Mouaiskent 7 a écrit :Ce n'est jamais trop tardHamilton vient de rendre sa médaille d'or des JO d'Athènes ... bientôt LA sera déchu de ses 7 TdF
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Hélas je n'y crois pas trop.
Au suivant du suivant...
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ironturtle
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Re: Au suivant du suivant...
Hélas je n'y crois pas trop.
"Il n'est de plus grand malheur que de laisser mourir le rire dans ton coeur"
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le FBI c'est pas l'UCI
" Le succès , c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme " Winston Churchill
Re: Au suivant du suivant...
Hamilton, le détail de l'accusation
L'émission «60 minutes», où Tyler Hamilton accuse Lance Armstrong de dopage, a été diffusé dimanche soir aux Etats-Unis sur CBS. Un extrait avait été rendu public la semaine dernière, accablant le septuple vainqueur du Tour de France.
En 2003, sur les routes du Tour de France, Tyler Hamilton et Lance Armstrong s'entendaient encore bien.(EQ)
Devant les caméras de télévision, Tyler Hamilton a tout déballé à propos de Lance Armstrong, quand ils étaient coéquipiers chez US Postal (de 1999 à 2001) : «Il se dopait comme tout le monde, ça faisait partie de la culture de ce sport». Selon l'ancien vice-champion olympique du contre-la-montre (à Athènes en 2004 ; Hamilton a d'ailleurs rendu sa médaille d'argent vendredi dernier), Armstrong s'est injecté de l'EPO lors du Tour de France 1999, lui en a donné ainsi que de la testostérone la même année - «Lance a aidé un ami. J'aurais fait la même chose» - et s'est fait transfuser du sang lors de la Grande Boucle en 2000.
Un contrôle positif d'Armstrong confirmé
Tyler Hamilton a également affirmé que Lance Armstrong avait été contrôlé positif à l'EPO durant le Tour de Suisse en 2001. Floyd Landis, il y a un an, avait affirmé la même chose mais avait déclaré que cela s'était produit lors de l'édition 2002. Pendant l'émission, Hamilton a confié à propos de ce contrôle : «Lance était relax. Son entourage et des gens de l'Union cycliste internationale ont trouvé un moyen de faire disparaître ça. Il me l'a dit». Selon CBS, Armstrong et Johan Bruyneel, son directeur sportif, ont rencontré le directeur du laboratoire ayant analysé l'échantillon. Ce dernier a affirmé aux enquêteurs que des responsables de l'UCI lui avaient demandé de ne pas aller plus loin sur le sujet. Et, poursuit la chaîne de télévision américaine, Armstrong a alors donné 25 000 dollars à l'instance internationale pour sa lutte contre le dopage. Trois ans plus tard, il aurait offert 100 000 dollars.
US Postal usait de produits dopants avant Armstrong
Hamilton a précisé que le dopage était monnaie courante chez US Postal, avant que Lance Armstrong ne rejoigne cette équipe en 1998. Selon lui, les responsables et les médecins de l'équipe en encourageaient cette pratique. Le coureur américain a déposé un témoignage sous serment devant un grand jury fédéral. En retour, il a obtenu un certain degré d'immunité. Dimanche CBS a également affirmé que, outre Tyler Hamilton, deux autres coureurs US avaient reconnu s'être dopés et avoir vu Lance Armstrong en faire de même. Frankie Andreu est l'un d'entre eux. L'autre est vraisemblablement George Hincapie. Ce dernier n'a jamais admis avoir témoigné. CBS affirme cependant qu'il a dit au grand jury qu'Armstrong et lui s'étaient mutuellement fourni de l'EPO.
«Sérieux manque d'équité journalistique»
Lance Armstrong, sept fois vainqueur du Tour de France entre 1999 et 2005, a toujours nié avoir eu recours au dopage et n'a jamais été contrôlé positif. Son avocat, Mark Fabiani, a réagi à l'émission : «CBS a choisi de se reposer sur des sources douteuses et d'ignorer les près de 500 contrôles négatifs de Lance ainsi que les centaines de coureurs et équipiers qui auraient pu parler de son éthique et de son talent», évoquant aussi «le sérieux manque d'équité journalistique» de la chaîne de télévision et son goût pour un journalisme de «sensationnalisme plutôt que de responsabilité». Parce que l'US Postal est une entreprise publique, Lance Armstrong pourrait toutefois se retrouver mis en accusation pour, notamment, fraude et complot. -
L'émission «60 minutes», où Tyler Hamilton accuse Lance Armstrong de dopage, a été diffusé dimanche soir aux Etats-Unis sur CBS. Un extrait avait été rendu public la semaine dernière, accablant le septuple vainqueur du Tour de France.
En 2003, sur les routes du Tour de France, Tyler Hamilton et Lance Armstrong s'entendaient encore bien.(EQ)
Devant les caméras de télévision, Tyler Hamilton a tout déballé à propos de Lance Armstrong, quand ils étaient coéquipiers chez US Postal (de 1999 à 2001) : «Il se dopait comme tout le monde, ça faisait partie de la culture de ce sport». Selon l'ancien vice-champion olympique du contre-la-montre (à Athènes en 2004 ; Hamilton a d'ailleurs rendu sa médaille d'argent vendredi dernier), Armstrong s'est injecté de l'EPO lors du Tour de France 1999, lui en a donné ainsi que de la testostérone la même année - «Lance a aidé un ami. J'aurais fait la même chose» - et s'est fait transfuser du sang lors de la Grande Boucle en 2000.
Un contrôle positif d'Armstrong confirmé
Tyler Hamilton a également affirmé que Lance Armstrong avait été contrôlé positif à l'EPO durant le Tour de Suisse en 2001. Floyd Landis, il y a un an, avait affirmé la même chose mais avait déclaré que cela s'était produit lors de l'édition 2002. Pendant l'émission, Hamilton a confié à propos de ce contrôle : «Lance était relax. Son entourage et des gens de l'Union cycliste internationale ont trouvé un moyen de faire disparaître ça. Il me l'a dit». Selon CBS, Armstrong et Johan Bruyneel, son directeur sportif, ont rencontré le directeur du laboratoire ayant analysé l'échantillon. Ce dernier a affirmé aux enquêteurs que des responsables de l'UCI lui avaient demandé de ne pas aller plus loin sur le sujet. Et, poursuit la chaîne de télévision américaine, Armstrong a alors donné 25 000 dollars à l'instance internationale pour sa lutte contre le dopage. Trois ans plus tard, il aurait offert 100 000 dollars.
US Postal usait de produits dopants avant Armstrong
Hamilton a précisé que le dopage était monnaie courante chez US Postal, avant que Lance Armstrong ne rejoigne cette équipe en 1998. Selon lui, les responsables et les médecins de l'équipe en encourageaient cette pratique. Le coureur américain a déposé un témoignage sous serment devant un grand jury fédéral. En retour, il a obtenu un certain degré d'immunité. Dimanche CBS a également affirmé que, outre Tyler Hamilton, deux autres coureurs US avaient reconnu s'être dopés et avoir vu Lance Armstrong en faire de même. Frankie Andreu est l'un d'entre eux. L'autre est vraisemblablement George Hincapie. Ce dernier n'a jamais admis avoir témoigné. CBS affirme cependant qu'il a dit au grand jury qu'Armstrong et lui s'étaient mutuellement fourni de l'EPO.
«Sérieux manque d'équité journalistique»
Lance Armstrong, sept fois vainqueur du Tour de France entre 1999 et 2005, a toujours nié avoir eu recours au dopage et n'a jamais été contrôlé positif. Son avocat, Mark Fabiani, a réagi à l'émission : «CBS a choisi de se reposer sur des sources douteuses et d'ignorer les près de 500 contrôles négatifs de Lance ainsi que les centaines de coureurs et équipiers qui auraient pu parler de son éthique et de son talent», évoquant aussi «le sérieux manque d'équité journalistique» de la chaîne de télévision et son goût pour un journalisme de «sensationnalisme plutôt que de responsabilité». Parce que l'US Postal est une entreprise publique, Lance Armstrong pourrait toutefois se retrouver mis en accusation pour, notamment, fraude et complot. -
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Re: Au suivant du suivant...
Des coureurs écrivent à McQuaid
Il y a quelques semaines, le journal hexagonal l'Equipe avait fait grand bruit en publiant une "une liste de suspicion" concernant les coureurs présents sur le Tour de France 2010. Beaucoup d'encre a coulé depuis, et les réactions des coureurs, managers et représentants du sport se sont enchainées. Plus récemment d'ailleurs, Iban Mayoz a porté plainte contre l'UCI. Cette fuite qui a permis à l'Equipe de dévoiler ce document confidentiel à l'UCI va encore faire parler ces prochains jours. Pat McQuaid avait écrit une lettre il y a peu aux coureurs, et aujourd'hui Cyclism'Actu a reçu et traduit une lettre à destination de Pat McQuaid envoyée par plus de 35 coureurs.
Mais ces coureurs ne sont pas tous concernés par cette liste ou bien à moindre effet. Certains ont en effet un indice de 0 selon cette liste, et d'autres n'y figurent même pas. Mais dans l'intérêt du cyclisme, tout ces coureurs se sont unifiés pour exprimer leur mécontentement suite à la sortie dans les médias de cette liste. Voici donc la lettre envoyée à Pat McQuaid, président de l'UCI :
"Cher Monsieur McQuaid
À notre grande surprise, nous avons remarqué que le journal français L'Equipe a publié une liste avec un sois-disant "indice de suspicion" pour les cyclistes. Ce document, qui provient de l'Union Cycliste Internationale (UCI), contient une liste de tous les coureurs ayant participé au Tour de France 2010, et classés suivant un indice qui reflète leurs soupçons d'utilisation de substances interdites.
C'est une liste sans indication d'une quelconque méthodologie ou de toute autre approche scientifique appropriée, ce qui met certains de ces coureurs dans une position très négative vis à vis du grand public. Cette liste serait fondée sur des valeurs étranges ou quelque peu aberrantes dans le passeport biologique. Il est important de savoir que le coureur n'a pas accès à son dossier et n'a donc pas le droit de se défendre, de s'expliquer, de nuancer, ou d'apporter des éclaircissements. L'UCI n'a jamais traité de ce sujet, ni avec le coureur, ni avec son équipe.
Il est clair que la publication de cette liste tend à nuire à l'image des coureurs impliqués, et plus généralement du sport cycliste. Les noms des coureurs sont maintenant liés au dopage dans tous les types de médias.
C'est pourquoi nous demandons à l'UCI de donner un signal clair et sans ambiguïté, à tous les médias, pleinement et ouvertement, de disculpation et de réhabilitation de tous les coureurs sur la liste, en particulier ceux ayant un indice élevé. La communication [de l'UCI] jusqu'à présent, qui fait acte que la "suspicion n'est pas la même chose que la culpabilité", est trop vague et ne disculpe pas encore tous les coureurs.
En second lieu, car il est clair que la création de cette liste et la fuite de celle-ci a causé des dommages terribles à certains coureurs, nous souhaiterions une proposition de rémunération décente pour tous les dommages encourus. Bien sûr, les coureurs ont sous reserve leurs droits de prendre toutes les mesures juridiques en vue de rechercher une indemnisation intégrale dans le respect des dommages directs et indirects et des pertes causées par l'UCI dans le cadre de la publication de ce qu'on appelle "l'indice de suspicion".
Troisièmement, nous aimerions obtenir une explication claire et un aperçu de la méthodologie du passeport biologique et de ses critères d'évaluation. Nous exigeons la transparence totale et un accès complet à leur dossier pour tous les coureurs. En outre, nous aimerions être sûr qu'à partir de maintenant, si un coureur est déclaré «suspect», qu'importe le degré, il doit immédiatement être informé et il doit avoir la possibilité de fournir une explication.
Enfin, nous aimerions savoir quelles mesures l'UCI va prendre pour éviter la publication de ce genre de renseignements personnels à l'avenir.
Puissions-nous également insister sur le fait que l'UCI devrait se rendre compte que ce genre d'accusations très graves a un impact énorme sur les coureurs et leur environnement, comme la famille, amis, connaissances, mais aussi leurs coéquipiers et le staff.
Dans l'attente de votre réponse.
Cordialement"
Nota Bene : Parmi les coureurs ayant envoyé cette lettre figurent notamment Carlos Barredo, Jack Bobridge, Tom Boonen, Gerald Ciolek, Baden Cooke, Kevin De Weert, Adam Hansen, Christian Knees, Karsten Kroon, Robbie McEwen, Dmitriy Muravyev, Jérôme Pineau, Michael Rogers, Hayden Roulston, Niki Terpstra et Maarten Wynants.
Il y a quelques semaines, le journal hexagonal l'Equipe avait fait grand bruit en publiant une "une liste de suspicion" concernant les coureurs présents sur le Tour de France 2010. Beaucoup d'encre a coulé depuis, et les réactions des coureurs, managers et représentants du sport se sont enchainées. Plus récemment d'ailleurs, Iban Mayoz a porté plainte contre l'UCI. Cette fuite qui a permis à l'Equipe de dévoiler ce document confidentiel à l'UCI va encore faire parler ces prochains jours. Pat McQuaid avait écrit une lettre il y a peu aux coureurs, et aujourd'hui Cyclism'Actu a reçu et traduit une lettre à destination de Pat McQuaid envoyée par plus de 35 coureurs.
Mais ces coureurs ne sont pas tous concernés par cette liste ou bien à moindre effet. Certains ont en effet un indice de 0 selon cette liste, et d'autres n'y figurent même pas. Mais dans l'intérêt du cyclisme, tout ces coureurs se sont unifiés pour exprimer leur mécontentement suite à la sortie dans les médias de cette liste. Voici donc la lettre envoyée à Pat McQuaid, président de l'UCI :
"Cher Monsieur McQuaid
À notre grande surprise, nous avons remarqué que le journal français L'Equipe a publié une liste avec un sois-disant "indice de suspicion" pour les cyclistes. Ce document, qui provient de l'Union Cycliste Internationale (UCI), contient une liste de tous les coureurs ayant participé au Tour de France 2010, et classés suivant un indice qui reflète leurs soupçons d'utilisation de substances interdites.
C'est une liste sans indication d'une quelconque méthodologie ou de toute autre approche scientifique appropriée, ce qui met certains de ces coureurs dans une position très négative vis à vis du grand public. Cette liste serait fondée sur des valeurs étranges ou quelque peu aberrantes dans le passeport biologique. Il est important de savoir que le coureur n'a pas accès à son dossier et n'a donc pas le droit de se défendre, de s'expliquer, de nuancer, ou d'apporter des éclaircissements. L'UCI n'a jamais traité de ce sujet, ni avec le coureur, ni avec son équipe.
Il est clair que la publication de cette liste tend à nuire à l'image des coureurs impliqués, et plus généralement du sport cycliste. Les noms des coureurs sont maintenant liés au dopage dans tous les types de médias.
C'est pourquoi nous demandons à l'UCI de donner un signal clair et sans ambiguïté, à tous les médias, pleinement et ouvertement, de disculpation et de réhabilitation de tous les coureurs sur la liste, en particulier ceux ayant un indice élevé. La communication [de l'UCI] jusqu'à présent, qui fait acte que la "suspicion n'est pas la même chose que la culpabilité", est trop vague et ne disculpe pas encore tous les coureurs.
En second lieu, car il est clair que la création de cette liste et la fuite de celle-ci a causé des dommages terribles à certains coureurs, nous souhaiterions une proposition de rémunération décente pour tous les dommages encourus. Bien sûr, les coureurs ont sous reserve leurs droits de prendre toutes les mesures juridiques en vue de rechercher une indemnisation intégrale dans le respect des dommages directs et indirects et des pertes causées par l'UCI dans le cadre de la publication de ce qu'on appelle "l'indice de suspicion".
Troisièmement, nous aimerions obtenir une explication claire et un aperçu de la méthodologie du passeport biologique et de ses critères d'évaluation. Nous exigeons la transparence totale et un accès complet à leur dossier pour tous les coureurs. En outre, nous aimerions être sûr qu'à partir de maintenant, si un coureur est déclaré «suspect», qu'importe le degré, il doit immédiatement être informé et il doit avoir la possibilité de fournir une explication.
Enfin, nous aimerions savoir quelles mesures l'UCI va prendre pour éviter la publication de ce genre de renseignements personnels à l'avenir.
Puissions-nous également insister sur le fait que l'UCI devrait se rendre compte que ce genre d'accusations très graves a un impact énorme sur les coureurs et leur environnement, comme la famille, amis, connaissances, mais aussi leurs coéquipiers et le staff.
Dans l'attente de votre réponse.
Cordialement"
Nota Bene : Parmi les coureurs ayant envoyé cette lettre figurent notamment Carlos Barredo, Jack Bobridge, Tom Boonen, Gerald Ciolek, Baden Cooke, Kevin De Weert, Adam Hansen, Christian Knees, Karsten Kroon, Robbie McEwen, Dmitriy Muravyev, Jérôme Pineau, Michael Rogers, Hayden Roulston, Niki Terpstra et Maarten Wynants.
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Re: Au suivant du suivant...
" nous souhaiterions une proposition de rémunération décente pour tous les dommages encourus."
J'adore
Certains n'ont plus d'argent !!!
J'adore
Certains n'ont plus d'argent !!!
C'est pas facile tous les jours dis-donc !!!!
Re: Au suivant du suivant...
Les coureurs ex-dopés ne pourront plus être responsables d'équipes
L'Union cycliste internationale (UCI) a décidé vendredi d'interdire à l'avenir à des coureurs sanctionnés pour dopage de devenir plus tard responsables d'équipes.
Cette disposition, adoptée par le comité directeur de l'UCI qui s'est réuni à Maastricht (Pays-Bas), entrera en vigueur à partir du 1er juillet, sans effet rétroactif.
L'UCI a estimé que cette mesure aurait des effets "très importants à moyen terme", en évoquant l'importance de "la capacité d'intervenir sur l'entourage des coureurs, notamment les plus jeunes".
Ce nouvel article vise "à empêcher tout individu reconnu coupable d'infraction au règlement antidopage au cours de sa carrière de coureur d'obtenir une licence l'autorisant à assumer une fonction dans le cyclisme comme membre de l'encadrement d'une équipe", a détaillé l'UCI.
L'UCI a annoncé également que les équipes seront "responsables de la totalité des coûts engendrés par chaque affaire de dopage, (coûts) actuellement supportés par l'UCI".
Par ailleurs, son comité directeur a validé la disposition selon laquelle tout coureur revenant à la compétition après une suspension d'au moins deux ans ne pourra "apporter sa contribution à l'établissement de la valeur sportive de son équipe lors de la procédure d'enregistrement".
En d'autres termes, les performances d'un ex-dopé, suspendu pendant deux ans ou plus, ne seront pas pris en compte pour déterminer le niveau de son équipe (en 1re ou 2e division) durant les deux premières années de son retour à la compétition.
L'Union cycliste internationale (UCI) a décidé vendredi d'interdire à l'avenir à des coureurs sanctionnés pour dopage de devenir plus tard responsables d'équipes.
Cette disposition, adoptée par le comité directeur de l'UCI qui s'est réuni à Maastricht (Pays-Bas), entrera en vigueur à partir du 1er juillet, sans effet rétroactif.
L'UCI a estimé que cette mesure aurait des effets "très importants à moyen terme", en évoquant l'importance de "la capacité d'intervenir sur l'entourage des coureurs, notamment les plus jeunes".
Ce nouvel article vise "à empêcher tout individu reconnu coupable d'infraction au règlement antidopage au cours de sa carrière de coureur d'obtenir une licence l'autorisant à assumer une fonction dans le cyclisme comme membre de l'encadrement d'une équipe", a détaillé l'UCI.
L'UCI a annoncé également que les équipes seront "responsables de la totalité des coûts engendrés par chaque affaire de dopage, (coûts) actuellement supportés par l'UCI".
Par ailleurs, son comité directeur a validé la disposition selon laquelle tout coureur revenant à la compétition après une suspension d'au moins deux ans ne pourra "apporter sa contribution à l'établissement de la valeur sportive de son équipe lors de la procédure d'enregistrement".
En d'autres termes, les performances d'un ex-dopé, suspendu pendant deux ans ou plus, ne seront pas pris en compte pour déterminer le niveau de son équipe (en 1re ou 2e division) durant les deux premières années de son retour à la compétition.
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Re: Au suivant du suivant...
Comme bien souvent eavec l'UCI, les mesures sont toujours ambivalentes : à la mesure pour les directeurs sportifs (ils auront un autre statut...: conseillers 
), s'ajoute la mesure sur les points qui elle vient remettre en cause, la "charte bidule" qui devait faire qu'un ex dopé ne devait pas être "repris" et qui dans les faits n'a jamais été appliquée, à l'image de Ricco et consorts...
L'équipe.fr le 17/06/2011 à 22:33
L'UCI prend de nouvelles mesures :
A partir du 1er juillet, les anciens dopés ne pourront plus devenir directeurs d'une équipe. Une décision prise par l'UCI vendredi, qui devrait avoir des effets «très importants».
L'UCI poursuit sa lutte anti-dopage et veut responsabiliser chaque équipe sur le problème. La fédération internationale, réunie vendredi à Maastricht a décidé d'interdire à des coureurs sanctionnés pour dopage de devenir plus tard responsables d'équipes. Une décision qui prendra effet à partir du 1er juillet, sans effet rétroactif, et qui devrait avoir des effets «très importants à moyen terme». L'UCI a évoqué l'importance de «la capacité d'intervenir sur l'entourage des coureurs, notamment les plus jeunes», potentiellement plus exposés au problème du dopage.
L'UCI est déterminé
Et même si le comité directeur de l'UCI est «pleinement conscient des difficultés que l'adoption d'une telle mesure pourrait comporter», il «souhaite réaffirmer une nouvelle fois par cette initiative sa détermination à s'opposer par tous les moyens à toute forme de pratique illégale dans le sport».
Cette mesure aura également des conséquences financières puisque les équipes seront «responsables de la totalité des coûts engendrés par chaque affaire de dopage,
(coûts) actuellement supportés par l'UCI» .
Le comité directeur a par ailleurs donné son aval pour faire en sorte que les performances d'un ex-dopé, suspendu pendant deux ans ou plus, ne soient pas prises en compte pour déterminer le niveau de son équipe (en 1re ou 2e division) durant les deux premières années de son retour à la compétition.
), s'ajoute la mesure sur les points qui elle vient remettre en cause, la "charte bidule" qui devait faire qu'un ex dopé ne devait pas être "repris" et qui dans les faits n'a jamais été appliquée, à l'image de Ricco et consorts...L'équipe.fr le 17/06/2011 à 22:33
L'UCI prend de nouvelles mesures :
A partir du 1er juillet, les anciens dopés ne pourront plus devenir directeurs d'une équipe. Une décision prise par l'UCI vendredi, qui devrait avoir des effets «très importants».
L'UCI poursuit sa lutte anti-dopage et veut responsabiliser chaque équipe sur le problème. La fédération internationale, réunie vendredi à Maastricht a décidé d'interdire à des coureurs sanctionnés pour dopage de devenir plus tard responsables d'équipes. Une décision qui prendra effet à partir du 1er juillet, sans effet rétroactif, et qui devrait avoir des effets «très importants à moyen terme». L'UCI a évoqué l'importance de «la capacité d'intervenir sur l'entourage des coureurs, notamment les plus jeunes», potentiellement plus exposés au problème du dopage.
L'UCI est déterminé
Et même si le comité directeur de l'UCI est «pleinement conscient des difficultés que l'adoption d'une telle mesure pourrait comporter», il «souhaite réaffirmer une nouvelle fois par cette initiative sa détermination à s'opposer par tous les moyens à toute forme de pratique illégale dans le sport».
Cette mesure aura également des conséquences financières puisque les équipes seront «responsables de la totalité des coûts engendrés par chaque affaire de dopage,
(coûts) actuellement supportés par l'UCI» . Le comité directeur a par ailleurs donné son aval pour faire en sorte que les performances d'un ex-dopé, suspendu pendant deux ans ou plus, ne soient pas prises en compte pour déterminer le niveau de son équipe (en 1re ou 2e division)
durant les deux premières années de son retour à la compétition. Re: Au suivant du suivant...
Le dopage a fait ses premiers morts en Belgique
Au moins une personne est décédée des suites de la consommation de produits anabolisants, tant en 2009 qu'en 2010, révèle le rapport 2010 de la cellule multidisciplinaire hormones de la police fédérale.
Le nombre d'infractions à la législation sur le dopage via le recours à des produits illicites pour la consommation humaine a augmenté de près de 40% en un an.
"Les premiers 'morts du dopage' sont entre-temps devenus un fait dans le pays. La demande et l'offre de ce type de médicaments continuent à augmenter et il faut d'urgence y mettre un terme", a notamment écrit le coordinateur principal de la cellule hormones, Francis Clarysse.
Selon lui, on assiste pour la deuxième année consécutive à une augmentation du phénomène du dopage humain, cette fois dans une proportion de 40% que ce soit au niveau des envois postaux, ou des saisies de produits illicites lors de perquisitions.
Le rapport souligne que les produits sont à portée de main via internet. Il révèle aussi qu'il ne faut pas sous-estimer le fait que nombre d'anabolisants proviennent de laboratoires clandestins implantés en Europe.
L'augmentation du nombre d'infractions est surtout inquiétante parce que les usagers de produits dopants ne font souvent pas le lien entre leurs problèmes de santé et le dopage.
Au moins une personne est décédée des suites de la consommation de produits anabolisants, tant en 2009 qu'en 2010, révèle le rapport 2010 de la cellule multidisciplinaire hormones de la police fédérale.
Le nombre d'infractions à la législation sur le dopage via le recours à des produits illicites pour la consommation humaine a augmenté de près de 40% en un an.
"Les premiers 'morts du dopage' sont entre-temps devenus un fait dans le pays. La demande et l'offre de ce type de médicaments continuent à augmenter et il faut d'urgence y mettre un terme", a notamment écrit le coordinateur principal de la cellule hormones, Francis Clarysse.
Selon lui, on assiste pour la deuxième année consécutive à une augmentation du phénomène du dopage humain, cette fois dans une proportion de 40% que ce soit au niveau des envois postaux, ou des saisies de produits illicites lors de perquisitions.
Le rapport souligne que les produits sont à portée de main via internet. Il révèle aussi qu'il ne faut pas sous-estimer le fait que nombre d'anabolisants proviennent de laboratoires clandestins implantés en Europe.
L'augmentation du nombre d'infractions est surtout inquiétante parce que les usagers de produits dopants ne font souvent pas le lien entre leurs problèmes de santé et le dopage.
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Re: Au suivant du suivant...
Des cas de dopage à prévoir
Rattrapé par des valeurs anormales dans son passeport biologique en mai 2010, l'Italien Franco Pellizotti a été suspendu deux ans.(EQ)
L'Union cycliste internationale (UCI) a laissé entendre jeudi que d'autres cas de coureurs convaincus de dopage sur la base d'anomalies de leur passeport biologique étaient à prévoir.
L'UCI n'a pas fini de sévir. La fédération internationale, la première à avoir ajouté le passeport biologique à son arsenal antidopage en 2008, avait convaincu cinq coureurs de dopage en 2009 et trois en 2010, dont l'Italien Franco Pellizoti, à partir des variations anormales de leurs paramètres sanguins. Si aucun autre ne s'est ajouté à la liste depuis plus d'un an, l'UCI a dans la mire d'autres cas suspects qu'elles soumet à des experts indépendants, chargés de déterminer si ces anomalies sont bien la conséquence d'un dopage sanguin. «Nous avons encore une réunion avec l'Agence mondiale antidopage en février, et avec les experts, a souligné le médecin chef de l'UCI, Mario Zorzoli. Nous avons discuté de quelques cas. Les choses suivent leur rythme naturel. Il y aura des cas liés au passeport.»
«La tendance est à utiliser des substances à faible dose dans des périodes peut-être plus réduites, dans le but de diminuer le risque d'être contrôlé positif.» Dr Zorzoli
Ces dernières années, le Dr Zorzoli a noté un changement chez les dopés : «la tendance est à utiliser des substances à faible dose dans des périodes peut-être plus réduites, dans le but de diminuer le risque d'être contrôlé positif. Le passeport évolue avec le temps. L'important est que, même si en juin 2010 nous n'avons pas tous les éléments pour ouvrir un passeport à charge pour l'athlète, suite à de nouveaux résultats le même athlète peut faire l'objet d'une procédure quelques mois après.» Le passeport qui, contrairement à un contrôle antidopage classique, consiste à détecter le dopage de manière indirecte par ses effets sur l'organisme, a eu un effet bénéfique dès son introduction
Rattrapé par des valeurs anormales dans son passeport biologique en mai 2010, l'Italien Franco Pellizotti a été suspendu deux ans.(EQ)
L'Union cycliste internationale (UCI) a laissé entendre jeudi que d'autres cas de coureurs convaincus de dopage sur la base d'anomalies de leur passeport biologique étaient à prévoir.
L'UCI n'a pas fini de sévir. La fédération internationale, la première à avoir ajouté le passeport biologique à son arsenal antidopage en 2008, avait convaincu cinq coureurs de dopage en 2009 et trois en 2010, dont l'Italien Franco Pellizoti, à partir des variations anormales de leurs paramètres sanguins. Si aucun autre ne s'est ajouté à la liste depuis plus d'un an, l'UCI a dans la mire d'autres cas suspects qu'elles soumet à des experts indépendants, chargés de déterminer si ces anomalies sont bien la conséquence d'un dopage sanguin. «Nous avons encore une réunion avec l'Agence mondiale antidopage en février, et avec les experts, a souligné le médecin chef de l'UCI, Mario Zorzoli. Nous avons discuté de quelques cas. Les choses suivent leur rythme naturel. Il y aura des cas liés au passeport.»
«La tendance est à utiliser des substances à faible dose dans des périodes peut-être plus réduites, dans le but de diminuer le risque d'être contrôlé positif.» Dr Zorzoli
Ces dernières années, le Dr Zorzoli a noté un changement chez les dopés : «la tendance est à utiliser des substances à faible dose dans des périodes peut-être plus réduites, dans le but de diminuer le risque d'être contrôlé positif. Le passeport évolue avec le temps. L'important est que, même si en juin 2010 nous n'avons pas tous les éléments pour ouvrir un passeport à charge pour l'athlète, suite à de nouveaux résultats le même athlète peut faire l'objet d'une procédure quelques mois après.» Le passeport qui, contrairement à un contrôle antidopage classique, consiste à détecter le dopage de manière indirecte par ses effets sur l'organisme, a eu un effet bénéfique dès son introduction
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Re: Au suivant du suivant...
Saisie par Roberto Heras, la justice espagnole a relevé des irrégularités dans l'affaire de son contrôle positif à l'EPO sur la Vuelta 2005. Il pourrait retrouver son titre.
Le cyclisme du XXIème siècle est décidément bien compliqué à suivre. Pour certains coureurs, qui ne sont heureusement qu'une minorité, pour gagner des courses il ne suffit pas d'avoir de bonnes jambes et une hygiène de vie mais un bon médecin et un bon avocat. C'est le cas de Roberto Heras, dont le petit monde du vélo croyait s'être débarrassé pour de bon après son contrôle positif à l'EPO à l'issue du Tour d'Espagne 2005. A l'époque, le grimpeur de poche avait conquis la Vuelta pour la quatrième fois, un record absolu, avant qu'il ne soit rattrapé par ce fichu contrôle effectué après le contre-la-montre organisé à la veille de la conclusion finale à Madrid. Déchu de son titre au profit de son dauphin Denis Menchov, Heras avait écopé d'une suspension de deux ans, synonyme pour lui de fin de carrière, personne ne désirant ensuite l'engager.
On croyait donc en rester là mais les vieux dossiers sont toujours susceptibles de se rouvrir. A 37 ans aujourd'hui, Roberto Heras a saisi le Tribunal Supérieur de Castille-et-Leon, qui a rendu son verdict et décidé d'annuler les sanctions prises à l'égard de Roberto Heras il y a près de six ans. La justice espagnole a en effet relevé des irrégularités dans la procédure, notamment un vice de forme dans le transport et la conservation de l'échantillon B. Cela permet de justifier l'annulation de toutes les décisions prises dans ce dossier par la fédération espagnole après l'été 2005. En d'autres termes, Roberto Heras pourrait à présent réclamer des réparations et surtout la restitution de son titre de vainqueur du Tour d'Espagne 2005, qui ferait à nouveau de lui le recordman de victoires de l'épreuve après ses succès validés en 2000, 2003 et 2004. Bref, encore une fois, on est bien loin du sport dans toutes ces histoires...
Et l'affaire ne s'arrêtera pas là ! La fédération cycliste espagnole et le Conseil Supérieur des Sports entendent bien contester à leur tour le jugement du Tribunal Supérieur de Castille-et-Leon. Ils devraient interposer un pourvoi en cassation. En attendant Roberto Heras se frotte les mains et pourrait bien reconquérir la Vuelta 2005 six ans après son élimination. "On est enfin parvenu à démontrer des irrégularités dans la procédure par rapport à l'échantillon B, se réjouit-il dans des déclarations à l'agence EFE. On a prouvé que ça n'avait pas été légal. C'est une satisfaction personnelle et sportive. Théoriquement, ils vont devoir me rendre la victoire dans la Vuelta, bien qu'on doive s'attendre à un recours en appel de la fédération. Pour le reste, une fois que tu as fait tes deux ans de suspension, il est impossible de te les rendre. Ce qui m'a le plus blessé c'est la manière avec laquelle on a traité mon cas pour me suspendre
Le cyclisme du XXIème siècle est décidément bien compliqué à suivre. Pour certains coureurs, qui ne sont heureusement qu'une minorité, pour gagner des courses il ne suffit pas d'avoir de bonnes jambes et une hygiène de vie mais un bon médecin et un bon avocat. C'est le cas de Roberto Heras, dont le petit monde du vélo croyait s'être débarrassé pour de bon après son contrôle positif à l'EPO à l'issue du Tour d'Espagne 2005. A l'époque, le grimpeur de poche avait conquis la Vuelta pour la quatrième fois, un record absolu, avant qu'il ne soit rattrapé par ce fichu contrôle effectué après le contre-la-montre organisé à la veille de la conclusion finale à Madrid. Déchu de son titre au profit de son dauphin Denis Menchov, Heras avait écopé d'une suspension de deux ans, synonyme pour lui de fin de carrière, personne ne désirant ensuite l'engager.
On croyait donc en rester là mais les vieux dossiers sont toujours susceptibles de se rouvrir. A 37 ans aujourd'hui, Roberto Heras a saisi le Tribunal Supérieur de Castille-et-Leon, qui a rendu son verdict et décidé d'annuler les sanctions prises à l'égard de Roberto Heras il y a près de six ans. La justice espagnole a en effet relevé des irrégularités dans la procédure, notamment un vice de forme dans le transport et la conservation de l'échantillon B. Cela permet de justifier l'annulation de toutes les décisions prises dans ce dossier par la fédération espagnole après l'été 2005. En d'autres termes, Roberto Heras pourrait à présent réclamer des réparations et surtout la restitution de son titre de vainqueur du Tour d'Espagne 2005, qui ferait à nouveau de lui le recordman de victoires de l'épreuve après ses succès validés en 2000, 2003 et 2004. Bref, encore une fois, on est bien loin du sport dans toutes ces histoires...
Et l'affaire ne s'arrêtera pas là ! La fédération cycliste espagnole et le Conseil Supérieur des Sports entendent bien contester à leur tour le jugement du Tribunal Supérieur de Castille-et-Leon. Ils devraient interposer un pourvoi en cassation. En attendant Roberto Heras se frotte les mains et pourrait bien reconquérir la Vuelta 2005 six ans après son élimination. "On est enfin parvenu à démontrer des irrégularités dans la procédure par rapport à l'échantillon B, se réjouit-il dans des déclarations à l'agence EFE. On a prouvé que ça n'avait pas été légal. C'est une satisfaction personnelle et sportive. Théoriquement, ils vont devoir me rendre la victoire dans la Vuelta, bien qu'on doive s'attendre à un recours en appel de la fédération. Pour le reste, une fois que tu as fait tes deux ans de suspension, il est impossible de te les rendre. Ce qui m'a le plus blessé c'est la manière avec laquelle on a traité mon cas pour me suspendre
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Re: Au suivant du suivant...
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Re: Au suivant du suivant...
Pas de suspension pour Cielo
Le Tribunal arbitral du sport a confirmé l'avertissement infligé par la fédération brésilienne à Cesar Cielo, contrôlé positif à un diurétique (furosémide) en mai. Le meilleur sprinter du monde disputera bien les Mondiaux.
Cesar Cielo pourra disputer les Mondiaux de Shanghaï.(EQ)
La décontraction affichée mercredi à Shanghai par les "Men in black" n'était pas feinte, après leur audition devant le Tribunal arbitral du sport. Cesar Cielo, Henrique Barbosa et Nicholas Santos, apparus en costume sombre et avec des lunettes de soleil, ont vu le simple avertissement infligé par leur fédération être confirmé par le TAS. Ils risquaient pourtant jusqu'à deux ans de suspension, après un contrôlé positif à un diurétique, en mai, lors du Maria Lenk Trophy, à Rio. La contamination accidentelle de compléments alimentaires, invoquée par la défense, a été confirmée par l'instance lausannoise.
Seul Vinicius Waked écope d'un an de suspension, «étant donné l'existence d'une deuxième infraction (Vinicus Waked avait déjà été sanctionné le 4 février 2010 d'une suspension de deux mois après un contrôle positif pour une substance spécifiée)», explique le TAS.
Quel Cielo à Shanghai ?
Cielo, qui a bien fait d'accepter une procédure accélérée, devrait être l'une des vedettes de ces Mondiaux s'il n'a pas été atteint psychologiquement par cette affaire. Le meilleur sprinter du monde se présentera à Shanghai avec des chances de titre sur 50m (MPM 2011), 100m (2e chrono de l'année) et 50m papillon (MPM), et constituera le maillon fort des relais 4x100m et 4x100m 4 nages.
Frédérick Bousquet et Alain Bernard sur 50m, Fabien Gilot et William Meynard sur 100m, devront donc composer avec celui qui fut le bourreau des Français ces dernières années. Le Brésilien, vainqueur des cinq dernières grandes épreuves planétaires du sprint, a devancé Leveaux et Bernard sur 50m aux JO, Bousquet (sur 50m) et Bernard (sur 100m) aux Mondiaux 2009, à nouveau Bousquet (sur 50m) et Gilot (sur 100m) aux Mondiaux en petit bassin de décembre dernier. Aux Français de tenter de mettre un terme à la domination de Cielo.
La FINA devrait s'en contenter
«On a fait notre travail, le TAS a pris sa décision, on doit la respecter, a commenté à l'AFP le directeur exécutif de la FINA, Cornel Marculescu. Les règles sont comme ça. On a déjà fait appel. On ne peut pas faire appel continuellement.»
Re: Au suivant du suivant...
Valentin Iglinskiy contrôlé positif à la cocaïne
Valentin Iglinskiy est dans de beaux draps. Non présent sur le Tour de France, il est tout de même parvenu à être contrôlé positif ... à la cocaïne comme l'indique RTL ce mercredi. Et ce n'était pas au cours d'une compétition. Le frère de Maxim a en fait été pris par la patrouille sur l'autoroute A8, par les gendarmes. En plus de rouler à 203 km/h au lieu de 110 et d'avoir un taux d'alcoolémie de 0.64 grammes par litres d'air expiré lieu de 0.50, le coureur kazakh a donc été contrôlé positif à la cocaïne. Lors de son interpellation, il a expliqué aux gendarmes qu'il revenait d'une fête chez son ex-coéquipier Alexandre Vinokourov, à la retraite depuis sa chute sur le Tour de France.
Valentin Iglinskiy est dans de beaux draps. Non présent sur le Tour de France, il est tout de même parvenu à être contrôlé positif ... à la cocaïne comme l'indique RTL ce mercredi. Et ce n'était pas au cours d'une compétition. Le frère de Maxim a en fait été pris par la patrouille sur l'autoroute A8, par les gendarmes. En plus de rouler à 203 km/h au lieu de 110 et d'avoir un taux d'alcoolémie de 0.64 grammes par litres d'air expiré lieu de 0.50, le coureur kazakh a donc été contrôlé positif à la cocaïne. Lors de son interpellation, il a expliqué aux gendarmes qu'il revenait d'une fête chez son ex-coéquipier Alexandre Vinokourov, à la retraite depuis sa chute sur le Tour de France.
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