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débutant a écrit :

Silver0l a écrit :Diminuer d'1 ou 2 bars quand le sol est mouillé.

Boire ou conduire, il faut choisir.

C'est encore plus vrai lorsque le sol est mouillé, car encore plus de risque.
Donc dans ce cas, avant de partir, oublis les 2 derniers bars de la tourné. Il faut savoir s'arrêter à temps.

Bonjour, tout-à-fait. Attention notamment aux bars situés de part et d'autre de la rue: les bars parallèles. Très dangereux quand la chaussée est humide.
À+!

Je roule en continental sprinter pour les entrainements et aller au boulot en vélo. En quittant le boulot, la pression est maintenue, ils resistent bien à la crevaison. Ils durent assez longtemps.

Pour la compétition, j'utilise les Latex.. Vittoria... et donc c'est gonflage systèmatique dans les parcs avant le départ.

J'ajuste la pression à la baisse si le revetement est mauvais ou "granuleux".C'est par exemple pour des routes en gravier. Trop gonflés je ne trouve pas que ca va plus vite, ca secoue. Logiquement, je trouve alors le boyau plus confortable. Je ne sais pas si d'autres ajustent le gonflage dans ce cas.

totodua a écrit :Je roule en continental sprinter pour les entrainements et aller au boulot en vélo. En quittant le boulot, la pression est maintenue, ils resistent bien à la crevaison. Ils durent assez longtemps.

Pour la compétition, j'utilise les Latex.. Vittoria... et donc c'est gonflage systèmatique dans les parcs avant le départ.

J'ajuste la pression à la baisse si le revetement est mauvais ou "granuleux".C'est par exemple pour des routes en gravier. Trop gonflés je ne trouve pas que ca va plus vite, ca secoue. Logiquement, je trouve alors le boyau plus confortable. Je ne sais pas si d'autres ajustent le gonflage dans ce cas.

Les pros font pareils...ils sous gonflent pour des courses type Paris-Roubaix.

FAYARD a écrit :

totodua a écrit :Je roule en continental sprinter pour les entrainements et aller au boulot en vélo. En quittant le boulot, la pression est maintenue, ils resistent bien à la crevaison. Ils durent assez longtemps.

Pour la compétition, j'utilise les Latex.. Vittoria... et donc c'est gonflage systèmatique dans les parcs avant le départ.

J'ajuste la pression à la baisse si le revetement est mauvais ou "granuleux".C'est par exemple pour des routes en gravier. Trop gonflés je ne trouve pas que ca va plus vite, ca secoue. Logiquement, je trouve alors le boyau plus confortable. Je ne sais pas si d'autres ajustent le gonflage dans ce cas.

Les pros font pareils...ils sous gonflent pour des courses type Paris-Roubaix.

Sans aller jusqu'aux courses type Paris-Roubaix (là les pros mettent du 28 je crois gonflé à 4 ou 5 bars), sur de bonnes routes je gonfle à 7,5 bars, sur route "râpe à fromage" j'enlève 0,5 à 1bar et il m'est arrivé sur un billard lisse comme une peau de bébé de mettre 9 bars (tout ça dans des boyaux qui peuvent en supporter bien plus) et j'aurais pu en mettre d'avantage.
La difficulté c'est le compromis entre le rendement et l'inconfort d'un vélo qui sautille.
Pour mettre en perspective tout cela, je faisais il y a peu et depuis quelques années 71/72kg...

Depuis plusieurs mois maintenant, je gonfle moins mes boyaux, plus que les tests ont prouvés qu'au dessus de 8 bars/ 8,5 bars, le rendement ne s'améliorait plus (sauf conditions particulières). Du coup, sur les routes de campagnes, 7,5 bars devant, et 8 derrière est largement suffisant pour mes 77kg.
Et je vérifie la pression à chaque fois.