onlinetri.com

Salut à tous,

Purée, les mecs, c'est bien beau les sorties régulières au train, mais faut aussi penser à s'amuser .

moi, j'aime bien aussi les sorties ou ça attaque un peu dans les bosses...faut pas rester toujours dans sa zone de confort.

enfin, moi, ça me plait quand ça bouge....

et je pense pas être spécialement pimpin, ni être pris pour tel (enfin, je peux me tromper)

Kayou a écrit :D'un autre côté les cyclistes roulent ainsi pour s'entraîner
Un triathlete qui roule au train en accélérant progressivement aura du mal à faire 2 tours sans sauter dans une course de velo à cause des relances, changement de rythme...
Ce genre d'entraînement, c'est quand même pas mal pour faire du fractionner, ne pas se transformer en diesel
Quand j'entends des gars dire qu'il faut y aller cool à cette saison car sinon les gars vont être cramés en juin, faut aussi penser au plaisir. Certains roulent pour s'entraîner et d'autres pour se faire plaisir, s'amuser

Diff entre Cycliste et triathlète souvent très impressionnante.

Le cycliste garde sa ligne, pas le triathlète qui est dangereux dès qu'il boit un coup ou regarde ailleurs que devant.
le cycliste est plus habitué au relais que le triathlète qui effectivement, va en remettre une couche pour 'prendre' le relais et non attendra qu'on lui laisse. C'est le syndrome classique du débutant que le triathlète garde très longtemps.
le cycliste pédale rond avec une certaine vélocité, le triathlète pédale carré...

Etc... Etc... Je suis triathlète et quand cela frotte, cela se voit bien !!!
J'aimerais être capable de me déshabiller ou me rhabiller dans un peloton comme les cyclistes font, sans foutre par terre une dizaine de cyclistes.

Sinon pour reprendre Kayou, les sorties avec cyclistes ou cela part dans tous les sens pour faire pancarte ou sommet de bosse, sont un MUST dont les triathlètes devraient s'inspirer. Aucun autre sport, aucun autre exercice ne sera capable de vous faire ce travail cardiaque inestimable et apprendre SES capacités insoupçonnées de savoir suivre une roue malgré que tout fume.
C'est pourquoi quand je peux faire faire une course FFC à des triathlètes, ils en reviennent souvent étonnés voire effrayés, mais avec une dose supplémentaire d'humilité et de modestie qui leur permet de mieux savoir se comporter en peloton ou face à l'effort solitaire quand un relachement à 30m du sommet se compte en dizaines de secondes voire minutes de RETARD à l'arrivée !

L'Papy_piètre_cycliste...

PS : Pour le casque c'est autant triathlète que cycliste qui sont rebelles à cette évidence d'en avoir un !

lopapy a écrit : J'aimerais être capable de me déshabiller ou me rhabiller dans un peloton comme les cyclistes font, sans foutre par terre une dizaine de cyclistes.

+1

Ce n'est pas le même sport, tout simplement ! Il y a la même monture (et encore !) mais c'est tout. Les spécialistes restent les cyclistes, je pense qu'on a pas mal à apprendre d'eux mais leur objectif est de poser le vélo (= finir) cramé alors que le notre est de poser le vélo avec un peu (ou bcp) de forces suivant la distance...

C'est pour cela que lorsque les cyclistes se mettent au tri, ils sont pas mal en vélo mais ont du mal (au début) sur la CaP car ils ne trichent pas sur vélo... et qd tu pètes sur marathon, ca peut être très loooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnng !

aurelie.218 a écrit :Le pimpim commente le marathon de Paris sur ces termes devant ses collègues et amis : "Ah oui hier vous avez vu le marathon de Paris à la TV. Mais ce n'est qu'un marathon...vous savez, nous les triathlètes, on fait le marathon en dessert après 3800 m de natation et 180 km de vélo !" [Véridique....commentaire déniché sur facebook]

Moi j'ai plutôt tendance à dire : les gars qui tournent en 2h30 c'est plus costaud que de finir un tri...

Je sais pas...
Pour moi la difficulté c'est surtout mentale et un gars qui fait 4h sur un marathon, sa perf peut être plus difficile pour lui qu'un gars qui va mettre 2h45.

Le temps ça veut pas dire grand chose, tout dépend des capacités de chacun.

Kayou a écrit :Je sais pas...
Pour moi la difficulté c'est surtout mentale et un gars qui fait 4h sur un marathon, sa perf peut être plus difficile pour lui qu'un gars qui va mettre 2h45.

Le temps ça veut pas dire grand chose, tout dépend des capacités de chacun.

En effet, il faudrait des classements par catégories de capacités de chacun.

On va laisser les spacialistes marathoniens tranquilles, et tu t'occupes de proposer l'idée aux organisateurs d'Embrun, à tout hasard ?

aurelie.218 a écrit :Le pimpim commente le marathon de Paris sur ces termes devant ses collègues et amis : "Ah oui hier vous avez vu le marathon de Paris à la TV. Mais ce n'est qu'un marathon...vous savez, nous les triathlètes, on fait le marathon en dessert après 3800 m de natation et 180 km de vélo !" [Véridique....commentaire déniché sur facebook]

Parler de marathon sur IM c'est presque un abus de langage.
Je trouve que faire un marathon, course et prépa comprise, avec un objectif chrono optimisé au maximum de son potentiel, c'est plus difficile qu'un IM.

Ça va dépendre de l'allure ! C'est sûr que faire un marathon en moins de trois heure est plus dure que de faire la CAP d'un IM en 4h30 (en gérant son vélo donc il commence ''frais'' sa CAP) alors que le mec à 19 de VMA...

jmboma a écrit :

aurelie.218 a écrit :Le pimpim commente le marathon de Paris sur ces termes devant ses collègues et amis : "Ah oui hier vous avez vu le marathon de Paris à la TV. Mais ce n'est qu'un marathon...vous savez, nous les triathlètes, on fait le marathon en dessert après 3800 m de natation et 180 km de vélo !" [Véridique....commentaire déniché sur facebook]

Parler de marathon sur IM c'est presque un abus de langage.
Je trouve que faire un marathon, course et prépa comprise, avec un objectif chrono optimisé au maximum de son potentiel, c'est plus difficile qu'un IM.

Ça dépend..faire une prépa IM avec un objectif de temps, genre qualif Hawaï, ça pique. Bouffer des sorties vélo en plein hiver et faire des enchaînements c'est également difficile.

le triathlon est une épreuve complexe de Gestion de l'effort , avoir des prédispositions dans une ou plusieurs disciplines est un avantage certain mais cela ne suffit pas. Un marathon sec est une spécialité qui est difficile mais avec une matrice de gestion des paramètres moins complexe que celle de l'IM . Donc la comparaison sur le niveau et la difficulté me paraît hasardeuse'.

jmboma a écrit :

aurelie.218 a écrit :Le pimpim commente le marathon de Paris sur ces termes devant ses collègues et amis : "Ah oui hier vous avez vu le marathon de Paris à la TV. Mais ce n'est qu'un marathon...vous savez, nous les triathlètes, on fait le marathon en dessert après 3800 m de natation et 180 km de vélo !" [Véridique....commentaire déniché sur facebook]

Parler de marathon sur IM c'est presque un abus de langage.
Je trouve que faire un marathon, course et prépa comprise, avec un objectif chrono optimisé au maximum de son potentiel, c'est plus difficile qu'un IM.

Ce n'est pas plus difficile, c'est différent. Tout comme la façon de courir ces 2 types de marathons est différente. En tout cas pour la majorité d'entre nous.
Ce qui est plus difficile à mes yeux est un 100 bornes. là on tape dans le dur. Car un marathon sec, avec l'habitude, ça passe. autrement mieux que le 100 bornes

FAYARD a écrit :

jmboma a écrit :

aurelie.218 a écrit :Le pimpim commente le marathon de Paris sur ces termes devant ses collègues et amis : "Ah oui hier vous avez vu le marathon de Paris à la TV. Mais ce n'est qu'un marathon...vous savez, nous les triathlètes, on fait le marathon en dessert après 3800 m de natation et 180 km de vélo !" [Véridique....commentaire déniché sur facebook]

Parler de marathon sur IM c'est presque un abus de langage.
Je trouve que faire un marathon, course et prépa comprise, avec un objectif chrono optimisé au maximum de son potentiel, c'est plus difficile qu'un IM.

Ça dépend..faire une prépa IM avec un objectif de temps, genre qualif Hawaï, ça pique. Bouffer des sorties vélo en plein hiver et faire des enchaînements c'est également difficile.

Oui mais l'intensité est nettement moins importante.

Si tu vas par là, alors l'intensité d'un 10km est encore supérieure, sans parler 5000m, 3000m, 1500m, etc...

Comparer, c'est ridicule. Parler "d'abus de langage" c'est déplacé de mon point de vue.

Il y a mésentente au niveau de la difficulté des épreuves. Un Ironman fait rêver beaucoup de gens car parcourir la distance n'est pas à la portée de tous, contrairement à un 10 kilomètres.

Par contre, tourner en moins de 32' au 10 kilomètres est loin d'être faisable par tout le monde et est réservé à une élite. Il doit pas y avoir tellement plus de gens capable de cette performance que d'être finisher d'un IM.De là à dire ce qui est le plus dur entre préparer et terminer un IM et boucler un 10 kilomètres en 32', je pencherais pour la seconde performance.

Il faut à mon sens bien distinguer longueur d'épreuve et performance de chrono.

Et ton intervention ne rime à rien car terminer un IM en moins de 9h n'est-ce pas une performance ?
Tout comme pour certaines personnes avec de gros soucis médicaux finir un 10k c'est une perf.
Arrêtons de comparer ce qu'on ne peut comparer.