Ben je suppose que c'est toujours le pb de cette réglementation, qui autorise les organisateurs à n'autoriser le drafting que si la route est fermée à la circulation. Résultat: cette aberration absolue de courses où le dradting est soi-disant interdit, mais largement pratiqué, voire toléré. Va bien falloir un jour que la réglementation change, et qu'elle laisse le soin aux organisateurs de décider s'il y a drafting ou pas, en fonction du profil de la course et du nombre de participants. Que je sache, tous les WE des dizaines de cyclos sont organisées avec drafting sur des routes non fermées à la circulation...Capsule a écrit :petit message aux organisateur : pourquoi ne passez vous pas le sprint et le CD en drafting vu le parcours tout plat ( pas de difficulté pour faire des diférences ) et le nombre de participants ?
...j'ai bien rigolé quand même en en voyant certains sur la boucle de péna 
!
Il existe une épreuve dans le sud ouest (sais plus où) où ils font partir les gars toutes les 30s ou toutes les minutes...c'est peut être la seule solution.
C'est justement ce type de conclusion qui fait qu'on n'en sortira jamais... Si le drafting te débectait autant que ça, jamais tu ne te résoudrais à le pratiquer en désespoir de cause. C'est dommage d'en arriver là... À la limite, si tu jouais la victoire. J'avais cru comprendre que ce n'était pas le cas... Mais bon, puisque tu roules à 40-45 seul, et à 55-60 en groupe (ce qui te permettrait de faire les CLM par équipe en UCI Pro Tour), je révise mon jugement : à moins de nager comme une enclume, tu dois souvent arriver premier au parc ! Donc tu te fais voler de très belles places à cause du drafting !mistertri a écrit :Le problème à Mimizan n'est pas la largeur de la route, aucunement car si chaque athlète respecte le règlement, c'est pas dur de doubler des mecs en fil indienne.
Le pire, et chaque année c'est pareil, tu roules à 40-45, seul, tu t'allumes la gueule et quand les mecs te reprennent, ils ne roulent et attendent que tu fasses le boulot, ils ne veulent surtout pas se griller pour te mettre la race en càp. C'est nul car à la limite, tant qu'à rouler à paquet, autant être honnête, ou malhonnête c'est au choix, et se mettre le compte. Que chacun prenne ses relais et que l'on roule à 55-60 pour envoyer du gros mais les mecs n'ont pas de couilles, surtout quand ils savent que tu roules fort.
Perso, on en a reparlé avec un pote cycliste, si l'année prochaine je le refais, je l'attends à la sortie du parc et dés que le groupe nous revient sur la gueule, on met une mine à 2 jusqu'à l'arrivée, tant pis pour les cartons, surtout si l'on ne se fait pas virer des classements.
C'est nul à chier, je déteste cette mentalité mais je m'adapte, Darwin avait raison, la théorie de l'évolution fonctionne aussi dans le triathlon
Ton ironie est par forcément utile. Si tu reprends mes posts sur n'importe quel course, je suis le premier à condamner le drafting et relis ce que je dis au début pour essayer de comprendre.Choupix a écrit :C'est justement ce type de conclusion qui fait qu'on n'en sortira jamais... Si le drafting te débectait autant que ça, jamais tu ne te résoudrais à le pratiquer en désespoir de cause. C'est dommage d'en arriver là... À la limite, si tu jouais la victoire. J'avais cru comprendre que ce n'était pas le cas... Mais bon, puisque tu roules à 40-45 seul, et à 55-60 en groupe (ce qui te permettrait de faire les CLM par équipe en UCI Pro Tour), je révise mon jugement : à moins de nager comme une enclume, tu dois souvent arriver premier au parc ! Donc tu te fais voler de très belles places à cause du drafting !mistertri a écrit :Le problème à Mimizan n'est pas la largeur de la route, aucunement car si chaque athlète respecte le règlement, c'est pas dur de doubler des mecs en fil indienne.
Le pire, et chaque année c'est pareil, tu roules à 40-45, seul, tu t'allumes la gueule et quand les mecs te reprennent, ils ne roulent et attendent que tu fasses le boulot, ils ne veulent surtout pas se griller pour te mettre la race en càp. C'est nul car à la limite, tant qu'à rouler à paquet, autant être honnête, ou malhonnête c'est au choix, et se mettre le compte. Que chacun prenne ses relais et que l'on roule à 55-60 pour envoyer du gros mais les mecs n'ont pas de couilles, surtout quand ils savent que tu roules fort.
Perso, on en a reparlé avec un pote cycliste, si l'année prochaine je le refais, je l'attends à la sortie du parc et dés que le groupe nous revient sur la gueule, on met une mine à 2 jusqu'à l'arrivée, tant pis pour les cartons, surtout si l'on ne se fait pas virer des classements.
C'est nul à chier, je déteste cette mentalité mais je m'adapte, Darwin avait raison, la théorie de l'évolution fonctionne aussi dans le triathlon
