1- okSilver0l a écrit :1) Il faut aller dans un bled à côté... OK, mais peut-être que si on s'était conduit décemment l'année d'avant, on aurait été mieux accueilli.FAYARD a écrit : et puis c'est vrai que le choix dans la date (je vous laisse découvrir l'onomatopée ) laisse à désirer...
2) L'arbitre n'a pas une lecture fluide et éloquente: va falloir mettre des cours de diction dans la formation des arbitres.
3) le parcours CAP: il y a des virages, de l'herbe et de la rubalise: quel scandale !!!
4) l'eau est froide: sûrement la faute à la Fédé qui n'a pas commandé le soleil la semaine d'avant
5) 3 euros la bière: va dans un café à Paris voir combien ça coûte...
6) l'eau est pas profonde sur 50m: ah oui, il se trouve qu'en triathlon, on court dans la nature, et que de temps en temps l'eau est pas profonde, ou qu'il y a des algues, ou des cailloux, ou (horreur!) des feuilles décomposées... On peut préférer des épreuves parfaitement calibrées et encadrées style Paris, mais pourquoi ne pas encore laisser des épreuves "à l'ancienne", paumées dans la campagne, non aseptisées, avec leurs petits "défauts" et surprises. De temps en temps on se racle le ventre dans la Vienne à Nouâtre, mais c'est quand même une épreuve très sympa! Et qu'on parle d'une Coupe de France ne change rien à l'affaire.
Mais c'est toujours pareil, on veut des prestations type IM avec le tarif du petit CD sympa à la campagne...
2- ou lui envoyer le doc avant pour qu'il ne le découvre pas le Jour J
3- le but est d'avoir un parcours évitant cela dans le réglement FFTri
4- T° de l'eau en été est différente de celle en octobre donc oui la fédé peut indirectement gérer cela
5- 6€ la biere en haut de la Tour Eiffel, cool elle était 2 fois moins chères ici ! Débile ta réflexion
6- quand tu nages en touchant le fond, ce n'est plus de la natation
=> on ne parle pas d'un triathlon x ou y où chacun est libre d'y aller (et doit donc assumer) mais de la Coupe de France, épreuve importante pour les clubs !
On lit des trucs des fois...