De mieux en mieux
Les prochains mois vont être intéressants
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2 : commission d'enquête parlementaire
3 : projet de loi de réforme des Fédés sportives
4 : réforme des centres de formation avec l'abolition du mot "argent"
5 : Aulas Président de la Fédé de foot avec Thuram
6 : obligation de chanter la Marseillaise
7 : test de QI pour rentrer en Equipe de France et cours d'instruction civique
...
...8 : "menaces" de la FIFA sur l'Euro 2016 :
Equipe de France :
la FIFA met en garde contre toute "ingérence politique"
LEMONDE.FR avec AFP | 26.06.10 | 13h13 • Mis à jour le 26.06.10 | 14h57
Le pouvoir politique ne peut exiger la démission d'un dirigeant d'une fédération de football, et la FIFA (Fédération internationale de football association) "réagira" s'il y a ingérence politique dans les affaires de la Fédération française. Une mise au point signée, samedi 26 juin, du secrétaire général de la FIFA, Jérôme Valcke, alors que les dirigeants français multiplient les déclarations et les pressions sur la FFF après l'échec des Bleus au Mondial.
"Si on considère qu'il y a ingérence politique, on réagira, comme on le ferait dans n'importe quel pays du monde", a déclaré M. Valcke, interrogé sur la crise politico-sportive provoquée par l'élimination de l'équipe de France au premier tour du tournoi. La FIFA a fermement rappelé qu'elle n'admettait dans aucun pays que le pouvoir politique intervienne directement dans les affaires d'une fédération : "Dans le monde du football et le monde du sport en général, avec le CIO, on se bat pour garder notre autonomie, parce qu'on sait comment gérer le football. (...) Vous pouvez soutenir
mais vous ne pouvez pas exiger un certain nombre de choses, parce que là, tout
d'un coup, cela va contre notre structure".
"Personne ne peut demander à quelqu'un de démissionner. Une personne est élue, si elle pense avoir failli, elle peut démissionner, mais on ne peut pas l'y obliger", a insisté M. Valcke, en réponse à une question sur les appels implicites à la démission du président de la fédération française, Jean-Pierre Escalettes. La ministre des sports française, Roselyne Bachelot, avait notamment estimé que le départ de M. Escalettes était "inéluctable".
"Sur tous les continents, on surveille toujours ce genre de situation et on rappelle aux gens comment la pyramide du pouvoir (dans le football) fonctionne", a-t-il ajouté.
En ce qui concerne la France, "on n'est pas inquiet, mais on est attentif", a précisé le responsable.
: coaching gagnant, l'Italie rentre à la maison et finit derrière la Nouvelle Zélande, même pas l'excuse d'une fronde des joueurs ou d'un sélectionneur soit disant incompétent...de quoi donner des arguments aux futurs "virés" : "c'est le foot..c'est le sport...rien n'est écrit...les meilleurs ne gagnent pa toujours...regardez l'Italie...sans aucun problème, ils ont fait aussi pire..."...l'Angleterre n'est pas passée loin...
