SG a écrit :
Alors là, faut arrèter . Ne confondons pas tout. On demande avant tout à L'unité d'élites à laquelle tu fais réference un profil psycholgique et émotionnel parfaitement équilibré pour pouvoir prendre la bonne décisison au bon moment. Si un des critères de sélection interne de la gendarmerie pour le GIGN est d'etre mariè avec des enfants c'est qu'il y a des raisons. La peur est necéssaire, c'est un facteur qui permet de pondéré la deciison. Y'a ceux qui ont peur et que paniquent et ceux qui maitise la peur et leurs émotions. Dans le cas du GIGN ou du commando "Hubert" c'est l'entrainement quotidien qui rend ces taches banales dans leur contexte réel. Les béta blocants ou anphétamines seraient la pire des choses pour leur type de mission. Les seuls morts au GIGN, sont à l'entrainement et en plongée de nuit.
Avec de la cocaïne comme certains le racontent on obtiens :
- un massacre à moscou avec des morts civils pour maitriser des Tchetchenes
avec le GIGN on libère un AIRBUS sur l'aéroport de Mareseille avec 0
morts civils et 4 téroristes maitrisés.
Le dopage n'est pas systématique dans les troupes d'elites et on n'obtiens
pas forcément les meilleurs résultats.
Tout à fait SG, je partage le même avis.
Le GIGN, ce sont des types entraînés à maîtriser leurs émotions et c'est pourquoi ils sont efficaces, comme vous, lorsque vous faites des éducatifs en natation : la répétition de la gestuelle vous rend efficace.
Les types qui sniffent un rail avant une opération n'ont rien à faire au GIGN et ça m'étonnerait qu'il y ait ce genre de junky dans cette unité d'élite. Chez Bob Denard, oui...
Et Proust, Marcel Proust, vous saviez que c'était un Tony Montana en puissance, le saladier de coke à côté de ses feuilles blanches.
Et les valises de coke que les Corses du FNLC faisaient transiter de Corse jusqu'à Nice pour les Rolling Stones, ça vous parle ?