C'est toi qui est ridicule.Macewen a écrit :Mais bien sur Silver01, ridicule comme raisonnement...
Quand tu auras nagé en eau libre le quart du douzième de ce que j'ai nagé tu pourras faire tes commentaires. Et surtout commencer à produire l'ombre du début d'un argument.
Parmi les milliers de kilomètre en eau libre que j'ai nagé (dont quelques dizaines en Gascogne), les seules circonstances où j'ai été en difficulté ont peu de chances de se produire dans un lac toulousain!
Drossé contre les rochers dans le gros temps en Bretagne, cerné par les méduses en Grèce, frôlé par les jet-skis et les ferrys en Corse, attaqué par les requins aux BVI, impaludé et piqué par les raies dans le Maroni, brûlé par le soleil à Mayotte, infecté par la bilharziose dans le Niger, piqué par les acanthasters à Bora-Bora, battu par les rouleaux et les courants à Essaouira... toutes circonstances dans lesquelles être à 2 n'aurait servi à rien. Et les seuls moments où j'ai été vraiment en détresse sur l'eau, c'est quand j'étais sur une embarcation supposée sécurisante (rupture d'aileron en PAV, panne de moteur en bateau...). Il peut y avoir des risques en mer ou en rivière, mais pas dans un lac toulousain, et surtout pas avec une combi.
Un nageur bon/moyen qui va nager quelques kilomètres seul en combi dans un lac près de Toulouse ne courre absolument aucun risque. Où plus exactement, puisque le risque zéro n'existe pas, il ne courre pas plus de risque que s'il va acheter une baguette, ou que s'il va jogger dans les bois (encore un gars qui est mort récemment d'un AVC lors du cross de Garches, et l'hyponatrémie qui frappe toujours...). Et infiniment moins de risque que s'il va faire une sortie vélo.
Il est temps d'oublier les légendes urbaines précautionnistes colportées par les ignorants de ton espèce de génération en génération, et de regarder la réalité statistique.