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Odin a écrit : C'est Embrun. Quand tu t'inscris à cette course, tu connais tous ces inconvénients. Sinon, tu peux faire les ironmans à 500 euros.

Tu peux aussi venir chez moi...

Oui, il faudra aussi tester l'organisation de l'Altriman, pour être équitable dans la critique... Et se faire une idée, puisque les deux se tirent la bourre pour savoir lequel est le plus dur ?

J'y pense donc très sérieusement...

xl_triathlon a écrit :L'Embrunman 2011 (le 15 août) vient de changer son règlement sur les ravitaillements en boisson (eau, Coca, boisson maison...) pour la course à pied.

Désormais, chaque concurrent va devoir porter pendant les 42 km du marathon son verre en plastique et attendre d'être servi à chaque ravitaillement ou échanger son verre.

Sensible au respect de l'environnement, je trouve cependant cette mesure excessive ! Je m'interroge sur sa vocation, et s'il ne s'agit pas là encore d'une mesure d'économie dans l'organisation de cet ironman mythique d'Embrun.

Pour l'économie, les organisateurs de l'Embrunman font déjà leur boisson énergétique maison avec leur propre recette. Certains triathlètes, réguliers de l'épreuve, n'hésitant pas non plus à parler de la pauvreté des ravitaillements en général.

Fondée ou non, cette mesure risque cependant de pénaliser les triathlètes pas toujours en forme à la sortie du vélo et après 8 à 10 heures en moyenne d'effort avant d'attaquer le marathon. A suivre...

1) comme Gaëlle 37 vient de te le dire, l'an dernier, c'était idem: gobelet, (avec ceinture porte gobelet inutilisable..)Dans la pratique, tu trouves des gobelets à chaque ravito cap..
2) il est plus pratique de courir avec un gobelet à la main qu'avec la bitte à deux mains.....mon cousin...
3) effectivement, mieux vaut être en "auto autonomie" pour être sûr des produits qu'on ingurgite....mais ce n'est pas propre à EM...Ainsi, le breuvage énergétique de l'Alpe étzit moyen moyen de goût....Quant à l'efficacité, RAS, mais on était pas vraiment sous la canicule ( les canicules m'emballent....OK

elle est moche ta contrepèterie!!!

Parfois,

j'ai l'impression que les triathlètes vivent dans un monde parallèle

Les verres pliables, vous connaissez pas
Vous pensez pas que dans d'autres sports, les sportifs ont de vrais problèmes de place, de poids : alpinisme...

La solution à votre problème existentiel : le verre pliable en plastique qui trouvera sa place une fois replié dans votre tenue.
Bien sûr, cela coûte pas cher, mais je ne doute pas que quand une marque dédiée au triathlon s'y intéresse, on atteigne les 10 euros

http://www.shopwiki.fr/Verre-pliable

moi j ai collé sur un gobelet en plastic un peut rigide style camping un bout de velcro(male) de 5cm sur 5cm
que je viens coller sur ma ceinture porte dossard ou j ai cousu le meme bout de velcro(femelle)
prix de l ensemble gobelet 1.5 euro(decat)
velcro 0.5 euro(castorama)
fil aiguille (ça j avais)
j ai fait une dizaine de trails avec sous la pluie et la neige meme
jammais perdus
salut richie t a vu sur leboncoin il y a un rider en 650 a vendre pas cher.........
serge

moi j ai collé sur un gobelet en plastic un peut rigide style camping un bout de velcro(male) de 5cm sur 5cm
que je viens coller sur ma ceinture porte dossard ou j ai cousu le meme bout de velcro(femelle)

A combien proposes-tu la prestation ?

Retours d'expériences très instructifs ! Du verre pliant à la technique scratch, je vois que le sujet interpelle pas mal de monde.

Cela a seulement un inconvénient. Visiblement, il sera possible d'échanger son gobelet contre un plein sur les ravitos (ce qui disqualifie ces deux méthodes ainsi que celle du gobelet attaché avec un élastique). L'échange permettrait en effet d'éviter la file d'attente pour le remplissage (quand on est pressé !).

En tout cas, je plains les pauvres bénévoles qui risquent de s'arracher les cheveux dans ce joyeux concert du ravitaillement. Visiblement, ils s'en sont bien sortis l'an passé. Mais l'histoire ne dit pas si ça aussi été le cas des concurrents...

xl_triathlon a écrit :Oui, il faudra aussi tester l'organisation de l'Altriman, pour être équitable dans la critique... Et se faire une idée, puisque les deux se tirent la bourre pour savoir lequel est le plus dur ?

J'y pense donc très sérieusement...

Je pense pas qu'ils se tirent la bourre, Embrun est mythique, l'Altriman est clairement plus dur

malheureusement au vus de ce qui ce passe sur les trails et dans certaines autre discipline sportives j ai bien peur que cela se generalise dans peu de temps
ce qui n est quand meme pas une mauvaise chose pour la nature.......
allez voir le haut de la gineste au passage de marseille cassis vous comprendrez mieux...
apres idealement pour moi c est carrément plus de ravito du tout autonomie complete pour tout le monde
serge

Oui mais dans ce cas on n'est plus dans la même approche : l'Ironman reste pour une partie des participants (disons tous les moins de 12h) une course et non pas un ultra ou une rando...ça va être difficile dans nos ptites têtes de faire évoluer ces courses en course semi-autonomie je pense.

malheureusement au vus de ce qui ce passe sur les trails et dans certaines autre discipline sportives j ai bien peur que cela se generalise dans peu de temps
ce qui n est quand meme pas une mauvaise chose pour la nature.......
allez voir le haut de la gineste au passage de marseille cassis vous comprendrez mieux...
apres idealement pour moi c est carrément plus de ravito du tout autonomie complete pour tout le monde

Clairement, l'environnement n'est plus une alternative (en tout cas dans le monde occidental). Mais bien un critère intégré de (sur)vie. C'est pourquoi cette préoccupation est permanente qu'il s'agisse de l'Embrunman. Ou des centaines d'heures d'entraînement que l'on fait pour le préparer.

D'ailleurs, le sport n'est-il pas intrinsèquement un choix de vie en harmonie avec la nature ? Qui peut se satisfaire d'un : "je balance mes déchets et au bout d'un mois quand je repasserai je parcourrai allègrement mon amoncellement d'ordures" ?

Après le contexte d'une course est particulier.
1. on ne fait pas un Embrunman tous les jours et cela demande des ressources particulières
2. même si on commence par se battre contre soi-même, il s'agit quand même d'une course où l'adversité est un vif stimulant (même si la convivialité est forte dans ce type d'épreuve), et l'espoir de faire un temps (si l'on termine) motivant
3. nous sommes habitués à la continuité dans l'effort, et le fait de l'interrompre pour la logistique peut être perturbant...
4. l'autonomie complète est peut-être la solution. Certains s'en approchent. Mais mieux vaut s'y être préparé avant !

En attendant, il va falloir improviser.

Cela dit, la pression (et l'excitation) de vivre le mythe monte carrément !

Tous ces petits soucis sont dus à la méconaissance du tri de l'organisateur, qui n'a jamais mis un dossard en course à pied, vélo et encore moins en tri....comme la plupart des bénévoles "chefs" de l'orga...a part je crois le gars de la nat qui a fait du tri....il y a bien un club à Embrun mais je crois écarté de l'orga pour de sombres histoires dont je n'ai pas les détails.....

tout peut bien ou malheureusement évolué
le drafting a bien été autorisé pour l elite depuis les jo.......................

malheureusement au vus de ce qui ce passe sur les trails et dans certaines autre discipline sportives j ai bien peur que cela se generalise dans peu de temps
ce qui n est quand meme pas une mauvaise chose pour la nature.......
allez voir le haut de la gineste au passage de marseille cassis vous comprendrez mieux...
apres idealement pour moi c est carrément plus de ravito du tout autonomie complete pour tout le monde


Clairement, l'environnement n'est plus une alternative (en tout cas dans le monde occidental). Mais bien un critère intégré de (sur)vie. C'est pourquoi cette préoccupation est permanente qu'il s'agisse de l'Embrunman. Ou des centaines d'heures d'entraînement que l'on fait pour le préparer.

D'ailleurs, le sport n'est-il pas intrinsèquement un choix de vie en harmonie avec la nature ? Qui peut se satisfaire d'un : "je balance mes déchets et au bout d'un mois quand je repasserai je parcourrai allègrement mon amoncellement d'ordures" ?

Après le contexte d'une course est particulier.
1. on ne fait pas un Embrunman tous les jours et cela demande des ressources particulières
2. même si on commence par se battre contre soi-même, il s'agit quand même d'une course où l'adversité est un vif stimulant (même si la convivialité est forte dans ce type d'épreuve), et l'espoir de faire un temps (si l'on termine) motivant
3. nous sommes habitués à la continuité dans l'effort, et le fait de l'interrompre pour la logistique peut être perturbant...
4. l'autonomie complète est peut-être la solution. Certains s'en approchent. Mais mieux vaut s'y être préparé avant !

En attendant, il va falloir improviser.

belle analyse tu a raison
serge