L'ACTUALITE DU CYCLISME
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Flecha: "Je ne raterais cela pour rien au monde"
À leur tour, comme les BMC, Blanco, quelques Garmin et plusieurs autres coureurs isolés, les Vacansoleil-DCM ont sillonné hier les routes glaciales qui serviront de théâtre au Circuit Het Nieuwsblad, demain.
Juan Antonio Flecha, la nouvelle recrue de la formation néerlandaise, y a emmené dix de ses nouveaux partenaires, dont Thomas De Gendt, qui ne courra pourtant ni demain, ni dimanche, mais pas Björn Leukemans, l’autre chef de file de l’équipe qui a préféré rouler en solitaire et effectuer des tests de matériel. L’Espagnol a rejoint la formation néerlandaise cet hiver, en provenance de Sky.
“Ici, j’ai plus de liberté, je peux enfin attaquer, comme je l’ai toujours fait auparavant, redevenir celui que j’ai toujours été, et non plus rouler en tête du peloton ou contrôler la course pour Froome, Wiggins ou Cavendish”, explique celui qui, il y a une dizaine d’années maintenant, est tombé amoureux des courses pavées et tout particulièrement de la classique d’ouverture de la saison belge. Hier, au départ de Grammont, chez Hilaire Van der Schueren, son directeur sportif, le petit groupe a remonté la plus grande partie du parcours vers Gand.
“Jusqu’à une dizaine de kilomètres de l’arrivée”, expliquait-il.
Dans tous les monts et secteurs pavés visités, Juan Antonio Flecha a régulièrement pris la tête du petit peloton et imposé un rythme qui en dit long sur sa forme et sa motivation. Depuis six ans, il n’a manqué qu’une seule fois le podium (voir ci-contre) dans l’épreuve flandrienne, c’était en 2008, l’année du solo victorieux de Philippe Gilbert.
“J’étais malade cette fois-là”, s’excuse-t-il, comme il défend la course. “C’est une épreuve très importante, un véritable événement. C’est la première fois qu’on roule sur les pavés et dans les côtes, c’est la première fois qu’on retrouve cette ambiance unique qu’il y a ici en Belgique et spécialement en Flandre. Vraiment, je ne raterais cela pour rien au monde.”
Flecha n’en fait pas mystère, un des secrets de sa réussite dans le Circuit Het Nieuwsblad est le véritable amour qu’il porte à la course.
“Quand vous voulez réellement quelque chose, vous avez déjà fait une grande partie du chemin”, assure avec le coureur le leader de Vacansoleil-DCM. “Tout est dans la volonté, dans l’envie de s’amuser, de faire la course. J’aime le Omloop (NdlR : circuit en flamand). J’y suis toujours bien, même quand je ne suis pas au top, pas à cent pour cent comme c’est le cas à chaque fois. Mais à chaque fois, je me donne à cent pour cent. Même quand, comme cette année, il fait froid ou mauvais.”
Car les conditions hivernales que vont rencontrer les concurrents ce week-end ne lui font absolument pas peur.
“Pourquoi ?” rigole celui qui, l’an passé, avait fini avec Vanmarcke et Boonen. “Ce sont ces conditions qui rendent cette course si spéciale. Il y a deux ans (NdlR : quand Langeveld l’avait battu de quelques centimètres dans un sprint serré à deux), j’avais vraiment savouré la course, j’étais devant, au ravito, j’avais enlevé mon anorak et j’avais fait la course. Dans ces conditions, c’est du pur bonheur, tandis que si vous êtes au fond du peloton, vous en bavez.
Il a peur de rien le Juan Antonio Flecha (A l'époque de la Rabobank....
)
À leur tour, comme les BMC, Blanco, quelques Garmin et plusieurs autres coureurs isolés, les Vacansoleil-DCM ont sillonné hier les routes glaciales qui serviront de théâtre au Circuit Het Nieuwsblad, demain.
Juan Antonio Flecha, la nouvelle recrue de la formation néerlandaise, y a emmené dix de ses nouveaux partenaires, dont Thomas De Gendt, qui ne courra pourtant ni demain, ni dimanche, mais pas Björn Leukemans, l’autre chef de file de l’équipe qui a préféré rouler en solitaire et effectuer des tests de matériel. L’Espagnol a rejoint la formation néerlandaise cet hiver, en provenance de Sky.
“Ici, j’ai plus de liberté, je peux enfin attaquer, comme je l’ai toujours fait auparavant, redevenir celui que j’ai toujours été, et non plus rouler en tête du peloton ou contrôler la course pour Froome, Wiggins ou Cavendish”, explique celui qui, il y a une dizaine d’années maintenant, est tombé amoureux des courses pavées et tout particulièrement de la classique d’ouverture de la saison belge. Hier, au départ de Grammont, chez Hilaire Van der Schueren, son directeur sportif, le petit groupe a remonté la plus grande partie du parcours vers Gand.
“Jusqu’à une dizaine de kilomètres de l’arrivée”, expliquait-il.
Dans tous les monts et secteurs pavés visités, Juan Antonio Flecha a régulièrement pris la tête du petit peloton et imposé un rythme qui en dit long sur sa forme et sa motivation. Depuis six ans, il n’a manqué qu’une seule fois le podium (voir ci-contre) dans l’épreuve flandrienne, c’était en 2008, l’année du solo victorieux de Philippe Gilbert.
“J’étais malade cette fois-là”, s’excuse-t-il, comme il défend la course. “C’est une épreuve très importante, un véritable événement. C’est la première fois qu’on roule sur les pavés et dans les côtes, c’est la première fois qu’on retrouve cette ambiance unique qu’il y a ici en Belgique et spécialement en Flandre. Vraiment, je ne raterais cela pour rien au monde.”
Flecha n’en fait pas mystère, un des secrets de sa réussite dans le Circuit Het Nieuwsblad est le véritable amour qu’il porte à la course.
“Quand vous voulez réellement quelque chose, vous avez déjà fait une grande partie du chemin”, assure avec le coureur le leader de Vacansoleil-DCM. “Tout est dans la volonté, dans l’envie de s’amuser, de faire la course. J’aime le Omloop (NdlR : circuit en flamand). J’y suis toujours bien, même quand je ne suis pas au top, pas à cent pour cent comme c’est le cas à chaque fois. Mais à chaque fois, je me donne à cent pour cent. Même quand, comme cette année, il fait froid ou mauvais.”
Car les conditions hivernales que vont rencontrer les concurrents ce week-end ne lui font absolument pas peur.
“Pourquoi ?” rigole celui qui, l’an passé, avait fini avec Vanmarcke et Boonen. “Ce sont ces conditions qui rendent cette course si spéciale. Il y a deux ans (NdlR : quand Langeveld l’avait battu de quelques centimètres dans un sprint serré à deux), j’avais vraiment savouré la course, j’étais devant, au ravito, j’avais enlevé mon anorak et j’avais fait la course. Dans ces conditions, c’est du pur bonheur, tandis que si vous êtes au fond du peloton, vous en bavez.
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Le froid, l’ennemi invisible
Les coureurs devront affronter des températures frôlant le zéro lors d’un week-end d’ouverture glacial
Le col de sa chemisette relevé jusqu’au-dessus d’un nez surmonté de larges lunettes fumées, Tom Boonen a les allures du parfait candidat à un hold-up au départ de la reconnaissance effectuée, mercredi, en compagnie de ses équipiers.
Alors qu’il pédalait encore dans la chaleur du Sultanat d’Oman, samedi dernier, le champion de Belgique a dû se replonger dans l’atmosphère glaciale d’un hiver tardif à son retour au pays.
“Ce choc thermique (38 degrés) agresse véritablement l’organisme”, explique Jan Mathieu, le médecin de la formation Lotto-Belisol. “C’est, en partie, pour éviter cette énorme différence de températures que notre équipe a fait le choix de ne pas s’aligner sur les Tours du Qatar et d’Oman.”
Rentré en Europe dans la nuit de dimanche à lundi, le peloton actif dans le Moyen-Orient aura disposé de six jours pour s’adapter à ces conditions climatiques. “Deux à trois journées sont suffisantes à un sportif professionnel pour s’acclimater à ce froid”, juge encore le Dr Mathieu. “C’est, surtout, dans les premières heures que les coureurs doivent être vigilants. Il est, par exemple, important de ne pas effectuer de longues sorties ou de s’astreindre à des efforts violents.”
Habitué à entamer sa saison dans la touffeur australienne du Tour Down Under, Olivier Kaisen est rodé à ces violents changements climatiques. “Lors de mon retour au pays, je me cantonne le plus souvent à des sorties sur rouleaux, en intérieur, lors des deux premières journées”, explique le sympathique Namurois de chez Lotto-Belisol. “Ce n’est pas véritablement un problème puisque cette période est traditionnellement consacrée à la récupération. Une fois que l’on reprend la route, les sensations peuvent toutefois être très différentes et s’expliquent en partie par les couches de vêtements que l’on est amené à empiler alors qu’on évoluait en cuissard et simple maillot manches courtes quelques jours plus tôt. Mais la musculature est tout de même bien plus raide dans le froid. Là où un coureur se pensait en bonne condition dans la chaleur, il peut éprouver la sensation d’être collé une fois de retour en Belgique.”
“C’est que, par des températures frôlant le zéro, l’organisme a besoin de calories pour se réchauffer et use donc de l’énergie dans ce but” , éclaire encore le Dr Mathieu.
“Après cinq heures de course dans ces températures, le retour au bus de l’équipe est alors un vrai bonheur”, conclut Gaëtan Bille (Lotto-Belisol). “C’est un peu comme se mettre au coin du feu.” (rires)
Les coureurs devront affronter des températures frôlant le zéro lors d’un week-end d’ouverture glacial
Le col de sa chemisette relevé jusqu’au-dessus d’un nez surmonté de larges lunettes fumées, Tom Boonen a les allures du parfait candidat à un hold-up au départ de la reconnaissance effectuée, mercredi, en compagnie de ses équipiers.
Alors qu’il pédalait encore dans la chaleur du Sultanat d’Oman, samedi dernier, le champion de Belgique a dû se replonger dans l’atmosphère glaciale d’un hiver tardif à son retour au pays.
“Ce choc thermique (38 degrés) agresse véritablement l’organisme”, explique Jan Mathieu, le médecin de la formation Lotto-Belisol. “C’est, en partie, pour éviter cette énorme différence de températures que notre équipe a fait le choix de ne pas s’aligner sur les Tours du Qatar et d’Oman.”
Rentré en Europe dans la nuit de dimanche à lundi, le peloton actif dans le Moyen-Orient aura disposé de six jours pour s’adapter à ces conditions climatiques. “Deux à trois journées sont suffisantes à un sportif professionnel pour s’acclimater à ce froid”, juge encore le Dr Mathieu. “C’est, surtout, dans les premières heures que les coureurs doivent être vigilants. Il est, par exemple, important de ne pas effectuer de longues sorties ou de s’astreindre à des efforts violents.”
Habitué à entamer sa saison dans la touffeur australienne du Tour Down Under, Olivier Kaisen est rodé à ces violents changements climatiques. “Lors de mon retour au pays, je me cantonne le plus souvent à des sorties sur rouleaux, en intérieur, lors des deux premières journées”, explique le sympathique Namurois de chez Lotto-Belisol. “Ce n’est pas véritablement un problème puisque cette période est traditionnellement consacrée à la récupération. Une fois que l’on reprend la route, les sensations peuvent toutefois être très différentes et s’expliquent en partie par les couches de vêtements que l’on est amené à empiler alors qu’on évoluait en cuissard et simple maillot manches courtes quelques jours plus tôt. Mais la musculature est tout de même bien plus raide dans le froid. Là où un coureur se pensait en bonne condition dans la chaleur, il peut éprouver la sensation d’être collé une fois de retour en Belgique.”
“C’est que, par des températures frôlant le zéro, l’organisme a besoin de calories pour se réchauffer et use donc de l’énergie dans ce but” , éclaire encore le Dr Mathieu.
“Après cinq heures de course dans ces températures, le retour au bus de l’équipe est alors un vrai bonheur”, conclut Gaëtan Bille (Lotto-Belisol). “C’est un peu comme se mettre au coin du feu.” (rires)
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Tom Boonen avant le Circuit Het Nieuwsblad: «Ce sera tout ou rien»
Rentré rassuré du Tour d’Oman, Tom Boonen a reconnu les pavés de la première classique, hier, mais il ne se voit pas gagner samedi.
Cette fois, plus de doute : on y est! Si la saison est lancée depuis maintenant un mois, elle va connaître un coup d’accélérateur ce samedi, avec la première classique, le Circuit Het Nieuwsblad. Une Flandrienne, qui sent bon la tension et surtout le pavé! Et qui plaît donc à Tom Boonen, le roi de la précédente saison des courses flamandes.
Pourtant, et c’est un paradoxe, le champion de Belgique n’a jamais remporté le Nieuwsblad, échouant souvent de peu (comme l’an passé quand il a été surpris au sprint par Sep Vanmarcke). «J’ai perdu une belle occasion l’an passé de combler ce vide à mon palmarès, mais après, je n’ai pas eu à me plaindre de ma saison… », souriait, hier, Tom Boonen, après avoir reconnu, sur 130 bornes, le parcours du Nieuwsblad avec ses coéquipiers d’Omega Pharma-Quick Step.
« Mais c’est vrai, je n’ai jamais été super sur cette épreuve d’ouverture de la saison en Belgique. Et je risque d’être encore moins bien que d’habitude samedi! Mais peut-être que cela suffira pour la gagner enfin, peut-être que mes contretemps ont été tactiques (rires).»
Car le champion de Belgique n’a pas vécu un bon hiver, il a accumulé plusieurs pépins physiques. Avec une sérieuse infection au niveau des intestins en décembre, qui a nécessité un séjour à l’hôpital. Et avec une autre infection, inquiétante, en janvier, au niveau du coude, pour laquelle une hospitalisation d’urgence avait été nécessaire.
«Car j’aurais pu perdre mon bras…»
Ces ennuis de santé ont forcé le champion de Belgique à déclarer forfait pour les Tour de San Luis et du Qatar et il n’a décidé que samedi dernier, après une reprise rassurante au Tour d’Oman, de disputer le Nieuwsblad ce week-end. Mais avec des ambitions mesurées.
« J’ai envie de dire que vu d’où je reviens, ma condition est bonne», poursuit Boonen. «Mais elle est loin d’être celle de l’an passé! Ce ne sera pas à moi d’ouvrir la course, samedi, même si j’aime habituellement durcir l’épreuve sur le Taaienberg, où il faut être devant. C’est dur à prédire ce qu’on peut attendre de moi, j’ai l’impression que ce sera tout ou rien. Je vais suivre et on verra le final, même si je ne me vois pas jouer la victoire, car je n’ai été qu’une seule fois à fond cette année, lors de la dernière étape du Tour d’Oman, sur une vingtaine de minutes. La récupération, par contre, me semble bonne. Mais il y a une différence entre une étape du Tour d’Oman et une classique flamande… Je reste cependant motivé. Plus qu’avant ma reprise à Oman, car je me suis rassuré. Mais je reste réaliste, aussi. Je sais qu’il me faut encore du temps pour retrouver mon vrai niveau. Je ne suis pas au top, donc cela représente une belle chance pour mes coéquipiers. Car nous avons une forte équipe, ce qui me retire de la pression. Niki Terpstra est solide actuellement.»
En fonction de ses sensations, samedi, il décidera s’il s’aligne à Kuurne-Bruxelles-Kuurne, dimanche.
Rentré rassuré du Tour d’Oman, Tom Boonen a reconnu les pavés de la première classique, hier, mais il ne se voit pas gagner samedi.
Cette fois, plus de doute : on y est! Si la saison est lancée depuis maintenant un mois, elle va connaître un coup d’accélérateur ce samedi, avec la première classique, le Circuit Het Nieuwsblad. Une Flandrienne, qui sent bon la tension et surtout le pavé! Et qui plaît donc à Tom Boonen, le roi de la précédente saison des courses flamandes.
Pourtant, et c’est un paradoxe, le champion de Belgique n’a jamais remporté le Nieuwsblad, échouant souvent de peu (comme l’an passé quand il a été surpris au sprint par Sep Vanmarcke). «J’ai perdu une belle occasion l’an passé de combler ce vide à mon palmarès, mais après, je n’ai pas eu à me plaindre de ma saison… », souriait, hier, Tom Boonen, après avoir reconnu, sur 130 bornes, le parcours du Nieuwsblad avec ses coéquipiers d’Omega Pharma-Quick Step.
« Mais c’est vrai, je n’ai jamais été super sur cette épreuve d’ouverture de la saison en Belgique. Et je risque d’être encore moins bien que d’habitude samedi! Mais peut-être que cela suffira pour la gagner enfin, peut-être que mes contretemps ont été tactiques (rires).»
Car le champion de Belgique n’a pas vécu un bon hiver, il a accumulé plusieurs pépins physiques. Avec une sérieuse infection au niveau des intestins en décembre, qui a nécessité un séjour à l’hôpital. Et avec une autre infection, inquiétante, en janvier, au niveau du coude, pour laquelle une hospitalisation d’urgence avait été nécessaire.
«Car j’aurais pu perdre mon bras…»
Ces ennuis de santé ont forcé le champion de Belgique à déclarer forfait pour les Tour de San Luis et du Qatar et il n’a décidé que samedi dernier, après une reprise rassurante au Tour d’Oman, de disputer le Nieuwsblad ce week-end. Mais avec des ambitions mesurées.
« J’ai envie de dire que vu d’où je reviens, ma condition est bonne», poursuit Boonen. «Mais elle est loin d’être celle de l’an passé! Ce ne sera pas à moi d’ouvrir la course, samedi, même si j’aime habituellement durcir l’épreuve sur le Taaienberg, où il faut être devant. C’est dur à prédire ce qu’on peut attendre de moi, j’ai l’impression que ce sera tout ou rien. Je vais suivre et on verra le final, même si je ne me vois pas jouer la victoire, car je n’ai été qu’une seule fois à fond cette année, lors de la dernière étape du Tour d’Oman, sur une vingtaine de minutes. La récupération, par contre, me semble bonne. Mais il y a une différence entre une étape du Tour d’Oman et une classique flamande… Je reste cependant motivé. Plus qu’avant ma reprise à Oman, car je me suis rassuré. Mais je reste réaliste, aussi. Je sais qu’il me faut encore du temps pour retrouver mon vrai niveau. Je ne suis pas au top, donc cela représente une belle chance pour mes coéquipiers. Car nous avons une forte équipe, ce qui me retire de la pression. Niki Terpstra est solide actuellement.»
En fonction de ses sensations, samedi, il décidera s’il s’aligne à Kuurne-Bruxelles-Kuurne, dimanche.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
L'année dernière
http://www.sporza.be/cm/sporza/videozon ... /1.1230119
http://www.sporza.be/cm/sporza/videozon ... /1.1230149
http://www.sporza.be/cm/sporza/videozon ... /1.1230119 http://www.sporza.be/cm/sporza/videozon ... /1.1230149I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Pour suivre la course (14h30) viewtopic.php?f=12&t=47254&p=851581&hil ... ng#p851581
(les hommes qui peuvent prétendre la victoire sont assez nombreux...pour moi il faudra faire attention à Zdeněk Stybar, Heinrich Haussler, Lars Boom, Pozzato et Juan Antonio Flecha.....
)
viewtopic.php?f=12&t=47254&p=851581&hil ... ng#p851581(les hommes qui peuvent prétendre la victoire sont assez nombreux...pour moi il faudra faire attention à Zdeněk Stybar, Heinrich Haussler, Lars Boom, Pozzato et Juan Antonio Flecha.....
)
Dernière modification par Kenzo le 23 févr. 2013 13:28, modifié 2 fois.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Paris-Roubaix Espoirs annulé 
La course qui devait se disputer le dimanche 26 mai n'aura pas lieu, en raison de difficultés financières
Un communiqué du VC Roubaix Lille Métropole annonce l'annulation "pour difficultés financières liées au contexte économique actuel" de la 47-ème édition de Paris-Roubaix Espoirs (U23), qui devait se disputer le dimanche 26 mai.
"En raison de difficultés financières liées au contexte économique actuel, et de la concurrence que nous impose la Fédération française de cyclisme avec une manche de Coupe de France DN1 (Tour de la Marne), nous sommes de ce fait obligés de supprimer la 47-ème édition de Paris-Roubaix Espoirs", précise le communiqué.
Créé en 1967, Paris - Roubaix espoirs compte à son palmarès des grands noms du cyclisme tels que Georges Pintens (1967), Fons De Wolf (1978), Marc Madiot (1979), Stephen Roche (1980), Thierry Marie (1984), Frédéric Moncassin (1989), Thor Hushovd (1998) ou encore Yaroslav Popovych (2001). L'Américain Taylor Phinney a réussi le doublé en 2010 et 2001, tandis que le Luxembourgeois Bob Jungels l'avait emporté l'an dernier. L'édition de 2011 avait déjà failli être annulée.
L'épreuve juniore (17-18 ans), réservée aux équipes nationales et comptant pour la Coupe des Nations, se disputera bien comme prévu en prologue du Paris-Roubaix professionnels le dimanche 7 avril.
La course qui devait se disputer le dimanche 26 mai n'aura pas lieu, en raison de difficultés financières
Un communiqué du VC Roubaix Lille Métropole annonce l'annulation "pour difficultés financières liées au contexte économique actuel" de la 47-ème édition de Paris-Roubaix Espoirs (U23), qui devait se disputer le dimanche 26 mai.
"En raison de difficultés financières liées au contexte économique actuel, et de la concurrence que nous impose la Fédération française de cyclisme avec une manche de Coupe de France DN1 (Tour de la Marne), nous sommes de ce fait obligés de supprimer la 47-ème édition de Paris-Roubaix Espoirs", précise le communiqué.
Créé en 1967, Paris - Roubaix espoirs compte à son palmarès des grands noms du cyclisme tels que Georges Pintens (1967), Fons De Wolf (1978), Marc Madiot (1979), Stephen Roche (1980), Thierry Marie (1984), Frédéric Moncassin (1989), Thor Hushovd (1998) ou encore Yaroslav Popovych (2001). L'Américain Taylor Phinney a réussi le doublé en 2010 et 2001, tandis que le Luxembourgeois Bob Jungels l'avait emporté l'an dernier. L'édition de 2011 avait déjà failli être annulée.
L'épreuve juniore (17-18 ans), réservée aux équipes nationales et comptant pour la Coupe des Nations, se disputera bien comme prévu en prologue du Paris-Roubaix professionnels le dimanche 7 avril.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Paolini remporte le circuit Het Nieuwsblad en costaud
"Cela faisait trois ans que je courais après une victoire. C'est le succès de l'expérience, a expliqué Paolini (36 ans). J'ai parfaitement senti la course: quand Vandenbergh a attaqué, j'ai su que c'était la roue à suivre".
Vandenbergh a placé son attaque à une trentaine de kilomètres du but.
L'équipier de Tom Boonen chez Omega Pharma et Paolini ont faussé compagnie à un groupe d'échappés parmi lesquels figuraient plusieurs favoris, notamment les Belges Greg Van Avermaet (finalement 5e) et Jurgen Roelandts (8e) mais aussi le Français Sylvain Chavanel qui, coincé par la course d'équipe, a échoué en 7e position.
Boonen s'est lui rassuré en terminant dans le premier peloton mais sa forme n'est pas optimale après un hiver contrarié par des ennuis digestifs et une blessure à un coude.
Paolini, qui ne s'était plus imposé depuis la Coppa Bernocchi en août 2009 en Italie, succède au Belge Sep Vanmarcke et ambitionne de monter sur le podium du Tour des Flandres dans un mois.
"Je vais me préparer avec l'objectif de terminer parmi le Top-3 du Ronde, a-t-il déclaré. Même à 36 ans, je me sens encore capable de jouer les premiers rôles, surtout si, comme aujourd'hui (samedi), les conditions sont difficiles. Quand il fait froid, Luca est toujours là !".
Dimanche, le week-end d'ouverture en Belgique se poursuit avec Kuurne-Bruxelles-Kuurne, une semi-classique qui convient généralement bien aux sprinters. Le Britannique Mark Cavendish fait figure de favori mais se méfiera des Allemands André Greipel et Marcel Kittel.
Paolini: "Vandenbergh était le plus fort, moi le plus rapide"
"C'est un très beau succès. Je veux remercier mon équipe parce que j'ai pu préparer ce genre de course avec le soin nécessaire". J'ai terminé ici 4e il y a trois ans et l'an dernier j'ai animé la course, mais j'ai dû laisser la victoire à un autre. Aujourd'hui, cela a réussi. Stijn Vandenbergh était peut-être le plus fort en course aujourd'hui. Moi, j'étais le plus rapide des deux. Mais j'ai eu peur qu'il attaque dans le dernier secteur de pavés. Mais iln'y avait pas tellement de punch dans son accélération et j'ai pu rester avec lui. Je suis parti à 300 mètres de l'arrivée et j'ai senti très vite que j'allais remporter cette belle course."
"Serais-je favori pour le Tour des Flandres? Peut-être que oui, peut-être que non. J'étais déjà bon ces dernières années. Je suis déjà monté sur le podium de "la plus belle des Flandres" et ce serait superbe de le refaire en 2013."
Van Avermaet: "Une chance de manquée"
Pointé comme l'un des favoris de la 68e édition du Circuit Het Nieuwblad Greg Van Avermaet (BMC) a finalement dû se contenter de la 5e place, loin des deux échappés Luca Paolini et Stijn Vandenbergh qui ont joué la victoire jusqu'au bout.
"Je vois mon résultat comme une chance de manquée", a reconnu Van Avermaet. "Stijn Vandenbergh et Luca Paolini sont partis sur la Lippenhovestraat. Je n'étais pas alors bien placé et voulais avancer car je sentais que le danger se rapprochait. Je n'ai pas comblé l'écart avec l'homme devant moi et les deux ont pu créer un trou. A un moment, ils avaient une avance d'une demi-minute et je savais déjà qu'il serait difficile de les reprendre. J'avais une bonne sensation aujourd'hui, c'est pourquoi j'ai accéléré dans le Molenberg afin de diminuer la taille de notre groupe. Soudain ce fut le noir devant les yeux. Je pense que j'ai manqué de sucre et j'ai dû prendre quelque chose. Et alors est arrivé le démarrage de Vandenbergh et Paolini auquel je n'ai pas pu répondre. J'ai bien débuté la saison. La 5e place est la confirmation de ma forme. Bien sûr, j'aurais préféré être plus près mais ce ne fut pas possible."
ITA 1 PAOLINI, Luca (KATUSHA) 4:52:15
BEL 2 VANDENBERGH, Stijn (OMEGA PHARMA - QUICK-STEP)
BEL 3 VANDOUSSELAERE, Sven (TOPSPORT VLAANDEREN - BALOISE) + 1:13
GBR 4 THOMAS, Geraint (SKY PROCYCLING)
BEL 5 VAN AVERMAET, Greg (BMC RACING TEAM)
ITA 6 BANDIERA, Marco (IAM CYCLING)
FRA 7 CHAVANEL, Sylvain (OMEGA PHARMA - QUICK-STEP)
BEL 8 ROELANDTS, Jurgen (LOTTO BELISOL)
BEL 9 WYNANTS, Maarten (BLANCO PRO CYCLING TEAM)
ESP 10 GARCIA ECHEGUIBEL, Egoitz (COFIDIS, SOLUTIONS CREDITS)
GER 11 CIOLEK, Gerald (MTN - QHUBEKA) + 6:27
ITA 12 BELLETTI, Manuel (AG2R LA MONDIALE)
LUX 13 DRUCKER, Jean-pierre (ACCENT JOBS - WANTY)
RUS 14 TSATEVITCH, Alexey (KATUSHA)
BEL 15 PLANCKAERT, Baptiste (CRELAN - EUPHONY)
FRA 16 PETIT, Adrien (COFIDIS, SOLUTIONS CREDITS)
NOR 17 BOASSON HAGEN, Edvald (SKY PROCYCLING)
FRA 18 TURGOT, Sébastien (TEAM EUROPCAR)
AUS 19 HAUSSLER, Heinrich (IAM CYCLING)
NZL 20 BAUER, Jack (GARMIN SHARP)
BLR 21 KUCHYNSKI, Aliaksandr (KATUSHA)
SUI 22 ELMIGER, Martin (IAM CYCLING)
BEL 23 DE BACKER, Bert (TEAM ARGOS-SHIMANO)
BEL 24 VANTOMME, Maxime (CRELAN - EUPHONY)
NED 25 LINDEMAN, Bertjan (VACANSOLEIL-DCM PRO CYCLING TEAM)
"Cela faisait trois ans que je courais après une victoire. C'est le succès de l'expérience, a expliqué Paolini (36 ans). J'ai parfaitement senti la course: quand Vandenbergh a attaqué, j'ai su que c'était la roue à suivre".
Vandenbergh a placé son attaque à une trentaine de kilomètres du but.
L'équipier de Tom Boonen chez Omega Pharma et Paolini ont faussé compagnie à un groupe d'échappés parmi lesquels figuraient plusieurs favoris, notamment les Belges Greg Van Avermaet (finalement 5e) et Jurgen Roelandts (8e) mais aussi le Français Sylvain Chavanel qui, coincé par la course d'équipe, a échoué en 7e position.
Boonen s'est lui rassuré en terminant dans le premier peloton mais sa forme n'est pas optimale après un hiver contrarié par des ennuis digestifs et une blessure à un coude.
Paolini, qui ne s'était plus imposé depuis la Coppa Bernocchi en août 2009 en Italie, succède au Belge Sep Vanmarcke et ambitionne de monter sur le podium du Tour des Flandres dans un mois.
"Je vais me préparer avec l'objectif de terminer parmi le Top-3 du Ronde, a-t-il déclaré. Même à 36 ans, je me sens encore capable de jouer les premiers rôles, surtout si, comme aujourd'hui (samedi), les conditions sont difficiles. Quand il fait froid, Luca est toujours là !".
Dimanche, le week-end d'ouverture en Belgique se poursuit avec Kuurne-Bruxelles-Kuurne, une semi-classique qui convient généralement bien aux sprinters. Le Britannique Mark Cavendish fait figure de favori mais se méfiera des Allemands André Greipel et Marcel Kittel.
Paolini: "Vandenbergh était le plus fort, moi le plus rapide"
"C'est un très beau succès. Je veux remercier mon équipe parce que j'ai pu préparer ce genre de course avec le soin nécessaire". J'ai terminé ici 4e il y a trois ans et l'an dernier j'ai animé la course, mais j'ai dû laisser la victoire à un autre. Aujourd'hui, cela a réussi. Stijn Vandenbergh était peut-être le plus fort en course aujourd'hui. Moi, j'étais le plus rapide des deux. Mais j'ai eu peur qu'il attaque dans le dernier secteur de pavés. Mais iln'y avait pas tellement de punch dans son accélération et j'ai pu rester avec lui. Je suis parti à 300 mètres de l'arrivée et j'ai senti très vite que j'allais remporter cette belle course."
"Serais-je favori pour le Tour des Flandres? Peut-être que oui, peut-être que non. J'étais déjà bon ces dernières années. Je suis déjà monté sur le podium de "la plus belle des Flandres" et ce serait superbe de le refaire en 2013."
Van Avermaet: "Une chance de manquée"
Pointé comme l'un des favoris de la 68e édition du Circuit Het Nieuwblad Greg Van Avermaet (BMC) a finalement dû se contenter de la 5e place, loin des deux échappés Luca Paolini et Stijn Vandenbergh qui ont joué la victoire jusqu'au bout.
"Je vois mon résultat comme une chance de manquée", a reconnu Van Avermaet. "Stijn Vandenbergh et Luca Paolini sont partis sur la Lippenhovestraat. Je n'étais pas alors bien placé et voulais avancer car je sentais que le danger se rapprochait. Je n'ai pas comblé l'écart avec l'homme devant moi et les deux ont pu créer un trou. A un moment, ils avaient une avance d'une demi-minute et je savais déjà qu'il serait difficile de les reprendre. J'avais une bonne sensation aujourd'hui, c'est pourquoi j'ai accéléré dans le Molenberg afin de diminuer la taille de notre groupe. Soudain ce fut le noir devant les yeux. Je pense que j'ai manqué de sucre et j'ai dû prendre quelque chose. Et alors est arrivé le démarrage de Vandenbergh et Paolini auquel je n'ai pas pu répondre. J'ai bien débuté la saison. La 5e place est la confirmation de ma forme. Bien sûr, j'aurais préféré être plus près mais ce ne fut pas possible."
ITA 1 PAOLINI, Luca (KATUSHA) 4:52:15
BEL 2 VANDENBERGH, Stijn (OMEGA PHARMA - QUICK-STEP)
BEL 3 VANDOUSSELAERE, Sven (TOPSPORT VLAANDEREN - BALOISE) + 1:13
GBR 4 THOMAS, Geraint (SKY PROCYCLING)
BEL 5 VAN AVERMAET, Greg (BMC RACING TEAM)
ITA 6 BANDIERA, Marco (IAM CYCLING)
FRA 7 CHAVANEL, Sylvain (OMEGA PHARMA - QUICK-STEP)
BEL 8 ROELANDTS, Jurgen (LOTTO BELISOL)
BEL 9 WYNANTS, Maarten (BLANCO PRO CYCLING TEAM)
ESP 10 GARCIA ECHEGUIBEL, Egoitz (COFIDIS, SOLUTIONS CREDITS)
GER 11 CIOLEK, Gerald (MTN - QHUBEKA) + 6:27
ITA 12 BELLETTI, Manuel (AG2R LA MONDIALE)
LUX 13 DRUCKER, Jean-pierre (ACCENT JOBS - WANTY)
RUS 14 TSATEVITCH, Alexey (KATUSHA)
BEL 15 PLANCKAERT, Baptiste (CRELAN - EUPHONY)
FRA 16 PETIT, Adrien (COFIDIS, SOLUTIONS CREDITS)
NOR 17 BOASSON HAGEN, Edvald (SKY PROCYCLING)
FRA 18 TURGOT, Sébastien (TEAM EUROPCAR)
AUS 19 HAUSSLER, Heinrich (IAM CYCLING)
NZL 20 BAUER, Jack (GARMIN SHARP)
BLR 21 KUCHYNSKI, Aliaksandr (KATUSHA)
SUI 22 ELMIGER, Martin (IAM CYCLING)
BEL 23 DE BACKER, Bert (TEAM ARGOS-SHIMANO)
BEL 24 VANTOMME, Maxime (CRELAN - EUPHONY)
NED 25 LINDEMAN, Bertjan (VACANSOLEIL-DCM PRO CYCLING TEAM)
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Kenzo a écrit :C'est du beurre en spray (buttery spray)
Désolé...
Terroristes, JE VOUS EMMMMMMERDE !
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Kuurne-Brussel-Kuurne annulé
Ce n'est pas la première fois que Kuurne-Bruxelles-Kuurne est annulé en raison des conditions météo
La 66e édition de l'épreuve cycliste Kuurne-Bruxelles-Kuurne (catégorie 1.1) a été annulée ce dimanche en raison des chutes de neige, ont annoncé les organisateurs ce dimanche matin. la décision a été prise en concertation avec le jury des commissaires, les services sécurité et les directeurs sportifs.
Les chutes de neige dans la nuit de samedi à dimanche ont rendu certains secteurs des 196 km du parcours très dangereux.
Les organisateurs souhaitaient la sécurité pour les coureurs et ne pas mettre en danger les suiveurs et les spectateurs et voilà pourquoi la rencontre a été annulée.
Ce n'est pas la première fois que Kuurne-Bruxelles-Kuurne est annulé en raison des conditions météo. Ce fut déjà le cas en 1986 et 1993.
Ce n'est pas la première fois que Kuurne-Bruxelles-Kuurne est annulé en raison des conditions météo
La 66e édition de l'épreuve cycliste Kuurne-Bruxelles-Kuurne (catégorie 1.1) a été annulée ce dimanche en raison des chutes de neige, ont annoncé les organisateurs ce dimanche matin. la décision a été prise en concertation avec le jury des commissaires, les services sécurité et les directeurs sportifs.
Les chutes de neige dans la nuit de samedi à dimanche ont rendu certains secteurs des 196 km du parcours très dangereux.
Les organisateurs souhaitaient la sécurité pour les coureurs et ne pas mettre en danger les suiveurs et les spectateurs et voilà pourquoi la rencontre a été annulée.
Ce n'est pas la première fois que Kuurne-Bruxelles-Kuurne est annulé en raison des conditions météo. Ce fut déjà le cas en 1986 et 1993.
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Ce week-end, il y a un paquet de courses cyclistes qui sont annulées en raison des conditions climatiques.Kenzo a écrit :Kuurne-Brussel-Kuurne annulé
Ce n'est pas la première fois que Kuurne-Bruxelles-Kuurne est annulé en raison des conditions météo
La 66e édition de l'épreuve cycliste Kuurne-Bruxelles-Kuurne (catégorie 1.1) a été annulée ce dimanche en raison des chutes de neige, ont annoncé les organisateurs ce dimanche matin. la décision a été prise en concertation avec le jury des commissaires, les services sécurité et les directeurs sportifs.
Les chutes de neige dans la nuit de samedi à dimanche ont rendu certains secteurs des 196 km du parcours très dangereux.
Les organisateurs souhaitaient la sécurité pour les coureurs et ne pas mettre en danger les suiveurs et les spectateurs et voilà pourquoi la rencontre a été annulée.
Ce n'est pas la première fois que Kuurne-Bruxelles-Kuurne est annulé en raison des conditions météo. Ce fut déjà le cas en 1986 et 1993.
Philippe
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Oui comme hier pour "la Drôme Classic"
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
A taaaaable !!!
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