à foutre de ses conseils, ce con ne connaît rien en triathlon- puis, une fois l'essuyage en serviette microfibres achevé, le triathlète se dirige vers les vestiaires, auréolé de gloire, puisant sa force dans le mythe d'Hawaï, drapé dans sa dignité que des abrutis de non-initiés qualifieraient de suffisance.
C'est bien sûr une caricature, mais j'aime bien.
A+!

tribuddy a écrit :T'as oublié de dire qu'il nageait sur l'heure du midi, donc quand il retourne au boulot l'après-midi après la pause-déjeuner il passe pour un héros auprès de ses collègues de boulot et ce malin avec ses 1'45 au 100 M NL se la pète quand même un petit peu.

Merci les gars parce que là, je ne me sens plus du tout visé...

d;-)

Le matériel le plus utile est, je pense, le tuba frontal.
Malheureusement il est souvent délaissé au profit des plaquettes alors que c'est vraiment un bon accessoire qui permet de se concentrer sur le mouvement propulsif et de le modifier.

Les anti-plaquettes, c'est bien mais il faut déjà avoir un très bon niveau technique pour en tirer profit. En plus, le coût est quand même très important pour une utilisation occasionnelle.