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El-jibe a écrit :

rswrc a écrit :moi je dis à ma copine que c grace au triathlon que je suis un bon coup au lit comme ça elle me laisse m'entrainer autant que je veux par intéret

C'est pas ce qu'elle a dit à ton meilleur pote l'autre jour…

je comprends mieux pourquoi hier soir elle m'a dit " tu devrais aller refaire 2 heures de vélo"

je pense qu'il faut surtout ne pas se mettre des volumes d'entrainement trop important tout au long de l'annee
et pendant les phases un peu plus creuses profiter au maximum d'activite avec sa petite femme et famille
en cequi me concerne mon moyen de locomotion est le velo 50km aller retour pour aller au boulot
je cours entre midi et deux et je nage de temps en temps en piscine et en lac l'ete
il faut trouver des compromis

nzamal a écrit :
il faut trouver des compromis

Con promis, chose due

ok, je

ironturtle a écrit :Ce n'est pas dur, l'Ironman passe après la vie de famille, point. Il n'y a pas à tortiller. Le fait même de se poser des questions montre que l'on tortille. A partir du moment où les priorités sont bien établies tout se passe tout seul et les décisions sont prises "en famille".

Il me semble que , decidement, la tortue et moi soyons sur la même longueur d'onde...on ne doit donc pas être les seuls au global.
L'approche est très differente selon que tu ais des enfants ou pas et fonction de leur âge.
Ma situation est la suivante : marié à une femme (si ,si !!) pas du tout attirée par le tri et avec 2 trolls pas encore autonomes (7 et 5) quoiqu'ils en pensent.
De plus ,j'ai commencé le tri après l'arrivée de mes enfants.
De mon expérience , je retire qu'il faut y aller en douceur (toujours!).Un IM la première année , c'est un gros poids dans la balance........et le deséquilibre peut être dur à recuperer, surtout si ta compagne te fait remarquer que les enfants ont été fait à deux et qu'ils se gèrent...à deux. Ce qui me parait sensé comme raisonnement , donc l'organisation se fait par petite touches.
Ensuite , 1 objectif defini à l'avance par an (defini très à l'avance...cela permet de se faire à l'idée !!) , quelques courses de préparation locales ,et le reste de la saison sur l'acquit (perso , je ne vise pas le podium , mais me faire plaisir ..en me faisant un peu mal...ce n'est pas comme ça que l'on devient une bête de course mais je n'ai ni le temps ni la volonté ni les capacités pour y pretendre)
Et, pour avoir fait l'erreur l'an dernier avec Gerardmer , pas d'objectif après juillet. Les vacances en famille c'est sacré ! entrainement mini pour souvenir ensemble maxi !
Ensuite les enfants grandissant et devenant vraiment plus autonomes , l'équilibre évolue naturellement.
En bref , faire du tri , en forcant la famille à suivre , c'est un moyen très efficace pour tout perdre !
Au final , mes perfs ne sont pas extraordinaires mais je ne traine aucun sentiment de culpabilité. Quand je m'entraine c'est ma part d'égoïsme (faut pas se voiler la face non plus!) mais quand je suis à la maison c'est à 100% . Cela demande des efforts mais du coup , je me sens super bien dans mes baskets et tout le monde en profite !
Séance de psy terminée !

kénavo

On est au moins trois à penser de même! Avec un papier et un crayon, on se pose les vraies questions et ensuite on cherche en famille les réponses les plus difficiles.

Hervé qui du coup n'est pas sûr de se remettre au tri après 5 ans d'arrêt.

Moi je rentre du bureau de chomage à 8h13....j'lui mets une tarte dans sa gueule.....je la b..se a mort et je vais rouler...........

quand je rentre je me met a table pour bouffer...

L'après midi, je regarde 1 ou 2 cassettes de cul et je joue au foot sur la palystation.....ensuite petite séance de natation avec les potes (+ 2 ou 3 petites bieres en terrasse a mater les petites jeunes...) et quand je rentre comme je suis chaud boulette a cause des petits culs.....je lui refait son affaire pendant qu'elle s'occupe de mettre le linge dans la machine a laver.....

Apres je fais une petite sieste et quand je me reveille, les morveux sont rentré de l'école (même pas sur qu'il y ont été mais bon c'est pas grave vu que j'y ai pas été non plus...) et j'en profite pour aller courir avec mon copain polo qui vient de divorcé d'avec sa crapaute de saleté de femme qui n'a rien trouvé de mieux que de rendre cocu mon copain polo parcequ'il faisait trop de sport......non mais !!!!!!..

On court 1 bonne heure, et quand je rentre je me met a table pour manger....ensuite pendant que madame lave les morveux et les mets au lit.....je m'endors dans le divan.....avc le sentiment d'avoir bien progressé en traithlon aujourd'hui......

comme toutes les methodes.......il suffit d'y croire

up

rswrc a écrit :moi je dis à ma copine que c grace au triathlon que je suis un bon coup au lit comme ça elle me laisse m'entrainer autant que je veux par intéret

ok, mais un jour il faudra lui en apporter la preuve

et en plus je gagne des courses comme ça je lui ramène des fleurs

j'ai la solution

ne faites pas de gosses ça sert ça sert à rien,
ne vous casez pas...baisez de temps en temps une femme différente c'est bcp mieux.

bizou

sinon faites comme scott et allen, faites un bb à 35 piges

Pour ma part, malgré mes heures d'entrainements et quelques bons résultats ,je ne suis pas prés de faire rêver ma femme, et oui, elle est
restée 5 ans avec un champion olympique!!!!!
imaginez les efforts que je dois faire pour lui faire accepter mes 12h30 d'entrainement par semaine, surtout que je ne serai jamais un champion olympique, moi!!!!!!!!!!!!!
de plus j'ai 2 enfants (6 ans et 4 mois) et un boulot difficilement conciliable avec une vie de famille!
en gros c'est la misére et je ne sais pas combien de temps elle va encore supporter cette situation........
Bon courage aux péres de famille..............

Pour concilier sport et famille, il faut penser CAMPING-CAR !

Cela fait maintenant quelques temps que notre vie est cyclé autours de cet engin, qui nous permet de pratiquer sports, visites touristiques, culturel, gastronomique, et de ne léser aucun membre de la famille.

La famille se résume en une femme pas trop sportive et une fille de 16 ans, anciennement sport-études ski de fond, mais qui ne souhaite plus se prendre la tête avec les résultats sportifs (à trop pousser les gamins, on les dégoutent), mais qui fait des compétitions « cool » ou le résultat ne compte pas vraiment, l’important étant de finir en donnant le meilleur.

Pour ma part, le problème est plus complexe que pour beaucoup, car en plus des triathlons du printemps au début de l’automne, je pratique le ski de fond et les courses de la Worldloppet (Suède, Norvège, Canada….)

Mes entrainements de cap sont relativement courts (50min à 1h30) et se glissent 2 à 3 fois par semaine le soir en rentrant du travail, même s’il fait nuit.
Mes 2 entrainements de natation se font également le soir, mais pratiqués en famille, car femme et enfant aiment à nager 2 fois 1 heure par semaine.

Les entrainements les plus « délicats » à gérer, car les plus longs sont les entrainements de vélo et de ski de fond. Ces longs entrainements ont lieu le WE.

L’hiver, le samedi matin, après avoir envoyé ma fille au lycée, 2 heures de vélo, puis à midi, on monte en camping-car (presque) tous les WE en station, en changeant régulièrement de site, afin d‘éviter la monotonie. Chacun vacant à ses propres activités (ski de fond sportivement, ski de fond ballade, ski alpin, raquette, ski-bar…..) au gré des envies. L’avantage du Camping-car, est qu’on rentre, qu’on sort quand on veut, sans dépendre les uns des autres. Généralement, je skie « violement » de mon coté ou avec ma fille 2 heures, puis après on se promène tranquillement en famille (sur les skis ou en raquettes). Rebelote le dimanche matin, avant de redescendre vers 14heures (il faut bien passer l’après-midi tranquillement à la maison).

Dés le printemps (à la fin des compétitions de ski), c’est pratiquement le même programme, mais avec des sorties camping-car dans des lieux agréables dans un rayon de 150km de la maison. Le samedi après-midi, (après ma sortie vélo du matin), on se fait en famille une ballade en vélo (30 à 40km) sur des petites routes touristiques, avec des pauses visites (cols, abbatiales, monuments…). Le dimanche matin, pendant la grasse matinée de ces dames, circuit vélo de 2 à 3 heures, ou 2h vélo + 1 h cap, puis promenade en famille et petit restaurant le midi puis retours en début d’après-midi.
C’est vrai que depuis un an, notre fille ne vient plus à chaque fois, et ce n’est pas plus mal, pour profiter d’un peu d’intimité.

Pour les compétitions de triathlon, c’est sympathique d’arriver la veille dans l’après-midi, de poser le camping-car a coté de la zone du triathlon, de faire la reconnaissance en famille.
Le jour de la course, pas besoin de se lever aux aurores, et la famille peut encourager depuis la porte du camping-car, tout en faisant les devoirs ou autres activités.
Puis quel bonheur, une fois la course terminée, de prendre une bonne douche, un apéro (éventuellement avec les copains du club), un petit repas en famille et amis, puis de rentrer, toujours en se baladant (la conduite d’un camping-car n’a rien à voir avec une voiture : on est relaxe).

Pour les grandes courses de ski à plus de 2000km (une par an), on part en avion, sans camping-car, généralement entre 10 à 15jours, la course se plaçant en début de séjour (entre le 3eme et 5eme jour), le reste du séjour étant consacré à la récupération active, c’est à dire à la visite de la région, ce qui plait à tout le monde.

Petit truc également : Une semaine avant l’IM ou le LD qui est mon objectif de l’année, et que je fais généralement entre fin juin et fin juillet, je pars en croisière avec mon épouse. Cela lui permet d’avoir de vraies vacances à son rythme et donc d’accepter plus facilement les contraintes que lui impose mon entrainement. Surtout pour elle, l’IM est devenu synonyme de plaisir, car il est systématiquement précédé d’une croisière.
Et pour moi, cette croisière est l’occasion d’avoir à disposition un centre merveilleux pour faire l’affutage (massages, sophronisation, salle de sport, sauna, salle de relaxation….), et une atmosphère festive, et culturel (excursions) permettant d’éliminer le stress d’avant course.

Avant d’avoir le camping-car, il m’était beaucoup plus difficile de concilier famille et sport. Ce qui fait que la mayonnaise a pris, c’est la variété des balades. Ce modèle ne peut pas fonctionner, si les balades familiale se font toujours sur le même circuit, car autant en entrainement sportif, on peut repasser 50 fois au même endroit sans se poser de question, autant il est impossible de motiver les troupes pour faire 50 WE de suite la même balade en vélo ou en ski.

Bravo aux courageux qui ont lu jusqu’à la fin ! Ils ont le droit au titre de "finisher"

Phiphivil a écrit :[..] les courses de la Worldloppet (Suède, Norvège, Canada….)[...]

World lopette, Championnat du monde des pimpims du ski de fond!!