Bon ben voila, c'est fait ! Ironman... il va falloir maintenant que j'arrête de boire de l'eau car il parait que ca fait rouiller !
Petit retour sur une journée extraordinaire :
Départ 7h00 avec la vague des bonnets jaunes, et je trouve que ça frotte beaucoup, moi qui aime nager dégagé, je perds un peu mes repères et ceci jusqu'au demi-tour ou je retrouve un peu d'eau pour faire parler la glisse et je remonte sur les premiers de la vague jaune. quelques crampes aux mollets, un peu de dos et quelques étirements plus tard, je sors en 58', transition façon CD et me voilà en 1h00 au départ du vélo.
Premier passage sur le pont et déjà cette foule incroyable qui sera présente tout le long du parcours, les jambes vont bien, je remonte sur des Jorg, Jurgen et autres Klauss tous au guidon de vélo de science fiction, roues lenticulaires et j'en passe. Je m'alimente régulierement à base alternée de barre de céréales et de gels toutes les 1/2 heures et je mange quelques bananes au passage, je bois environ 4.5 litres d'eau et de boissons iso, du coup j'ai tout le temps envie de pisser, mais toujours sur le vélo dans les descentes, selon une méthode empruntée dans un post de FIRONMAN, la pate levée comme un caniche sur son réverbère.
Fin du vélo en 4h58', content le garçon !!!
Transition en 4' et un petit tas, le temps de virer la trifonction pour une tenue légère de CAP, crème solaire, un petit pipi (encore..) et c'est parti pour 42km, jamais courru cette distance jusqu'à ce jour et comme c'est ma discipline faible, je part aux sensations, choissisant un rythme qui doit m'emmener au bout, je regarde passer les kilomètres et ceux-ci defile à raison de toutes les 5'10, je me dis que c'est pas mal pour une enclume, j'avais pronostiqué dans le meilleur des cas de courrir en 4h00 et ce rythme m'ammène plutôt à esperer 3h40, je passe en effet le semi en 1h50, la suite, evidemment dur, à partir du 25km, je décide de marcher simplement pendant les ravitos, afin de bien assimiller les boissons et les gels (tous les 4km depuis le départ), mais j'ai toujours les jambes qui vont bien, les kilomètres passent, j'entends la rumeur monter, je me permet encore un dernier kilomètre en 4'30 le sourire jusqu'au oreille, je passe la ligne, marathon en 3h50, temps total 09:53:41, incroyable, j'aurais déjà été aux anges avec 10h30.
Bon je vous laisse, j'ai un pack de bière au frais, et félicitations à tous les finisher, parce que y'a pas à dire, un ironman, c'est du costaud !
Roth: bilan de la course
A mon tour.
Comme c'est chacun son tour voici mon (long) récit :
Après avoir entendu que du bien au sujet de Roth j'ai décidé que ce serai là que je ferai mon premier IM.
Je ne vous raconte pas tous les détails des jours précédents la course mais on sent que l'organisation est bien huilée, il y a des bénévoles partout chacun à son poste et sachant ce qu'il a à faire.
Une organisation pareille a un côté rassurant pour moi qui suis vierge de toute expérience IronManesque, à ma grande surprise je ne suis pas trop stressé, la veille de la course je dors en pointillé et je suis réveillé avant que le réveil ne sonne.
Bien qu'il y ait plusieurs triathlètes dans l'hôtel où je demeure tout est étrangement calme, chacun prends son petit déjeuner dans le silence, pas un mot plus haut que l'autre, la pression est perceptible.
Pas trop le temps de traîner, tout le monde arrive très tôt sur place pour être sûr de n'avoir rien oublié et avoir le temps de soigner le moindre petit détail.
Un long cortège de triathlètes portant leurs sacs s'étire en silence le long du canal jusqu'à l'air de départ.
Arrivée dans le parc à vélo là on sent que cela s'agite un peu plus, chacun vérifie que son vélo a bien passé la nuit, vas-y que je te refais le niveau du bidon, un tour aux toilettes, vas-y que je te rajoute un peu de pression à l'arrière, un tour aux toilettes, vas-y que j'ajoute un gel dans ma musette sans oublier un p'tit tour aux toilettes. J'ai compté j'y suis allé 3 fois avant le départ, comme ça j'avais la conscience soulagée et je pouvais partir serein.
L'ambiance monte de plus en plus car l'heure de départ de la vague Elite approche, ils sont partis avec de l'avance de peur d'être rattrapés par les gueux comme nous. Vu du parc à vélo le pont qui enjambe le canal est déjà noir de monde.
Dernière vérification du matos et je commence à penser à ma natation, objectif : me faire plaisir sans me mettre dans le rouge.
N'ayant pas fourni de temps de référence je pars dans l'avant dernière vague à 7H15, Copste pour me motiver me dit "tu vas finir premier de ta vague" et moi je lui réponds "meuh non!!".
Je profite de l'effervescence et je taxe les Français que je croise, un peu de vaseline pour la combi et un peu de crème solaire pour le teint.
Je croise Roland (de Xtriathlon) c'est un IM de reprise pour lui, nous discutons comme si de rien n'était en nous rendant vers le sas de départ de la natation (en fait le départ est dans 1 minute). Je souhaite bonne course à Roland et je me dirige vers la ligne pour être en tête au départ de la natation.
Cela ne traîne pas à peine la ligne atteinte et le départ est donné. Quelques nageurs se regroupent et partent en tête, je pars tranquille (quand même pas trop) et lorsque j'arrive à leur hauteur je me dis que ce n'est pas la peine de compter avec eux et donc je trace ma route seul et je prends la tête de ma vague (sympa comme impression). La natation dans le canal se fait facile, des grosses bouées oranges pour s'orienter et des grosses bouées bleues pour faire demi-tour.
A l'allure où j'avance je rattrape plusieurs vagues successivement, je me rends compte qu'un type de ma vague s'est mis dans mes jambes, cela ne me dérange pas plus que ça mais j'aurai préféré qu'il trace sa ligne de son côté car c'est moi qui fait l'orienteur et lui n'a plus qu'à se mettre dans la vague (et avec mon gabarit cela doit faire une bonne vague). Mais dis donc c'est déjà la sortie de l'eau (53' et quelques), je récupère mon sac et j'entre dans la tente, je suis pris en charge par une bénévole et très rapidement je suis en tenue de vélo.
J'enfourche ma superbe monture et c'est parti pour 90 premiers kilomètres de folie, et là les kilomètres défilent et je laisse derrière moi pas mal de concurrents des vagues précédentes (désolé Copste je ne t'ai même pas vu). Au bout de 90 bornes sans avoir l'impression de m'être mis dans le rouge j'ai un peu plus de 36 km/h de moyenne, je vérifie mon cardio, je suis à 155 sur le plat et à peu près 165 en haut des bosses donc je suis bien.
Malgré cela j'ai un passage à vide entre le 120 iéme et le 130 iéme, roulant en position aéro depuis à peine 1 mois et en plus sur un vélo neuf la fatigue musculaire se fait sentir, je cherche ma position, j'essai de m’étirer sur le vélo ce n'est pas facile. Je reprends moins de monde (sauf les féminines parties avec l'Elite ou juste après). Il y a quelques groupes qui se forment mais pas vraiment de drafting caractérisé.
A chaque fois la montée de Solarberg c'est la folie, c'est vraiment un truc à vivre une fois (ou plus...).
Je suis tout de même soulagé de poser le vélo (en 5H06) et pour une fois je suis presque content de courir. Re-prise en charge par une bénévole qui va même jusqu'à me mettre ma casquette.
Et c'est parti pour le marathon, ambitieux que je suis je pars sur une base de 12 km/h avec des pulses entre 145 et 150, cette allure qui n'a rien d'extraordinaire au prime abord va aller en diminuant, au bout d'une heure j'ai parcouru un peu plus de 11 kms.
C'est au bout d'1h30 que ça se gâte j'ai un méchant coup de barre, l'aller/retour le long du canal est terrible, qu'ils sont loins ses ravitos, un léger doute m'a même traversé l'esprit et si je n'y arrivais pas et si j'abandonnais.
Je dois raisonner mes jambes qui me supplient de marcher un peu, mon corps et moi nous nous mettons d'accord, on court entre chaque ravitaillement et on a le droit de marcher pendant les ravitos. Sur cet accord plein de bon sens me voilà parti pour faire des fractionnés de 2 kms. Là je dois dire chapeau à l'organisation il ne manquait de rien, j'alterne entre wasser/cola/wasser et wasser/guel/wasser et ça le fait bien. Je quitte le canal pour faire l'autre aller/retour plus court heureusement cela fait déjà 26 kms de parcourus et à ce moment je me dis que je vais y arriver.
Le public est nombreux sur le parcours, ils sont là à regarder tous ces sportifs que l'on croirait sortie d'un service de gériatrie à se traîner entre 10 et 12 km/h, les encouragements se font entendre tout le long du marathon et j'essai de sourire aux interpellations même si je ne suis pas au mieux, je ne suis pas venu pour faire la gueule.
Les kilomètres se font de plus en plus longs, heureusement le décompte a commencé, il reste une dernière bosse avant le stade et je commence à entendre le bruit des spectateurs, nous sommes plusieurs à arriver en même temps, un mec qui marchait se remet à courir (mieux qu'à Lourdes), je me dis que je vais accélérer, manque de pot mes jambes me rappellent à l'ordre "tu veux des crampes ou quoi ?!", bon je me contente d'augmenter l'allure mais je ne suis pas sûr de courir lentement ou bien de marcher vite, j'arrive dans le stade, les enfants tendent les mains pour "taper" et je joue le jeu, je leur sourie de toutes mes dents et enfin je franchie le portique, mes automatismes mes disent que ma puce a bien été enregistrée (le tapis a couiné sous mes pas) et j'arrête mon chrono machinalement.
En tout cas ce fut une sacrée dure, longue et belle journée et pour ne rien gâcher j'ai rencontré une charmante allemande sur le parcours qui parlait Français, nous avons tapé la discute au buffet sommes allés nous asseoir comme deux vieux (tu comprends mieux Copste pourquoi je ne t'ai pas attendu
).
Après avoir entendu que du bien au sujet de Roth j'ai décidé que ce serai là que je ferai mon premier IM.
Je ne vous raconte pas tous les détails des jours précédents la course mais on sent que l'organisation est bien huilée, il y a des bénévoles partout chacun à son poste et sachant ce qu'il a à faire.
Une organisation pareille a un côté rassurant pour moi qui suis vierge de toute expérience IronManesque, à ma grande surprise je ne suis pas trop stressé, la veille de la course je dors en pointillé et je suis réveillé avant que le réveil ne sonne.
Bien qu'il y ait plusieurs triathlètes dans l'hôtel où je demeure tout est étrangement calme, chacun prends son petit déjeuner dans le silence, pas un mot plus haut que l'autre, la pression est perceptible.
Pas trop le temps de traîner, tout le monde arrive très tôt sur place pour être sûr de n'avoir rien oublié et avoir le temps de soigner le moindre petit détail.
Un long cortège de triathlètes portant leurs sacs s'étire en silence le long du canal jusqu'à l'air de départ.
Arrivée dans le parc à vélo là on sent que cela s'agite un peu plus, chacun vérifie que son vélo a bien passé la nuit, vas-y que je te refais le niveau du bidon, un tour aux toilettes, vas-y que je te rajoute un peu de pression à l'arrière, un tour aux toilettes, vas-y que j'ajoute un gel dans ma musette sans oublier un p'tit tour aux toilettes. J'ai compté j'y suis allé 3 fois avant le départ, comme ça j'avais la conscience soulagée et je pouvais partir serein.
L'ambiance monte de plus en plus car l'heure de départ de la vague Elite approche, ils sont partis avec de l'avance de peur d'être rattrapés par les gueux comme nous. Vu du parc à vélo le pont qui enjambe le canal est déjà noir de monde.
Dernière vérification du matos et je commence à penser à ma natation, objectif : me faire plaisir sans me mettre dans le rouge.
N'ayant pas fourni de temps de référence je pars dans l'avant dernière vague à 7H15, Copste pour me motiver me dit "tu vas finir premier de ta vague" et moi je lui réponds "meuh non!!".
Je profite de l'effervescence et je taxe les Français que je croise, un peu de vaseline pour la combi et un peu de crème solaire pour le teint.
Je croise Roland (de Xtriathlon) c'est un IM de reprise pour lui, nous discutons comme si de rien n'était en nous rendant vers le sas de départ de la natation (en fait le départ est dans 1 minute). Je souhaite bonne course à Roland et je me dirige vers la ligne pour être en tête au départ de la natation.
Cela ne traîne pas à peine la ligne atteinte et le départ est donné. Quelques nageurs se regroupent et partent en tête, je pars tranquille (quand même pas trop) et lorsque j'arrive à leur hauteur je me dis que ce n'est pas la peine de compter avec eux et donc je trace ma route seul et je prends la tête de ma vague (sympa comme impression). La natation dans le canal se fait facile, des grosses bouées oranges pour s'orienter et des grosses bouées bleues pour faire demi-tour.
A l'allure où j'avance je rattrape plusieurs vagues successivement, je me rends compte qu'un type de ma vague s'est mis dans mes jambes, cela ne me dérange pas plus que ça mais j'aurai préféré qu'il trace sa ligne de son côté car c'est moi qui fait l'orienteur et lui n'a plus qu'à se mettre dans la vague (et avec mon gabarit cela doit faire une bonne vague). Mais dis donc c'est déjà la sortie de l'eau (53' et quelques), je récupère mon sac et j'entre dans la tente, je suis pris en charge par une bénévole et très rapidement je suis en tenue de vélo.
J'enfourche ma superbe monture et c'est parti pour 90 premiers kilomètres de folie, et là les kilomètres défilent et je laisse derrière moi pas mal de concurrents des vagues précédentes (désolé Copste je ne t'ai même pas vu). Au bout de 90 bornes sans avoir l'impression de m'être mis dans le rouge j'ai un peu plus de 36 km/h de moyenne, je vérifie mon cardio, je suis à 155 sur le plat et à peu près 165 en haut des bosses donc je suis bien.
Malgré cela j'ai un passage à vide entre le 120 iéme et le 130 iéme, roulant en position aéro depuis à peine 1 mois et en plus sur un vélo neuf la fatigue musculaire se fait sentir, je cherche ma position, j'essai de m’étirer sur le vélo ce n'est pas facile. Je reprends moins de monde (sauf les féminines parties avec l'Elite ou juste après). Il y a quelques groupes qui se forment mais pas vraiment de drafting caractérisé.
A chaque fois la montée de Solarberg c'est la folie, c'est vraiment un truc à vivre une fois (ou plus...).
Je suis tout de même soulagé de poser le vélo (en 5H06) et pour une fois je suis presque content de courir. Re-prise en charge par une bénévole qui va même jusqu'à me mettre ma casquette.
Et c'est parti pour le marathon, ambitieux que je suis je pars sur une base de 12 km/h avec des pulses entre 145 et 150, cette allure qui n'a rien d'extraordinaire au prime abord va aller en diminuant, au bout d'une heure j'ai parcouru un peu plus de 11 kms.
C'est au bout d'1h30 que ça se gâte j'ai un méchant coup de barre, l'aller/retour le long du canal est terrible, qu'ils sont loins ses ravitos, un léger doute m'a même traversé l'esprit et si je n'y arrivais pas et si j'abandonnais.
Je dois raisonner mes jambes qui me supplient de marcher un peu, mon corps et moi nous nous mettons d'accord, on court entre chaque ravitaillement et on a le droit de marcher pendant les ravitos. Sur cet accord plein de bon sens me voilà parti pour faire des fractionnés de 2 kms. Là je dois dire chapeau à l'organisation il ne manquait de rien, j'alterne entre wasser/cola/wasser et wasser/guel/wasser et ça le fait bien. Je quitte le canal pour faire l'autre aller/retour plus court heureusement cela fait déjà 26 kms de parcourus et à ce moment je me dis que je vais y arriver.
Le public est nombreux sur le parcours, ils sont là à regarder tous ces sportifs que l'on croirait sortie d'un service de gériatrie à se traîner entre 10 et 12 km/h, les encouragements se font entendre tout le long du marathon et j'essai de sourire aux interpellations même si je ne suis pas au mieux, je ne suis pas venu pour faire la gueule.
Les kilomètres se font de plus en plus longs, heureusement le décompte a commencé, il reste une dernière bosse avant le stade et je commence à entendre le bruit des spectateurs, nous sommes plusieurs à arriver en même temps, un mec qui marchait se remet à courir (mieux qu'à Lourdes), je me dis que je vais accélérer, manque de pot mes jambes me rappellent à l'ordre "tu veux des crampes ou quoi ?!", bon je me contente d'augmenter l'allure mais je ne suis pas sûr de courir lentement ou bien de marcher vite, j'arrive dans le stade, les enfants tendent les mains pour "taper" et je joue le jeu, je leur sourie de toutes mes dents et enfin je franchie le portique, mes automatismes mes disent que ma puce a bien été enregistrée (le tapis a couiné sous mes pas) et j'arrête mon chrono machinalement.
En tout cas ce fut une sacrée dure, longue et belle journée et pour ne rien gâcher j'ai rencontré une charmante allemande sur le parcours qui parlait Français, nous avons tapé la discute au buffet sommes allés nous asseoir comme deux vieux (tu comprends mieux Copste pourquoi je ne t'ai pas attendu
).
C'est le meilleur post depuis très, très longtemps !!!Jean Siri a écrit :Copste, tu m'en voudras pas d'avoir saccagé ton récit mais je suis tellement content que tu sois de nouveau parmi nous que j'ai cru voir dans tes propos un messages subliminal sur ton séjour en Allemagne
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GNR
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salut
hier soir j etais avec 2 collegues qui revenaient de roth:valerian et fabrice
visiblement ils ont ete impressionnés par l ambiance et le monde dans tous les villages
on a un peu fété cela et je pense qu ils ont encore besoin de repos (surtout valerian)car il n a pas bien digéré le rhum
il nous a fait une baisse de forme vers 1h00 du mat
fabrice quand a lui , avait tres mal aux jambes mais a tres bien tenu la secousse...
pour moi c est dur ce matin au boulot,j ai mal a la tete et mon entrainemnt du jour risque de zaper
je vais quand meme essayer de recuperer une photo de "monsieur 9h43 " en plein effort a 1h00 du mat
a+
a+
hier soir j etais avec 2 collegues qui revenaient de roth:valerian et fabrice
visiblement ils ont ete impressionnés par l ambiance et le monde dans tous les villages
on a un peu fété cela et je pense qu ils ont encore besoin de repos (surtout valerian)car il n a pas bien digéré le rhum
il nous a fait une baisse de forme vers 1h00 du mat
fabrice quand a lui , avait tres mal aux jambes mais a tres bien tenu la secousse...
pour moi c est dur ce matin au boulot,j ai mal a la tete et mon entrainemnt du jour risque de zaper
je vais quand meme essayer de recuperer une photo de "monsieur 9h43 " en plein effort a 1h00 du mat
a+
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livestrong
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dimanche matin 4h00 du matin : le réveil sonne. c'est pas génant je suis déjà réveillé depuis 30mn!
valérian et moi on se réveille doucement. on mange nos petits déjeuners sportdej pour lui, gatosport pour moi (pour une fois que mon gateau est bon). ensuite on commence à préparer nos boissons énérgétiques celle d'attente et celle pour l'effort. c'est à ce moment là que tom et fab arrivent. il est 4h30. on commence à se changer mais on garde quelquechose de chaud car l'attente va être longue avec cette histoire de vague de départ! après avoir vérifié 243 fois mon sac et regardé qu'il ne me manquait rien, on se dirige vers le parc à vélo, il est 5h10. il ne me reste plus que 2h avant mon 1er ironman.
le parc à velo est énorme 2300 velos pour les coureurs individuels, plus les équipes relais!
on va se faire marquer le n° sur le bras et la catégorie d'âge sur la jambe.
je vais faire gonfler les roues de mon velo. lorsque mon tour arrive je demande au bénévole de mettre 7bars dans mes pneus. je vérifie juste en appuyant sur le pneu et je le trouve un peu mou. mais de toute façon au contact je ne sais jamais ce que cela représente. je me dis que c'est l'angoisse (car elle va bien finir par arriver!!!). je retrouve fab et valerian et tom qui derrière la barrière nous mitraille avec son appareil photo. il est 6h10, dans 20 mn c'est le départ de valer qui part avec les élites. le départ de fab est dans 50 mn et le mien dans 1h. le premier départ est donné les pros sont partis, c'est l'explosion de joie sur le site. la seule peur que j'ai c'est de louper mon départ ce qui peu probable vu que des bénévoles verifient.
le départ, on doit nager pour rejoindre et je me rend compte que j'ai de bonnes sensations, vous imaginez pas comment ça rassure. je pars en première ligne et je prend un départ prudent. j'essaye de bien glisser. au bout de 300-400m on revient sur les bonnets jaunes de la vague partis 5mn avant nous. à partir de se moment là j'ai passer mon temps à slalomer entre ceux que je rattrappais. au bout de 3000 m, mes lunettes m'appuient sur un oeil ce qui est très génant. j'ssaye de les remettre mais pas moyen .dernier demi tour et là je vois la fin des 3800m et je peux enfin enlever ces satanées lunettes. je prends mon temps à la transition, j'ai peur d'oublier quelquechose.
le vélo, je dépasse beaucoup de monde, pourtant, je fais attention à mes sensations et je sens que je suis plutôt cool! je continue à ce rythme . il y a du monde partout c'est vraiment un grosse fête! les gens applaudissent, crient, font tourner leur kressel (désolé pour l'orthographe?). ils nous encouragent debout ou assis sur une térrase d'un bar, d'un restaurant. certains ont même déplacé la table de jardin, le parasol et le verre de bière pour nous soutenir. enfin le solarberg, cette bosse est connue de tous et l'on a tous hâte d'y arriver! à cette endroit on est considéré comme des ulrich, armsrtrong ou basso sur un tour de france à l'alpe d'huez. la foule est inimaginable quand on ne l'a pas vécu, du monde partout, partout, partout!!! des barrières ont été installées. on arrive dans un entonoir humain! la foule à la fin de la bosse s'écartent pour vous faire passer! c'est magique. je boucle le parcours vélo en 5h09 ce qui est top et je n'ai pas trop puisé dans mes ressources. j'ai été très régulier sur les 2 tours. à la transition on vous rammase votre sac et on vous aide à vous changer!
je pars en course à pied pour les 42.195km tout va bien. j'ai de bonnes sensations au niveau des jambes. toutefois j'ai du mal à respirer je pense que c'est dû à mes prolongateurs trop resserrés. les 5 premiers km se passent très bien et puis la barre dans l'estomac!!! je suis obligé de marcher- trottiner. quand je repense aux commentaires de certains: " sur ironman, la course commence au marathon" je comprend mieux maintenant! je n'arrive toujours pas à boire de boisson énergétique jusqu'au 10éme km . ensuite ça va beaucoup mieux mais j'ai perdu les bonnes sensations . je passe le km 15 et je me dis qu'il me reste 27 bornes. à ce moment là je me rappelle que tout le monde sur une épreuve comme l'ironman passe par des coups de moins bien et qu'il faut apprendre à positiver! ça marche ces conneries! les km passent, les jambes sont lourdes, les articulations rouillées. la ligne se rapproche au 30 ème km, je me dis que plus rien ne pourra m'empêcher de passer l'arrivée. à ce moment là les 10 km sont dur mais chargé d'émotions. cette émotion est multiplié de façon exponentielle quand on arrive dans le stadium et que la foule vous acclament!! mon marathon n'est pas super, je mets 4h00 mais je pensais que c'était pire que ça aux vues des sensations.
la ligne passée, des bénévoles vous apportent votre médaille. j'ai reussi je suis un ironman, un finisher! les larmes coulent pourtant je croyais que je serais totalement déshydraté. ensuite on reçoit sont t-shirt de finisher et direction le massage.
c'est magique comme épreuve!
mon temps total est 10h20 avec l'envie de passer un jour la barre des 10h00.
j'ai été content de rencontrer livestrong au petit dej du lendemain et d'autres du forum plus sympa les uns que les autres
valérian et moi on se réveille doucement. on mange nos petits déjeuners sportdej pour lui, gatosport pour moi (pour une fois que mon gateau est bon). ensuite on commence à préparer nos boissons énérgétiques celle d'attente et celle pour l'effort. c'est à ce moment là que tom et fab arrivent. il est 4h30. on commence à se changer mais on garde quelquechose de chaud car l'attente va être longue avec cette histoire de vague de départ! après avoir vérifié 243 fois mon sac et regardé qu'il ne me manquait rien, on se dirige vers le parc à vélo, il est 5h10. il ne me reste plus que 2h avant mon 1er ironman.
le parc à velo est énorme 2300 velos pour les coureurs individuels, plus les équipes relais!
on va se faire marquer le n° sur le bras et la catégorie d'âge sur la jambe.
je vais faire gonfler les roues de mon velo. lorsque mon tour arrive je demande au bénévole de mettre 7bars dans mes pneus. je vérifie juste en appuyant sur le pneu et je le trouve un peu mou. mais de toute façon au contact je ne sais jamais ce que cela représente. je me dis que c'est l'angoisse (car elle va bien finir par arriver!!!). je retrouve fab et valerian et tom qui derrière la barrière nous mitraille avec son appareil photo. il est 6h10, dans 20 mn c'est le départ de valer qui part avec les élites. le départ de fab est dans 50 mn et le mien dans 1h. le premier départ est donné les pros sont partis, c'est l'explosion de joie sur le site. la seule peur que j'ai c'est de louper mon départ ce qui peu probable vu que des bénévoles verifient.
le départ, on doit nager pour rejoindre et je me rend compte que j'ai de bonnes sensations, vous imaginez pas comment ça rassure. je pars en première ligne et je prend un départ prudent. j'essaye de bien glisser. au bout de 300-400m on revient sur les bonnets jaunes de la vague partis 5mn avant nous. à partir de se moment là j'ai passer mon temps à slalomer entre ceux que je rattrappais. au bout de 3000 m, mes lunettes m'appuient sur un oeil ce qui est très génant. j'ssaye de les remettre mais pas moyen .dernier demi tour et là je vois la fin des 3800m et je peux enfin enlever ces satanées lunettes. je prends mon temps à la transition, j'ai peur d'oublier quelquechose.
le vélo, je dépasse beaucoup de monde, pourtant, je fais attention à mes sensations et je sens que je suis plutôt cool! je continue à ce rythme . il y a du monde partout c'est vraiment un grosse fête! les gens applaudissent, crient, font tourner leur kressel (désolé pour l'orthographe?). ils nous encouragent debout ou assis sur une térrase d'un bar, d'un restaurant. certains ont même déplacé la table de jardin, le parasol et le verre de bière pour nous soutenir. enfin le solarberg, cette bosse est connue de tous et l'on a tous hâte d'y arriver! à cette endroit on est considéré comme des ulrich, armsrtrong ou basso sur un tour de france à l'alpe d'huez. la foule est inimaginable quand on ne l'a pas vécu, du monde partout, partout, partout!!! des barrières ont été installées. on arrive dans un entonoir humain! la foule à la fin de la bosse s'écartent pour vous faire passer! c'est magique. je boucle le parcours vélo en 5h09 ce qui est top et je n'ai pas trop puisé dans mes ressources. j'ai été très régulier sur les 2 tours. à la transition on vous rammase votre sac et on vous aide à vous changer!
je pars en course à pied pour les 42.195km tout va bien. j'ai de bonnes sensations au niveau des jambes. toutefois j'ai du mal à respirer je pense que c'est dû à mes prolongateurs trop resserrés. les 5 premiers km se passent très bien et puis la barre dans l'estomac!!! je suis obligé de marcher- trottiner. quand je repense aux commentaires de certains: " sur ironman, la course commence au marathon" je comprend mieux maintenant! je n'arrive toujours pas à boire de boisson énergétique jusqu'au 10éme km . ensuite ça va beaucoup mieux mais j'ai perdu les bonnes sensations . je passe le km 15 et je me dis qu'il me reste 27 bornes. à ce moment là je me rappelle que tout le monde sur une épreuve comme l'ironman passe par des coups de moins bien et qu'il faut apprendre à positiver! ça marche ces conneries! les km passent, les jambes sont lourdes, les articulations rouillées. la ligne se rapproche au 30 ème km, je me dis que plus rien ne pourra m'empêcher de passer l'arrivée. à ce moment là les 10 km sont dur mais chargé d'émotions. cette émotion est multiplié de façon exponentielle quand on arrive dans le stadium et que la foule vous acclament!! mon marathon n'est pas super, je mets 4h00 mais je pensais que c'était pire que ça aux vues des sensations.
la ligne passée, des bénévoles vous apportent votre médaille. j'ai reussi je suis un ironman, un finisher! les larmes coulent pourtant je croyais que je serais totalement déshydraté. ensuite on reçoit sont t-shirt de finisher et direction le massage.
c'est magique comme épreuve!
mon temps total est 10h20 avec l'envie de passer un jour la barre des 10h00.
j'ai été content de rencontrer livestrong au petit dej du lendemain et d'autres du forum plus sympa les uns que les autres
une bien belle citation:
LA DOULEUR PASSE, LA FIERTE RESTE!
LA DOULEUR PASSE, LA FIERTE RESTE!
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Bilbon-sacquet
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- Inscription : 28 janv. 2004 13:31
- Localisation : Partout où règnent sports et fiesta !!!
- Contact :
UN TRUC DE FOUS !!!!!!!!!!!!!!!!! TOUT LE MONDE DIT PAREIL !!!!!
Eh oui, finisher en 11h25, super content, car je m'étais pronostiqué en 12h00-30.
Natation gérée en 1h20 (tps estimé entre 1h16-1h20), ave de gros pbs d'orientation !! j'ai bien dû rallonger le plaisir de près de 200m !! alors pour l'enclûme que je suis, bin c'est moyen-moyen !!!
T1: 4'
Vélo: sans compteur, aux sensations avec consultation de mes temps de passage avec ma montre tous les 30km: une régularité de métronome et tout ceci sur le 39 !!! la plaque que dans les descentes !!!!
J'avais l'impression d'être cyclotouriste au beau milieu d'un contre la montre du tour !!!! Voyant déboulé des hordes d'allemands, en position aéro sur leurs machines de tabasse !!! Je me faisais littéralement déposé !!!!
Mais en observant les gabarits, je me disais qu'il y aurait du dégat sur la partie pédestre !!!! Alors j'ai géré tranquillement mon hydratation, mon alimentation, mes p'tits arrêts pipi, bref, que du bonheur sans me faire mal !!
Et dans le Solar !! UN TRUC DE FOUS !!! Quelques mètres avant le sommet, v'là t'y pas que CHRIS MAC CORMACK HIMSELF déboule !!!!
Je vous dis pas les Watts et décibels développés par les 20.000 spectateurs !!
J'étais comme un dingue, il me dépasse et ralentit juste devant moi pour prendre un ravito perso !!! FABULEUX !! Une image à jamais gravée dans ma tête !!!
Et le passage dans les villages animés, j'en ai profité à fond, en soulevant des tonnerres d'applaudissements lorsque je lançais des bises à tout le monde !! en plus, avec mon maquillage!! j'ai dû en emballer plus d'une !!!!
Comme disait Coluche: "Les sportifs, y z'emballent !!!"
Bref, vélo: 6h16 (tps estimé entre 6h00 et 6h30)
Je pose le vélo, je prends mon temps pour une transition lente (arrêt caca dans les cabines, plutôt que de me retrouver en DOMMAGE-ATTITUDE en pleine pampa sans "Péku"!!) qqs étirements et une T2 en 7mn !! Moyen-moyen !!
Mais alors là, commença une remontée fulgurante !! J'avais des ailes: 1er km en 3'40 !!!! OOUALALLALLA, fous les pélo, il part sur ses allures de 10km sec !!! bon, l'euphorie du départ, avec le monde et la partie descendante !! Allez, vite on réduit le foulée, on la rend rasante, mais en restant souple et économique. On ne néglige aucun ravito.
Et là, tous les Messerschmitt-Vélo se transforme en "Deudeuches" !! et moi, la valise Vélo, je me mute en 307 WRC (je privilégie Peugeot, je ne suis pas du Doubs pour rien !!!) et j'en ramasse, j'en ramasse !! seuls les coureurs-relais me doublent.
Passage au 10km en 47': ouolalla, je me dis, t'es fou !! à Bourg, sur le CD, t'as tourné le 10,5km en 46mn !!! Il va t'arriver des bricoles !! le mur du trente, tu vas te le prendre de plein fouet !!!!Bon, tant pis, on continue, on verra bien !!
Cette allure, avec premier arrêt pipi se maintient. Je vole toujours, avec parfois des petites douleurs qui se promènent entre le périoste, le mollet et d'autres membres, mais qui, dès que je me dis que c'est pas possible que je ne finisse pas, disparaissent aussitôt !! LE MENTAL !!! TOUJOURS LE MENTAL !!!!
Alors jusqu'au 25ème, super, après, cela commence à coincer un peu, alors je réduis l'allure, mais en tâchant de rester hyper concentré sur la foulée, avec les bras amples, surtout ne pas se crisper !! Penser à des choses positives, du style l'arrivée dans le stade plein et la bière !!!
La partie en bitume, faux plat jusqu'au deuxième demi-tour me parut interminable, mais dès le demi-tour !! Ca y est, c'est maitenant !! Là, je sais que je finis, il ne peut en être autrement, et je tâche de maintenir l'allure, car j'ai encore la lucidité de calculer le temps que je peux réaliser et je suis encore sur une base inférieure à 4h00, même en réduisant l'allure à 6mn au km !! Moi qui suis coureur, j'exulte dans ma tête !! et je continue, en passant outre les douleurs au dessus des deux cuisses !!
Et là, toute la partie retour digue-bois, comme une formalité, j'oublie la douleur !!
Et choses promise,chose dûe, à l'entrée du stade, on me fournit l'accessoire: la perruque !!! version homme préhistorique, que je "visse" à l'entrée sur mon crâne rasé !! Là, une bronca qui me fait encore frissoner !! Là, je me remémorre les paroles de Guy!! Profitez, marchez !!!
Je savoure en jetant des bises à ce fabuleux public !!
A deux km de l'arrivée, j'étais en DOMMAGE-ATTITUDE, car je pensais ne pas avoir assez de ressources pour effectuer ma BILBO-ROUE !!!
Mais une fois dans l'arène, survolté, pris et emporté par cette ambiance de feu, je m'arrête à 5m de la ligne, et là, les douleurs, la fatigue, plus rien, je m'élance et HOP, mes deux BILBO-ROUE que j'avais promises à tant de monde !!
Et là, je regarde le chrono que j'arrête après: 3h38 !! et le temps confirmé: 3h36 !! Pour moi, c'est énorme !!!!! Je suis hyper content, il y a au moins une discipline où j'ai fait une belle perf !!!
Je ne voulais pas passer pour une moitié !!! Je les ai faites !! j'ai passé la ligen et suis tombé dans les bras d'un de mes potes de club, le Totof, qui m'avait attendu !!
Et les larmes aux yeux, en pensant à mon Oncle, décédé du cancer il y a deux ans et pour qui je m'étais lancé ce défi en sa mémoire !! C'est cela qui m'a surtout donné la force, la motivation, de préparer l'évènement, de supporter toutes les heures d'entrainements, car c'est bien là le plus difficile !! Les mois de prépa !! les sorties vélo hivernales !! les heures de piscine !!! bref, malgré un plaisir de partiquer sa passion, des sacrifices exigeants !!
Voilà, une récompense !!!!!!!!!
MERCI AUX ORGANISATEURS, AUX NOMBREUX BENEVOLES !!! UNE USINE A REVE QU'ILS DISAIENT !!!
On n'a pas été trompé sur la marchandise !!!
Merci à Guy (pour ses encouragements sur la moto !!), à Cyrille (pour sa patience le matin à bien vouloir poser avec moi sur une photo souvenir !!), à tous les français qui m'ont encouragé et certain avec qui j'ai pu causer, notamment le Tique !!
Bref, que du Bonheur, que je souhaite à tout triathlète de vivre un jour, à Roth ou ailleurs, si tant est qu'il existe un triathlon de cette envergure !!!!
"Il est agréable d'être important, mais il est plus important d'être agréable" et pour appliquer cette devise allez sur www.bilbo-wheel.over-blog.com pour me rejoindre!!
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Kokovich
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Ca fait réver tous ces commentaires, c'est marrant comme la souffrance peut tout de même apporter énormément de plaisir... Comme quoi c'est surement vrai de dire que celle-ci est psychologique. LOL
Bravo à tous et j'espere vraiment rejoindre les rangs de finisher au soir du 15 Aout à Embrun et je ne vous raconte pas comment je stresse.
Je n'ai qu'une hate, y étre.
Bravo à tous et j'espere vraiment rejoindre les rangs de finisher au soir du 15 Aout à Embrun et je ne vous raconte pas comment je stresse.
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Si vis pacem, para bellum
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http://mistertri.canalblog.com
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Bilbon-sacquet
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- Localisation : Partout où règnent sports et fiesta !!!
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Eh bien Mistertri, tu pourras compter sur les encouragements des Rillettes !!
Certains sont sur l'Iron, et d'autres, comme moi, sur le CD, mais dès notre épreuve terminé, nous nous chargerons de vous booster !!
Faudra te faire connaitre, soit en donnant ton nom de club ou autre subtilité, comme moi, du genre maquillage ou perruque !!!
Tcho, El Bilbo
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eh les gars l'ironman c'était dimanche a roth, pas devant vos claviers pour le résumé 
bon moi j'ai un peu la flemme, et encore mal a la tête de ma petite dégustation de rhum d'hier (merci GNR!)
donc je me contente de féliciter tous les finishers, et pas seulement mes potes newi et fabrice qui m'ont impressionné. mention spéciale à DFF qui roule sur une autre planète, et à LIVESTRONG qui a porté haut son t shirt onlinetri!!
pour tous ceux qui n'ont pas fait la course et qui rêvent d'ironman : c'est vraiment LA course à faire. bien sur il y a beaucoup de belles courses de part de monde, mais je pense que Roth mérite bien une place à part dans le calendrier!
bon aller je retourne devant le tour (ben oui je me prépare pour embrun en vibrant pour Jan Ullrich!!)
bon moi j'ai un peu la flemme, et encore mal a la tête de ma petite dégustation de rhum d'hier (merci GNR!)
donc je me contente de féliciter tous les finishers, et pas seulement mes potes newi et fabrice qui m'ont impressionné. mention spéciale à DFF qui roule sur une autre planète, et à LIVESTRONG qui a porté haut son t shirt onlinetri!!
pour tous ceux qui n'ont pas fait la course et qui rêvent d'ironman : c'est vraiment LA course à faire. bien sur il y a beaucoup de belles courses de part de monde, mais je pense que Roth mérite bien une place à part dans le calendrier!
bon aller je retourne devant le tour (ben oui je me prépare pour embrun en vibrant pour Jan Ullrich!!)
Hard ain't enough
Je confirme que l'on découvre et apprend énormément de choses sur soi-même sur IM.....
Des limites, des possibilités, des transformations, des sensations physiques, psychologiques........des phases de concentration-déconcentration.
Mais le must', une humilité qui commence par soi-meme, avant de se repercuter sur les autres.....
Et comme je le dis souvent, de bonnes douleurs et fatigue.......car provoquées...
Des limites, des possibilités, des transformations, des sensations physiques, psychologiques........des phases de concentration-déconcentration.
Mais le must', une humilité qui commence par soi-meme, avant de se repercuter sur les autres.....
Et comme je le dis souvent, de bonnes douleurs et fatigue.......car provoquées...
KhRisSs
Les photos de la course sont en ligne sur http://www.live-sportphotos.com