corima puma

Du vélo, aux lunettes de piscine en passant par les runnings pour parler matos c'est ici que ça se passe! Attention pas de petites annonces ou d'annonces commerciales ici (voir plus bas les forums dédiés à cela).
SWU
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Message non lu par SWU »

Sur les parcours avec bosses (embrun...)

:lol:
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Copste
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Message non lu par Copste »

Intéressant, enrichissant, étonnant... j'ai hâte de lire les futurs posts de Richie !! :wink:
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coyotte90
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Message non lu par coyotte90 »

Nice 1993

Corima + manta

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" Personne ne sait qui il est avant d'avoir été mis à l'épreuve... "
Turtel man
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Message non lu par Turtel man »

Salut à tous,

J'ai moi même eu un Puma mais version piste = une vrai bombe (quand on a les jambes)
Ceci dit je me pose la question de la rigidité sur route (un vrai bout de bois la version piste)
Pour la fiabilité RAS, mon vélo avait été celui de Frederic Magné et il n'a jamais eu le moindre signe de faiblesse.
J'ai également un cintre corima carbone (dénomé Manta à l'époque) qui avait apartenu à thierry marie et pareil, aucun souci avec.

Bonne journée

A+
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Richie
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corima puma

Message non lu par Richie »

Hum, je n’avais pas compris que c’était pour rire.
Je ne comprenais pas, car c’était « impossible » que j’ai fait cela.
Si je n’aime pas la « tricherie » (quelque soient ses formes et les sportifs sont très inventifs), je n’aime pas non plus l’injustice, donc j’aurais plaider (déformation professionnelle….) la bonne foi, l’absence « d’infraction » au règlement le parcours ayant été effectué.

Caniel (j’avais mon KG 196 bleu), cela fut une galère en vélo avec mes déraillements et les difficultés de passer sur le 42 (je pensais que le parcours était plat et j’avais pris mes Harmonic : grosse erreur, vue la bosse proposée). Au final, bien placé je crois (bien couru, assez « énervé », contre mes Harmonic une fois de plus). Mais bon, je crois avoir trouvé la solution pour ne plus avoir de problème, à considérer que le revêtement soit bon.

Pour le gain, 0.5 km/h, dans l’Alpe vue la distance et le temps qu’on met pour monter, cela fait beaucoup en temps au final. Devant, moi, le 9ème est à 5 secondes.
Sur 180 km et un parcours comme Embrun, il y a le « gain pur » de vitesse + l’économie d’énergie (pour le marathon) + le changement sensations (avec un vélo de 7 kg, j’ai « l’impression » de ne pas forcer : meilleure gestion de l’effort).
D’autant que l’écart de poids est je pense de 1,5 kg minimum, car si mon vélo doit bien peser dans les 9 kg (ma roue « légère » (relatif) a le roulement cassé depuis la dernière marmotte), ceux des meilleurs temps doivent avoisiner les 7 kg : Bh, Scott Cr1 avec des roues légères : Zipp…

Concernant le poids, c’est 84 kg ! (je parais si mince que cela ? ? ?) pour 1 M 90-91.
Mais là, c’est moi qui doit perdre du poids.

La formule, les formules magiques, quelles sont-elles pour obtenir ce résultat ?

Sinon, comme annoncé, voici un petit topo sur le Corima Puma et quelques unes de mes galères (assez long, prévoir du café, du thé, et selon l’heure, pas besoin de tisane pour s’endormir).

Ames sensibles s’abstenir, vous risquez de cogiter en voyant une poussette, un chien, un pigeon ou tout simplement une voiture garée (…) !

Le Corima PUMA est un excellent vélo, sinon, je ne l’utiliserais plus.
J’ai un Vitus ZX1 au look lui aussi intemporel, mais hum, il est complètement dépassé : lourd, mal équilibré… « trop » handicapant au final.
Le Puma est très polyvalent comme déjà indiqué et a surtout pour qualité première un bon confort.
A l’inverse, le Look KG 196 est beaucoup moins confortable et rude à mener (une fois lancé par contre, il fonce).
L’inconfort du KG tient pour l’essentiel, je pense à l’ensemble direction / fourche intégrée unique au monde toujours utilisée 15 ans après sa conception (BMC sur son cadre CLM au prix démesuré, a repris le concept). Ce « défaut » a pour qualité une rigidité absolue de l’avant du vélo, ce qui est « génial » en tri, avec les positions avancées, mais aussi en descente pour la précision des trajectoires.
A l’inverse chez Corima, par rapport au Cougar (version piste), le but n’était pas de créer un vélo ultra rigide. Il l’est, mais ne l’est pas autant qu’ils auraient pu le faire.
Ils avaient intégré du Kevlar pour ajouter du confort (certaines marques ont utilisé du Vectran et Time utilise actuellement le Vibratex : polyamides dans le carbone).
Ainsi, rigide et doté d’un excellent confort, il est utilisable surtout les terrains, car comme je l’ai déjà indiqué, il « monte bien » (sa forme sûrement).
Cependant, c’est au train (je monte généralement assis) qu’il se montre le plus efficace et dans les 15 / 17 km/h (comme lors du triathlon de l’Alpe d’Huez), donc je ne suis pas certain que beaucoup y arrive dans un col.
Au niveau du rendement sur le plat, il est excellent quelques soient les roues, mais dès lors qu’il est équipé d’une paire de roues à bâtons (j’ai des 3G Mavic et Corima), il se montre ultra performant. Il est « transformé » (c’est magique), à l’inverse du KG, qui étant une « planche » quelques soient les roues, je ne vois pas de réelle différence.
Le Corima PUMA est donc un vélo « caméléon » !
Corima aurait pu donc l’appeler « Caméléon ».

Cependant, par rapport au post de départ, je déconseille son achat à l’heure actuelle, si l’acheteur en fait son seul vélo de triathlon. Cela ne serait pas un choix raisonnable.

Comme indiqué précédemment, quelques soient ses qualités mécaniques, le surplus de poids est patent, et il n’y a rien à faire contre cela. 800 grs minimum sur le seul cadre et fourche par rapport à un vélo dernier cri (Giant, Cervélo, Scott…). En effet, outre le surplus de poids du cadre, il faut prendre en compte que l’évolution des fourches ultra légères se fait essentiellement sur le 1’’1/8 et non sur les 1’’ (diamètre du Corima). Difficile de trouver une fourche d’1’’ à moins de 400 grammes alors que le 1’’1/8 sont à moins de 300 grs, pour les plus légères (Easton EC 90 SLX).
Si sur le plat, on va dire que c’est moins important, ce sont quand même des watts à dépenser en plus pour l’emmener. Quant aux bosses, je n’en parle même pas !
Donc, cela ne serait pas un choix « raisonnable ».

En revanche, si c’est pour l’avoir en plus de son vélo de course, là OK, il est « solide » ( ! ! ! j’en ai un qui doit avoir 14 ans), possède un « design » intemporel…
Bref, c’est un bon investissement, au regard des prix actuels constatés dans les annonces.

Pour la petite histoire, à Lanzarote cette année, j’ai été « mandaté » par un ami triathlète Italien de lui en trouver un.
Il ne le connaissait pas et était en « admiration » devant son look.
Je lui ai indiqué ce que je viens de vous dire, et ce n’est pas un problème, il a déjà 2 vélos.
De passage en France, il a fait un petit détour à Loriol chez Corima !

En résumé, il aurait fallu que Corima fasse subir une cure d’amaigrissement au Puma pour qu’il soit un choix efficient en 2006, la forme étant « géniale » tant esthétiquement, que dans ses aspects mécaniques.
L’évolution qu’a subi le Puma (boîtier de direction « creusé » et bases asymétriques : à partir des versions bicolores : version que j’aurai à Embrun) a été insuffisante. A priori, désormais, ils ne vont garder que l’activité des cadres « piste ».
Même délocalisée, leur production ne serait pas rentable semble t-il.
Il leur faudrait de gros volumes pour pouvoir « négocier » une qualité de fabrication irréprochable et comme ils n’ont jamais fait de gros volumes et n’en feraient sans doute pas plus actuellement, à priori, le Puma restera le modèle de « référence » route avec le Fox (il y avait un modèle Viper aussi : carbone, mais pas monocoque et dont la fabrication était sous-traitée).
Du moins, c’est la raison que l’on m’a rapporté : le coût de production.

Pour ma part, en l’utilisant, je sais que je peux gagner par la suite du temps et économiser de l’énergie pour la C.A.P. (quand je le déciderai) en changeant simplement de vélo (un vélo à – de 7 kg), du fait du simple gain de poids.
Ce « choix » semble « bizarre » ?
Vous vous dites, il est pas « net », il est « fou », il part avec un handicap ?

Quand vous lirez la suite, vous comprendrez, que le lien entre « triathlon et performance » a disparu pour moi en 1999-2000, voire en 1995 avec le début de ma périostite.
Le préalable au changement de vélo, c’est d’abord revenir à un niveau de natation que j’avais et surtout pouvoir plus courir à l’entraînement (15 à 20’ / jour, c’est plutôt léger pour un marathon).

Au final, le changement de vélo pour moi, c’est donc un gain potentiel important et donc une « progression » certaine, donc au final une « clé » dans ma motivation intacte.
Je serais intarissable sur le rôle de la « motivation » et la part de « psychologie » dans la performance, mais bon, je crois que cela n’est pas le sujet (la psychologie fait partie de mes hobbies). Toujours est-il qu’avoir une marge de progression importante sur certains parcours, du seul fait de changement de matériel, c’est « bon » pour le moral.

Pour l’heure, je roule sur des vélos que j’apprécie au regard du stock que j’ai : 25 cadres route pour une trentaine au total). Des choix « objectifs » car des vélos achetés, pas chers d’occasion, mais dont je savais qu’ils ne perdraient pas leurs qualités mécaniques : monocoques pour la plupart). Donc, si je roule en course sur un KG 196, un Corima Puma, un Time Helix (et feu mon Centurion : http://www.onlinetri.com/photoIndex/pho ... g&start=22 ),
c’est que je les trouve « bien » (sous réserve des éléments ci-dessus). Pour Hawai, j’ai déjà « le » vélo (FOX 650 de Corima), reste plus que la qualification à décrocher (argh !).

Quant aux galères qui font dire à certains d’un air amusé et pour se réconforter eux mêmes, en se disant que je suis un « habitué » de la chose « j’ai fait une Massaud » (en cassant une pièce, en chutant…), afin de clarifier les choses (je suis un peu étonné de constater par les post que mes galères s’échangent à ce point) et peut-être rétablir des faits déformés, voici quelques éléments qui font que la qualification d’un « fait » par autrui est parfois « fausse » (je fais allusion à l’utilisation du terme « ridicule »), quand on ne connaît pas les raisons premières aux « faits » interprétés.

Pour commencer, concernant mes braquets à Embrun, il semble qu’il y ait un concours de circonstances malheureux pour moi, qui ait contribué à créer un « malentendu » pour les observateurs, même « avertis ».

En 2002 après déjà deux abandons à Embrun sur des galères (en 2001, déjantage dans la descente de l’Izoard suite à une détérioration de mes jantes carbones et abandon / 2000 : crevaison à la sortie du parc vélo (valve qui fuyait comme C. Bastie à Cambrai) et réparation de mon boyau foirée : boyau de rechange « explosé » au montage avec la CO2 : pas de manomètre à cette époque sur les kits CO2 ! Abandon après 4 km de natation : des bénévoles m’en parlent encore, « c’est pas vous avec votre roue… »), je suis arrivé avec une cassette ergal TA Kheops 11/26 en 8 vitesses et une paire de plateaux HARMONIC 54*42, des roues alu à pneus, bref théoriquement bien équipé.
Du matos « top » et cher (plateaux Harmonic…) !

Deux jours avant la course dans la montée des puits en passant du 54 au 42, mes plateaux se sont complètement tordus au point que le petit plateau touchait le cadre. J’ai du redescendre les jambes pendantes. Mes plateaux devaient avoir 150 km et étaient « morts ».
Obligé de changer de « mécaniquer » donc, sur place.
Bon, pas grave, je me disais, il valait mieux que cela arrive 2 jours avant, que le jour de la course.
Seulement le jour de la course, au bout de seulement 15 kilomètres, je n’avais plus que 4 pignons utilisables : les 11 / 12 , 23 et 26.
Ma charmante cassette (pignon à 15 euros au détail) que j’avais constitué en devant faire 3 magasins était semble t-il biodégradable. Je l’avais achetée en 1999 et n’avais fait que 2 courses avec (Nice) et déjà car des pignons semblaient usés, je les avais remplacés. Les pignons achetés neufs dans les 3 magasins étaient vraiment des pignons « restants » et devaient être là depuis 3 ans. Je n’ai jamais vu cela, des pignons aussi fragiles et inutilisables à peine utilisés (le problème c’est que l’usure ne doit pas commencer au bout d’une vingtaine de kilomètres). Toujours est-il que j’ai du faire le parcours avec ces 4 pignons dont 2 (11 et 12) n’étaient pas de la Kheops (des Shimano) et ont tenu. J’ai donc du faire toutes les parties avec des faux plats montants et bosses courtes avec le 53*12 à la place d’un 16 ou 18, le croisement du 53*23 étant impossible.
Une bonne séance de musculation, mais la pire galère vécue, car perturbant de se « flinguer » les jambes (en sachant de plus qu’on est en dessous de la vitesse optimum avec le braquet adapté) là où il n’y aurait du jamais y avoir de problème et cela à cause de pignons hors de prix et « biodégradables ».
Toujours est-il que ce jour là, à me voir pédaler, dans certains passages, notamment après Briançon, je devais être par endroit à 40 / 60 tours minutes, mais en fait je suis toujours passé sans encombre, à ma grande surprise, merci au Puma ! J’ai poussé mon vélo au maximum : cadre, cintre, chaîne (…) et tout a tenu.
C’était donc « exceptionnel » et non dépendant de ma volonté.
Sinon, c’est vrai que je tire plutôt gros, mais c’est par ce que j’en ai la capacité, c’est tout et d’autres tirent plus gros encore.
A Lanzarote, les 3 meilleurs temps vélos sont signés par des triathlètes ayant des plateaux de 58, et avec des roues de 700, pas du 650 ! (j’ai regardé ce qu’ils avaient dans le parc à vélos cette année et apparemment ils marchent avec une logique de watts : équipés avec le système ERGOMO).

Pour en revenir à mes problèmes de pignons, j’avais fini le vélo 6ème, je crois, mais complètement vidé « nerveusement » après avoir passé mon temps à tirer des braquets trop gros et « pesté », en ayant peur en plus de ne pas pouvoir finir si le 23 ou 26 venaient à se dégrader, au regard de la dernière bosse (Chalvet). Ils ont tenu bien que « craquants » quelque peu.
A pied, j’avais arrêté après un tour sans être vraiment fracassé, car je savais que j’avais perdu du temps « bêtement » et cela me perturbait fortement (1), que j’avais des jambes incroyables ce jour là en vélo (2), que du coup engagé à Zofingen quelques semaines après (3), je pourrai faire un super truc (4).
En fait, à Zofingen, j’ai fini 13ème après une hypoglycémie dans les 20 derniers km vélo et après avoir eu des crampes sur les 50 1ers kilomètres (effet des 10 1ers km à pied pas faciles). Je ne parle pas du parcours à pied d’enfer peu favorable à mon gabarit, sur les 30 derniers km, pour finir (à ce propos, Zofingen, c’est une super épreuve excellemment organisée avec de superbes paysages : une épreuve que je recommande vivement !).
Bref, au final, je me dis « quel con » d’avoir abandonné à Embrun cette année là.
Manque de lucidité, le fait d’être bien à Embrun, ne pouvait pas me garantir un « bon jour » à Zofingen. Mais bon, l’histoire des pignons m’avait complètement vidé « nerveusement » et je devais avoir mes neurones qui tournaient au ralenti, à cause de la fatigue.
Comme quoi, il vaut mieux finir même « mal classé » quand on peut vraiment finir (17ème en 2005 avec des problèmes gastriques sur le marathon, sans vraiment pouvoir courir) et 9ème en 2004 (pas de problème cette année là).

Pour ma chute dans le dernier virage à Embrun, elle tient en plusieurs facteurs :

 1ère raison importante : 2003, c’est l’année de la canicule et donc de l’absence de pluie sur Embrun, sauf que le 15 août une quinzaine de minutes avant que je ne débarque dans le virage, il a fait une petite averse au niveau du lac (je l’ai su après par mes parents qui étaient dans le virage : j’ai une photo de ma trajectoire avant…la chute !). La pluie sur un sol asséché donne du « gras », ce qui est un 1er problème.
 2ème raison importante : je n’ai pas eu de pluie et je n’ai pas su qu’il avait plu. Un arbitre était semble t-il passé quelques minutes avant pour dire aux bénévoles de prévenir que cela glissait, mais on ne m’a rien dit.
 3ème raison importante : dans ce virage, il y a plein de marquages au sol divers et variés. On m’a toujours dit en vélo, il faut éviter les lignes blanches, les marquages au sol (…), même s’il ne pleut pas. J’ai donc fait attention en bon élève et « visé » dans ma trajectoire une zone sans marquage. Sauf, qu’à cet endroit il y a des « carrés » traités je pense initialement pour recevoir des « carrés blancs » de stop au sol. La surface traitée sur laquelle devait être positionnée le blanc est très glissante (il suffit de passer sa semelle de chaussure pour s’en convaincre : le goudron est « chauffé » et lissé). C’est là dessus que ma roue avant a dérapé. Chaque année depuis, je regarde s’ils sont toujours là et ils y étaient encore l’année dernière.
 4ème raison importante : quand il doit y avoir un problème susceptible de se répéter lié à un imprévu, il faut toujours un « dindon de la farce », et je suis généralement celui là. Après mon passage, les gens disaient de faire attention et que cela glissait, donc ma chute a évité que d’autre ne se vautrent !

Des facteurs aggravants qui en l’espèce n’ont guère eu d’incidence, mais qui peuvent occasionner des chutes pour moi :

 Facteur aggravant 1 : je suis légèrement myope (myopie estudiantine, pas myope avant d’arriver en Fac) et cela fait mauvais ménage avec le vélo (chutes de Zulle « légendaires »). En l’espèce, j’avais bien visé et pris la trajectoire que je pensais bonne.
 Facteur aggravant 2 : Je transpire fortement d’où le bandeau, mais même avec mes lunettes après 6 heures de vélo, c’est plutôt le brouillard sur Londres. Je n’ai sûrement pas vu qu’il y avait des flaques d’eau par endroit, à défaut de voir le sol détrempé, car déjà « sec ».
 Facteur aggravant 3 : je suis positionné très en avant sur mon vélo et cela crée une forte sensibilité au niveau du pilotage et accroît le risque de chute (j’ai pu m’en apercevoir avec deux autres gamelles). Cela a pu jouer ce jour là, en accentuant la pression au sol.
 Facteur aggravant 4 : contrairement sans doute à ceux qui m’ont précédé (Neveu, Martinez, Reboul, Bringer, Biteaud), je devais descendre du vélo avec mes chaussures vélo. On m’a dit que j’arrivais plus vite qu’eux, ce qui tend à montrer qu’ils avaient du amorcer leur phase de déchaussage juste avant le virage. A peu près certain que j’arrivais plus vite dans le virage.
 Facteur aggravant 5 : de toute façon, au regard de mon gabarit (84 kg) et de leurs gabarits, je suis obligé de plus freiner. Cela a du jouer aussi.

Donc voilà, même si à eux seuls les carrés traités sont la « cause » de ma chute, d’autres facteurs se sont additionnés, dans le cadre de cette chute « ridicule » au final.
Pour ma part, je croyais « bien faire » comme souvent en visant une trajectoire hors marquage, comme souvent (achat de la cassette Kheops, plateaux Harmonic, jantes carbones, boyaux…) et au final, ce fut la catastrophe. Mon compteur s’est arrêté après 6H15 dans le dernier virage et moi aussi, complètement KO par terre (toute la partie droite du corps touchée de la cheville au genou, en passant par la hanche et l’épaule avec mon maillot déchiré), sans comprendre ce qui s’était passé.
Comme le dit le proverbe, « le meilleur est parfois l’ennemi du bien ».

Ce que je retire de toutes mes galères, c’est que premièrement elles sont arrivées alors que j’avais du matériel haut de gamme et plutôt coûteux, que sur certains parcours (Embrun), il faut donc du matériel costaud et que (je m’en aperçois aussi à l’entraînement) toutes les pièces d’un vélo peuvent casser à l’effort, du pignon à la vis de potence en passant par l’axe de pédalier…A priori, les nanotubes carbone vont améliorer les choses.
Donc quand je vois des cyclistes relancer en danseuse dans les descentes en sortie de virage, je trouve cela fort inopportun et dangereux.
Pour ma part sur la douzaine de cadres cassés depuis 1993 (jamais de carbone à part une fourche), je constate que le « boîtier de direction » est une zone très fragile car j’en ai cassé plus de la moitié dans cette zone (due à ma façon de pédaler sur l’avant).


Pour continuer dans les galères, la poisse, un destin sportif « contrarié » :

Le nombre de galères étant trop important, je vais citer seulement quelques faits marquants, au regard desquels, mon niveau notamment natation ne s’en est jamais remis.
Au cours de l’année 1999, j’ai enchaîné 9 chutes vélo. Mon niveau natation (je suis nageur théoriquement) a commencé à se dégrader fortement (plusieurs mois sans nager et impossible de retrouver un bon niveau depuis : la natation, c’est chronophage + problème des horaires de piscine en province).
Suite à une des 1ères chutes, j’avais une fracture du trochiter (chute dans un couloir vélo à Paris qui a failli mal se terminer car je me suis retrouvé étalé sous un grand panneau publicitaire métallique et il s’en est failli de peu que j’heurte l’arrête du bas (il y a un film avec Depardieu où il a la tête dans ce type de panneau, mais c’est du cinéma).
Alors que 3 mois après, j’avais toujours mal (août) et je ne pouvais pas nager, je me prends une portière conducteur (voiture fourgonnette, pas moyen de voir qu’un conducteur : la portière me happe au niveau de l’épaule douloureuse) : j’ai crié dès le choc, tant j’ai eu mal. Heureusement étalé par terre, la voiture derrière avait eu le temps de s’arrêter, mais j’ai su quelques jours après, qu’un cycliste était mort dans ces circonstances : portière + voiture derrière qui le heurte alors qu’il est au sol.
Pas terrible pour mon trochiter cassé, mais pas grave, à défaut de nager j’ai continué à rouler.
Ensuite, je me prends un chien + subit une nouvelle chute encore liée aux conditions climatiques.
Et deux semaines avant Nice 1999 (mon seul triathlon en 1999 avec la coupe de France à Vaulx en Velin), dans un couloir de bus, à 7 heures du matin en allant au boulot), une femme qui court et rentre avec sa poussette à fond dans le couloir de bus réservé aussi aux vélos. Au lieu de regarder à gauche (sens de la circulation), elle regardait à droite (?). Bilan, j’ai pilé, n’ai pas touché la poussette et je suis passé par dessus (j’ai aperçu le couffin). Pas terrible à nouveau pour le trochiter !
Et à Nice, en fait, après avoir vécu l’enfer dans l’eau (des mois sans nager + douleur : 119ème temps) et en montant pour la 1ère fois un col (le jeudi avant la course : le col de Vence qu’on montait sur la course), j’ai fait le 5ème temps vélo (1 Mauch 2 Le Floch 3 Muller 4 Van Lierde 5 Moi 6 Chabaud 7 Cordier 8 Neveu), avec des descentes négociées à «l’arrêt » (complètement bloqué par la peur de retomber).

Plutôt réconfortant, me direz vous (11ème au parc vélo et 8ème un court moment à pied après 2 abandons devant moi, une « meute » m’ayant passé ensuite à partir du 9éme km : Leder, Kropko…) ?
Oui, sauf, qu’au final, en redoublant un groupe sur la nationale (une quinzaine de triathlètes) qui m’avait doublé dans la dernière descente, au sein duquel il y avait Lothar Leder, Kropko (… : la « meute » qui courait vite après), et qui roulait « tranquille » en draftant sans que l’arbitre n’y trouve rien à redire, je me suis pris un carton rouge.

Motif : le groupe prenant toute la voie réservée aux triatlètes et matérialisée par des plots, j’avais du doubler à gauche des plots, personne dans le groupe ne souhaitant me laisser passer. Carton rouge immédiat et stupeur pour moi, ne comprenant pas que l’arbitre me sanctionne, voyant que je ne pouvais pas passer et qu’en plus, c’étaient les autres qui draftaient d’une part et m’empêchaient de passer. La négociation sur le vélo étant vaine et après avoir lâché le groupe, j’avais continué, me disant que je soulignerais en appel, la « tricherie » flagrante initiale (petit train) + la gêne occasionnée et volontaire.
Peine perdue, c’était l’année de l’affaire Joan King (nouvelle venue entraînée par Brett Sutton) et de son absence de boucle de pénalité qui aurait du la déclasser (seul hic, le podium avait eu lieu : elle avait été déclarée 1ère). Les arbitres étaient « colère » et moi je suis passé à la trappe, de mon appel. L’injustice totale en somme.

En 2000, les championnats du Monde à Nice, je me dis super, les qualifications pour l’équipe de France sont sur un MD à Pau au mois de mai. Pour être sélectionné, il faut faire dans les 4 1ers Français non déjà sélectionnés. Les règles sont claires et précises, sauf que le jour de la course, c’est un déluge qui s’abat sur nous : orage + grêle, des conditions extrêmes (pire qu’à Cambrai cette année). Conditions pas évidentes, surtout avec une paire de roues à bâtons 3G ! La route était blanche de grêle en haut des cols.
Je finis 7ème (4ème Français non déjà sélectionné) et normalement je rentre dans la sélection (d’autant que l’année d’avant à Nice, j’avais été performant bien que blessé de longs mois), sauf que suite aux nombreux abandons y compris chez les candidats à la sélection, il y a « repêchage » d’athlètes et je passe à la trappe encore une fois.

En 2001, grosse chute vélo toujours en allant au boulot, avec une nouvelle portière de plein fouet, cette fois passager. C’est un peu comme si j’étais rentré dans un mur à 30 km/h (perte de connaissance…sans mon casque, je ne serai plus là). Année galère liée aux conséquences directes de la chute (douleurs…) + indirectes (développement de pleins de trucs : sinusites, tension…).

Et ainsi de suite, chaque année réserve son lot de mauvaises surprises…

Sinon, au niveau météo des galères en cours, ce sont 2 chutes vélo depuis septembre dont 1 il y a 3 semaines à Longchamp (comme dans une « affaire d’hommes », film avec Trintignant et Brasseur, un cycliste qui donne un coup d’épaule à un autre en haut de la bosse de Longchamp et qui tombe alors que je suis juste derrière !) ; deux cadres vélos cassés (1 Centurion : celui que vous pouvez voir sur le site Online tri dans la galerie : photo prise à Quiberon lors de la D2 : http://www.onlinetri.com/photoIndex/pho ... g&start=22 ) ; et 1 Décathlon encore sous garantie) ; une voiture qui fait des tonneaux après m’avoir doublé (l’automobiliste devait téléphoner en conduisant et a perdu le contrôle en se rabattant : grosse frayeur, mais il s’en sort sans bobos, mais voiture de société HS) ; un boîtier de pédalier cassé ; une tentative de vol de vélo (ils étaient 4, mais je suis « fort » !) ; une crevaison dans le parc à vélo due à un défaut de chambre à air (haut de gamme) lors des Chts de France de duathlon à Cambrai (sans le retard de départ, j’aurais crevé sur la route) ; une chute sur tapis à Lanzarote ; une guêpe qui me pique à le lèvre en roulant ; le roulement arrière de roue cassé lors de la cyclo la Marmotte (impression de tracter une caravane dans les cols et dans l’Alpe d’Huez) ; une poule de ferme sur la route qui essaye de s’envoler (les poules de ferme ne peuvent pas voler) et qui est percutée par une voiture qui me double et la poule qui me frôle par ricochet… !

Donc, vous voyez, j’ai une vie trépidante, passant mon temps à éviter sur la route à l’entraînement, chiens, chats, oiseaux (1 moineau qui s’est « suicidé » un jour en heurtant ma roue avant), le gros gibier (la Somme) comme je roule souvent de nuit l’hiver, ls mauvaises rencontres. A ce propos, des « fanas » de Paint Ball m’on déjà tiré dessus et touché (si, si ! ! !) et je dois éviter les automobilistes qui arrivent en face en doublant une autre voiture et font comme si je n’existais pas (cela ressemble fort à une « mise en jeu délibérée de la vie d’autrui »). Je passe sur les portières de voiture à Paris (donc 2 à mon actif) et les changements de direction sans clignotant (nouveau sport des automobilistes Parisiens).

En fait dans ce qui semble « irrationnel », il y a toujours une part de « rationnel » (volonté de faire au mieux qui provoque la cata), et en l’espèce, si j’ai beaucoup de galères en vélo à l’entraînement, c’est tout simplement car je roule beaucoup durant l’année (34 000 km environ par an, depuis 4 ans).
Je suis donc plus exposé qu’un autre triathlète, aux joies routières hexagonales.

Cependant, en 1999, en roulant moins, j’étais vraiment dans « l’irrationnel » et la loi des séries. Et cela, c’est inexplicable : se prendre une portière de voiture, cela veut dire, être dans la fraction de seconde où il ne faut pas être.
Idem, pour la poussette, le chien, le pigeon, la poule par ricochet…

Un adage Stoicien dit : « le destin entraîne ceux qui l’acceptent, et emporte ceux qui le refusent ».
Comme quoi, il semble que le triathlon et moi, cela ne devait pas être une affaire de performance, mais plutôt rester une passion (je n’ai pas parlé d’une périostite que je traîne depuis 1995 et qui fait que je ne cours pratiquement pas à l’entraînement (tranches de 20’), d’où le volume vélo important et qui compense un peu, au final, mais seulement « un peu ».
Ce n’est pas plus mal, des triathlètes de haut niveau qui en vivent prennent leur « retraite » et coupent complètement avec le triathlon, ce qui ne sera jamais mon cas, sauf chute handicapante physiquement. Avec toutes mes mésaventures, si je n’aimais pas ce sport, j’aurais pu tout arrêter dès 2000, assez dégoûté par les « trappes »...

Voila, sinon par rapport à la citation couramment utilisée, « une horloge arrêtée qui donne l’heure deus fois par jour » (exemple d’utilisation : le livre d’Emmanuel TODD : « Après l’Empire : essai sur la décomposition du système Américain » éditions Folio page 18), cette année encore à Embrun, j’aurai mon maillot de bain Mark Allen signé Nike (bonne peau de chamois + aérations + bonne coupe) !
Pour le long, il y a pas mieux à pied que le maillot de bain et un petit débardeur flottant, comme l’a montré Al Sultan à Hawai après un long interlude.
La « mode », ça s’en va et ça revient, surtout avec le « bons sens » !

PS : voici un extrait de journal (Ouest France je crois) relatant une des éditions du triathlon de la Baule.
J’avais fait le « promotion » et à l’époque, et je nageais encore correctement (sorti avec 30 secondes d’avance sur 500 mètres avec 400 participants). Les choses se compliquèrent quand je m’aperçus que le sel et le cuir des chaussures, cela pouvait « glisser ». Mon départ chaussures sur le vélo se termina mal (je précise qu’au lieu de « virage serré », c’était juste le départ et que la chaîne avait déraillé, le cintre étant vraiment tordu, comme la chaussure partie) :

« Le matin, lors du triathlon promotion, le militaire de Coetquidan « …… » ne laissait aucune chance à ses adversaires. Le Mayennais « ….. » s’emparait de la deuxième place devant le roi de la malchance, le junior Massaud victime d’une chute de vélo dès le départ, du bris de sa chaîne, d’un guidon tordu et d’une chaussure égarée lors d’un virage négocié au plus près ».

Vous l’aurez compris, cela fait longtemps que cela dure et que les qualificatifs se ressemblent (cette fois là, j’avais remonté et fini 3ème) : malchance, poisse….

Cela devait être en 1992 ou 1993.
Ben Bright avait gagné le D.O. devant Kocar, Le Bris, Thierry Henri et le fameux Nigel Reynolds qui utilisait le Puma (pas très mécanicien dans l’âme : une fois mon père sur un triathlon avait du le dépanner en vain, son dérailleur avant étant cassé. Il avait fait le tri vallonné qui nécessitait l’utilisation du petit plateau, sur la plaque et avait gagné !).

Le titre de l’article, c’était : « Ben Bright, un grand espoir international est né ». La légende veut qu’en deux ans de natation, sous la houlette de Brett Sutton, il avait acquis le niveau de Cordier (la référence à l’époque en natation sur tri). Aux dernières nouvelles, il a eu des problèmes de santé et a du prendre sa « retraite…. » et ferait du « négoce de vin avec un ancien triathlète français ?

Il serait bien qu’une revue fasse une rubrique : « que sont-ils devenus ? ».
NickTheQuick
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Re: corima puma

Message non lu par NickTheQuick »

Richie a écrit : La formule, les formules magiques, quelles sont-elles pour obtenir ce résultat ?
Il y en a plein :
celui-ci par exemple
http://www.analyticcycling.com/ForcesPower_Page.html

Nick
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Jé.
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Message non lu par Jé. »

Position aero dans l'alpe :sm6:

respect :!:
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vincent05
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Message non lu par vincent05 »

Ben... j'ai appris pleins de choses !!!!!!!
Je te verrais sous un autre jour lors des prochains embrunman !!! Promis !!!! :wink:
On te prennait pour un gros burse (pas malin quand on connait pas la personne, je reconnais !!) mais maintenant, je comprends mieux ta manière de rouler...
Merci pour cette explication technique sur le corima, trés interéssant !!!!
Vincent...
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waterman
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Message non lu par waterman »

on a battu le post le plus long :?: :?:
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PLUDJAMB
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Message non lu par PLUDJAMB »

Labro a écrit "tomber sept fois se relever huit" : ça fait un peu petit joueur comparé à ce récit... :lol:
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herminator
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Message non lu par herminator »

Et Richie le mec qui t'as cherché pour ton dire que ton vélo à Cambray avait crevé c'était moi :lol: :lol:
J'étais entrain entrain d'alluciner qu'un mec avait un vélo avec des changements de vitesses au cadre sur un look vieux de 6 ans... :lol: :lol: J'adore ta simplicité et ton niveau si je ne m'abuse tu m'as passé comme un avion en vélo moi le petit triathlète frimeur avec ses tatouages, ses lunettes à la mode son vélo dernier... :wink: Bonne chance pour tes futures compets :wink:
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Julien M
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Message non lu par Julien M »

Mince alors :!:
A Cambrai on a causé 2 minutes ensemble, j'avais pas retenu ton nom mais je me souviens bien de toi !
Il y avait toi, un gars de Gonfreville (je crois que c'était ca), un gars de mon club et moi.
Au bout de 2 minutes tu es parti, puis le gars de Gonfreville à commencé à nous parler de toi, à nous dire que t'étais un monstre en vélo, que t'étais toujours à Longchamps et qu'un jour tu avais fait 300 bornes sans arrets à Longchamps, etc ...mais que t' arrêtais pas de casser des vélos, que tout ce qui pouvait casser sur un vélo tu l'avais cassé.
A ce moment on entend PAN, on se retourne vers le parc à vélo: ta chambre venait d'exploser :!: :!: :!:
On était abasourdi, on c'est regardé, on à tous dit: incroyable, le gars il est même pas sur son vélo il casse quelque chose :!:
Ca nous a marqué :lol: Une semaine après je me souviens qu' aux entrainements on parlait encore du gars qui cassait son vélo sans être là :lol:
Il y a des choses qui te sont arrivées qu' étaient vraiment pas drôles, mais celle là par contre nous à bien fait rire. Désolé :oops: :lol:

A+
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J
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Message non lu par J »

la poule par ricochet :shock:


mais un post intéressant :wink:
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
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chamach
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Message non lu par chamach »

waterman a écrit :on a battu le post le plus long :?: :?:
Sacré Richard !!! Toujours le même !!! :D
Et tout le monde le connait...
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waterman
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Message non lu par waterman »

ça va devenir notre nouveau spin... :roll:
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