Bon... Vous excuserez mes approximations, mais après mon crash de 2001 sur 24h(198kms puis 26h en observation aux urgences pour déshydratation grave, reins bloqué et rhabdomyolyse extra-ordinaire)
j'ai bien potassé la question et Nathalie Boisseau vous dévoile tout dans ses écrits
Mais depuis, comme je considère cela comme un axiome, je ne le démontre plus et donc, j'ai oublié quelques paramètres secondaires qui rendent approximatives mes explications...
Alors sache éric d que tous les efforts sportifs que tu fais utilisent en grande majorité du glycogène comme carburant...
Surtout en CAP ou c'est le carburant quasiment unique qui est utilisé...
Le fameux mur hypoglycémique du marathon est, AMHA, un mur hydrique...
Quand cela arrive vraiment, ce mur hypoglycémique impose une baisse drastique de l'effort car les graisses ne peuvent fournir suffisamment de calorie vu la difficulté de combustion. En complément c'est top et très sensibilisé par les VMA en vélo type cyclosportive.
Donc quand l'hypo arrive sur du long, il faut faire gaffe que la déshydratation n'est pas aussi présente car en plus de faire du sport sur les graisses, le corps, avec les problèmes d'électrolytes et donc de msg de stress parasités, va se mettre à consommer des protéines !
J'ai ainsi perdu en 24h presque la moitié de ma cuisse droite. Une fois couché dans l'ambulance, impossible de me lever pour changer de brancard !
On perd de la graisse en se MUSCLANT, car les graisses sont le carburant n°1 des muscles à l'etat basal, plus on a de muscle, moins on a de graisse !
L'Papy_ZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzz