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Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 15:10
par tribuddy
seb482488 a écrit : En même temps, quand on habite un endroit ou il n'y a pas de montagne (Bretagne, Nord...), faut bien faire avec...(ou plutôt sans...). Donc à part quelques belles côtes -et il y en a en Bretagne, tout comme il y a quelques monts en Flandres- je vois mal comment on peut faire une prépa montagnarde...
Montagnarde peut-être pas car il faut aussi s'habituer à l'altitude, mais déjà passer les bosses correctement pas la peine d'aller très loin de chez soi.
Une montée qu'on fait 10 fois de suite histoire d'être bien crevé, c'est déjà ça. Eric Boyer faisait ça en vallée de Chevreuse, ça permet au moins de s'entretenir avant d'attaquer un petit stage en montagne.
Et puis il y a aussi des DVD sur HT.

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 15:10
par tribuddy
rafflow a écrit :Non mais sérieux :

1/ Problème de casting. Les personnages sont mauvais. Si ce sont des acteurs ils sont fades et n'ont aucun charisme, si ce sont des sportifs ils manquent cruellement de mental et de volonté. Ne dégagent aucune sympathie (a part le maçon qui lui m'a bien plu).
2/ Aucune originalité. Les interviews n'apportent rien d'inédit et on est dans le cliché permanent (beaucoup de sacrifices, le sport c'est une drogue, et bla bla bla).
3/ Aucune émotion, ce qui est en partie lié au 1er point. Impossible de s'identifier à eux ou de se sentir représenté. Par moment j'avais limite honte.

Enfin, certaines scènes sont surréalistes comme :
- les mecs qui tapent la discute 15min (?) au sommet de l'izoard et se font un débrief de leur course en plein milieu !
- Le mec qui se prive d'un carré de chocolat la veille de la course, alors qu'il arrive night finisher... A ce niveau, pas sur que le carré de chocolat change quoi que ce soit l'ami tu peux y aller !
- Le mec qui part en marchant ("foulée commando" comme il dit) et n'affiche clairement aucune intention ne serait-ce que d'essayer de trottiner. Son objectif, attendre "la fraîche". Et finalement il bâche avant !
- Le mec qui accorde des interviews face caméra avec son gamin qui à l'air bien plus dépité que lui, s'analyse en direct au lieu de faire ce pour quoi il est sensé être là : courir.

Au final, la vue de ce reportage m'a limite filé le bourdon et l'envie de changer de sport ! Pas le truc à regarder si vous cherchez à vous motiver !
+1

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 15:37
par IronPion
rafflow a écrit :Non mais sérieux :
1/ Problème de casting. Les personnages sont mauvais. Si ce sont des acteurs ils sont fades et n'ont aucun charisme, si ce sont des sportifs ils manquent cruellement de mental et de volonté. Ne dégagent aucune sympathie (a part le maçon qui lui m'a bien plu).
2/ Aucune originalité. Les interviews n'apportent rien d'inédit et on est dans le cliché permanent (beaucoup de sacrifices, le sport c'est une drogue, et bla bla bla).
3/ Aucune émotion, ce qui est en partie lié au 1er point. Impossible de s'identifier à eux ou de se sentir représenté. Par moment j'avais limite honte.
Enfin, certaines scènes sont surréalistes comme :
- les mecs qui tapent la discute 15min (?) au sommet de l'izoard et se font un débrief de leur course en plein milieu !
- Le mec qui se prive d'un carré de chocolat la veille de la course, alors qu'il arrive night finisher... A ce niveau, pas sur que le carré de chocolat change quoi que ce soit l'ami tu peux y aller !
- Le mec qui part en marchant ("foulée commando" comme il dit) et n'affiche clairement aucune intention ne serait-ce que d'essayer de trottiner. Son objectif, attendre "la fraîche". Et finalement il bâche avant !
- Le mec qui accorde des interviews face caméra avec son gamin qui à l'air bien plus dépité que lui, s'analyse en direct au lieu de faire ce pour quoi il est sensé être là : courir.
Au final, la vue de ce reportage m'a limite filé le bourdon et l'envie de changer de sport ! Pas le truc à regarder si vous cherchez à vous motiver !
Globalement d'accord avec tout... Trop de "surfait", de clichés à 2 balles dont le truc "de fou" infaisable, alors qu'avec une bonne prépa, et sans être triathlète au départ, on peut se faire Embrun dans le "plaisir", sans forcément marcher sur le marathon, pas plus qu'habiter en zone montagneuse (ou proche) pour s'y préparer... Etc.
Pas trop aimé les imprécisions non plus sur le kilométrage vélo de 186 (c'est 188), la distance du marathon 42,186 (de mémoire), le fait de croiser à vélo dans Chalvet les gars qui sont déjà en train de courir (Chalvet, ça commence dans Embrun et ceux qu'on croise à vélo, c'est avant d'arriver, en grimpant vers la ville, là oui !). Bref, c'est du détail, je chipote je sais mais c'est le genre de petites choses qui auraient pu être évitées...
Ça avait été mon premier (et fait 3 fois), comme bcp, un défi perso et rarement je me suis vraiment retrouvé dans ce reportage...
Sinon, bravo néanmoins pour le boulot accompli, ça a peut-être été le plus difficile :sm3: !
PS : sympa le gamin qui suit son père et l'encourage mais ne pas oublier non plus que toute aide extérieure est interdite, même mentale, même par nos chérubins...

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 15:43
par seb482488
tribuddy a écrit :
seb482488 a écrit : En même temps, quand on habite un endroit ou il n'y a pas de montagne (Bretagne, Nord...), faut bien faire avec...(ou plutôt sans...). Donc à part quelques belles côtes -et il y en a en Bretagne, tout comme il y a quelques monts en Flandres- je vois mal comment on peut faire une prépa montagnarde...
Montagnarde peut-être pas car il faut aussi s'habituer à l'altitude, mais déjà passer les bosses correctement pas la peine d'aller très loin de chez soi.
Une montée qu'on fait 10 fois de suite de fois histoire d'être bien crevé, c'est déjà ça. Eric Boyer faisait ça en vallée de Chevreuse, ça permet au moins de s'entretenir avant d'attaquer un petit stage en montagne.
Et puis il y a aussi des DVD sur HT.
Oui là dessus tout à fait d'accord. Pas loin de chez moi j'ai quelques monts et je pense que si un jour je voudrais prendre part à une course de montagne telle qu'Embrun, je n'hésiterais pas à faire plusieurs fois la même boucle afin de rencontrer le plus souvent possible les difficultés se rapprochant le plus possible de la montagne. Après chacun voit midi à sa porte, il y en a que ça choquera de voir des mecs marcher sur le marathon, d'autres non...Il y en a pour qui seule la perf' compte, d'autres pour qui le principal sera d'être finisher et d'avoir pris plaisir au long de la journée (et fier quand-même d'avoir réussi à boucler l'épreuve dans les temps). A chacun ses objectifs...

Après voilà, c'est vrai que le type de phrases styles "Le triathlon le plus dur au monde, l'épreuve infaisable pour le simple mortel, etc etc" c'est du sur-fait et ça fait franchement cliché.

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 15:44
par tribuddy
rafflow a écrit :Non mais sérieux :
1/ Problème de casting. Les personnages sont mauvais.
A relativiser tout de même: il y a le problème du montage.

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 16:55
par rafflow
tribuddy a écrit :
rafflow a écrit :Non mais sérieux :
1/ Problème de casting. Les personnages sont mauvais.
A relativiser tout de même: il y a le problème du montage.
Pas faux. Mais je ne voulais pas en rajouter !

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 17:39
par T.K
C'est sûr que pour mes Embrun, je remplaçais les tris de début de saison par une demi-saison cyclosportive moyenne et haute montagne, je travaillais dans la cuvette de Noiseau pour les franciliens de l'Est pour faire d'inlassables répétitions dans des petites montées en semaine, je tricotais dans les vallées parisiennes le weekend comme le font les clubs cyclosportifs, je faisais du travail de force position relevée sur HT de 30' à 60' pour simuler les longues ascensions, je faisais au mois de Juillet un dua ou tri LD montagneux en répétition, donc il y a des solutions pour essayer de compenser notre domiciliation dans une région plate, alors que ces mecs se sont lancés un défis stupide tout simplement puisqu'ils n'ont pas pris la mesure de l'évènement.
Je répète au risque de provoquer l'hilarité que c'est monnaie courante sur IM, ce n'est pas l'image la plus valorisante de notre sport, mais c'est une réalité qu'il faut assumer et qui sera enrichissante pour certains novices malgré tout.

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 18:45
par rafflow
T.K a écrit :C'est sûr que pour mes Embrun, je remplaçais les tris de début de saison par une demi-saison cyclosportive moyenne et haute montagne, je travaillais dans la cuvette de Noiseau pour les franciliens de l'Est pour faire d'inlassables répétitions dans des petites montées en semaine, je tricotais dans les vallées parisiennes le weekend comme le font les clubs cyclosportifs, je faisais du travail de force position relevée sur HT de 30' à 60' pour simuler les longues ascensions, je faisais au mois de Juillet un dua ou tri LD montagneux en répétition, donc il y a des solutions pour essayer de compenser notre domiciliation dans une région plate, alors que ces mecs se sont lancés un défis stupide tout simplement puisqu'ils n'ont pas pris la mesure de l'évènement.
Je ne vois pas bien ce que ton commentaire apporte au débat sur la qualité du reportage ? Si ce n'est le plaisir de nous relater ta propre expérience bien sur :)

Enfin bref, la question n'est pas de savoir si ces gars là étaient suffisament bien préparés ou non pour cette épreuve. Ils font ce qu'ils veulent à la limite on a pas a juger, chacun son niveau et ses commodités d'entraînements. C'est plutôt, qu'est ce que ces gars là foutent dans un reportage télévisé d'une heure sur le triathlon ?
Sont-ils représentatifs à ce point de notre discipline ?
Avaient-ils une histoire particulière à raconter ?
Sur quels critères ont-ils été choisis ? (ils habitaient pas loin de chez le caméraman ? l'un d'eux est cousin avec le réalisateur ? )
Pourquoi avoir quand même monté et vendu ce reportage voyant qu'au final tous passaient totalement à côté de leur journée (j'ose pas dire "course") et que du coup l'image renvoyée serait désastreuse ?
A moins que ce n'était prévu comme ça ?
Comment au final un produit aussi médiocre et qui s'apparente selon moi plus à une vidéo de vacances entre potes peut se retrouver en prime sur l'Equipe21 ? (c'est pas comme si il y avait bcp de triathlon à la télé pour contre-balancer)

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 18:53
par oEo
rafflow a écrit :
T.K a écrit :C'est sûr que pour mes Embrun, je remplaçais les tris de début de saison par une demi-saison cyclosportive moyenne et haute montagne, je travaillais dans la cuvette de Noiseau pour les franciliens de l'Est pour faire d'inlassables répétitions dans des petites montées en semaine, je tricotais dans les vallées parisiennes le weekend comme le font les clubs cyclosportifs, je faisais du travail de force position relevée sur HT de 30' à 60' pour simuler les longues ascensions, je faisais au mois de Juillet un dua ou tri LD montagneux en répétition, donc il y a des solutions pour essayer de compenser notre domiciliation dans une région plate, alors que ces mecs se sont lancés un défis stupide tout simplement puisqu'ils n'ont pas pris la mesure de l'évènement.
Je ne vois pas bien ce que ton commentaire apporte au débat sur la qualité du reportage ? Si ce n'est le plaisir de nous relater ta propre expérience bien sur :)

Enfin bref, la question n'est pas de savoir si ces gars là étaient suffisament bien préparés ou non pour cette épreuve. Ils font ce qu'ils veulent à la limite on a pas a juger, chacun son niveau et ses commodités d'entraînements. C'est plutôt, qu'est ce que ces gars là foutent dans un reportage télévisé d'une heure sur le triathlon ?
Sont-ils représentatifs à ce point de notre discipline ?
Avaient-ils une histoire particulière à raconter ?
Sur quels critères ont-ils été choisis ? (ils habitaient pas loin de chez le caméraman ? l'un d'eux est cousin avec le réalisateur ? )
Pourquoi avoir quand même monté et vendu ce reportage voyant qu'au final tous passaient totalement à côté de leur journée (j'ose pas dire "course") et que du coup l'image renvoyée serait désastreuse ?
A moins que ce n'était prévu comme ça ?
Comment au final un produit aussi médiocre et qui s'apparente selon moi plus à une vidéo de vacances entre potes peut se retrouver en prime sur l'Equipe21 ? (c'est pas comme si il y avait bcp de triathlon à la télé pour contre-balancer)
Pour moi au contraire je trouve qu'ils sont le véritable reflet du triathlon. Je serai capable de m'identifier (à mon échelle) à eux...

Non pas d'une pseudo-élite-puriste de clavier mais d'une bande de pote qui s’entraînent ensemble, qui se lancent des défis, échouent, vivent leur sport.

L'inverse d'une bande de tripoteur de clavier (et la je reste poli) qui derrière un écran juge. Tant mieux certains ici sont meilleurs, s'ils ont un meilleur cadre d'entrainement, de meilleurs vélo( personne n'a encore craché sur leur matos, c'est étonnant...), de meilleurs perfs...

J'ai vraiment apprécié le point de vu "amateur".

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 18:54
par medalboss
Préférer abandonner plutôt que de marcher ........... :sm2:
Et ben franchement c'est minable comme esprit :!: :!:
Je vois franchement pas comment argumenter ça.

Je pense que lorsque l'on s'engage dans un projet tel un Ironman, l'Embrunman, ou autre épreuves du même style, on se doit de finir, de franchir la ligne, même en marchant. Cela pour une question de repect, envers soi-même, ses proches, les gens qui vous soutiennent, les organisateurs, les bénévoles, les autres participants.....
Se dire, "j'arrête car je ne peux plus courir" traduit un manque de volonté incroyable. C'est bien là un esprit de pur compétiteurs qui ont oublié bien vite les valeurs de notre sport :!: :!:
Le triathlon, et à plus forte raison sur des longues distances, est avant tout une aventure humaine, qui se partage avec les proches, amis, organisateurs...

Enfin, rappelons que tous ne pratiquent pas pour les mêmes raisons. Il y a les compétiteurs, les loisirs, le gout du défit. Malgré cette hétérogénéité de pratiquants, je pense que les valeurs doivent rester les même. On doit se dépasser, aller au bout de ses objectifs, grandir intérieurement... Ceux qui pensent qu'abandonner est plus valable que de marcher, feraient mieux de se demander pourquoi ils font du triathlon :!: :!:

A bon entendeur :|

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 19:05
par T.K
Je te renvoie le compliment ne comprenant pas l'intérêt de tes questions, @rafflow.
(1) Qui est représentatif de la discipline selon toi, les profils et les niveaux étant très disparates ?
(2) Quelle histoire veux-tu qu'ils racontent en dehors de vouloir faire l'Embrunman ?
(3) Quel critère particulier voulais-tu pour des compétiteurs lambdas ?
(4) Pourquoi ne montrer que les 100 premiers dirons-nous qui ne marchent pas pour relater ce qu'est cette compétition ?
(5) Comment pouvaient-ils prévoir que le mec qui se voyait en 12h allait exploser en vol ?
(6) Es-tu un spécialiste de l'audiovisuel pour brocarder à ce point ce reportage ?

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 19:30
par tribuddy
oEo a écrit :Pour moi au contraire je trouve qu'ils sont le véritable reflet du triathlon. Je serai capable de m'identifier (à mon échelle) à eux...

Non pas d'une pseudo-élite-puriste de clavier mais d'une bande de pote qui s’entraînent ensemble, qui se lancent des défis, échouent, vivent leur sport.

L'inverse d'une bande de tripoteur de clavier (et la je reste poli) qui derrière un écran juge. Tant mieux certains ici sont meilleurs, s'ils ont un meilleur cadre d'entrainement, de meilleurs vélo( personne n'a encore craché sur leur matos, c'est étonnant...), de meilleurs perfs...

J'ai vraiment apprécié le point de vu "amateur".
Bah non à part le maçon qui ne se prennait pas le chou, le reportage montrait des gars qui se posaient beaucoup trop de questions et on avait vaguement l'impression qu'ils se prenaient assez au sérieux (assez paradoxal quand même pour des gens de la campagne), et quand on voit le résultat...
J'ai cotoyé des gens sur les courses et en club, je ne crois pas que les amateurs soient tous aussi à fond dans leur truc, à tout le moins ils sont capables de prendre du recul sur ce qu'ils font à l'entraînement, même et surtout ceux qui vont vite.
Je vais continuer dans le 36 15 ma life, mais pour ma part l'avant-veille de mon 1er IM (le chtriman à Cambrai) j'étais dans un bar avec un pote (comme moi issu de l'élite parisienne!!! :shock: ) sur les Grands Boulevards en train d'enquiller les bières jusqu'à une heure avancée de la nuit.
Et à 8 heures le matin suivant je prenais tranquillement le 1er TGV Gare du Nord pour Douai, alors l'histoire du gars avec son carré de chocolat la veille et les gars qui comparent en haut de l'Izoard les rations de nourriture qu'ils ont mis dans leur poches... pff!!!! :mrgreen:
Après c'est pas contre vous les gars, c'est peut-être le montage, c'est tout.

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 19:45
par rafflow
T.K a écrit :Je te renvoie le compliment ne comprenant pas l'intérêt de tes questions, @rafflow.
(1) Qui est représentatif de la discipline selon toi, les profils et les niveaux étant très disparates ?
(2) Quelle histoire veux-tu qu'ils racontent en dehors de vouloir faire l'Embrunman ?
(3) Quel critère particulier voulais-tu pour des compétiteurs lambdas ?
(4) Pourquoi ne montrer que les 100 premiers dirons-nous qui ne marchent pas pour relater ce qu'est cette compétition ?
(5) Comment pouvaient-ils prévoir que le mec qui se voyait en 12h allait exploser en vol ?
(6) Es-tu un spécialiste de l'audiovisuel pour brocarder à ce point ce reportage ?
(1) Qui est représentatif de la discipline selon toi, les profils et les niveaux étant très disparates ?
Je n'avais encore jamais vu de mec à l'arrêt tapant la discute en plein milieu d'une course, et autres anecdotes déjà cités. Ca me suffit pour dire qu'ils ne sont pas représentatifs et qu'il sont plus dans le show (faut pas oublier que la caméra est là) que dans la course. Leur niveau de base je m'en fous, ça ne rentre pas en ligne de compte.
(2) Quelle histoire veux-tu qu'ils racontent en dehors de vouloir faire l'Embrunman ?
Ah ça je ne sais pas je ne suis pas le réal, tout ce que je sais c'est que pour faire un bon film il faut une bonne histoire.
(3) Quel critère particulier voulais-tu pour des compétiteurs lambdas ?
Justement, j'aimerais comprendre si le but recherché n'était pas quelque part de trouver les pires loosers, comme pour un bon casting de télé-réalité (genre les Ch'tis à Las Vegas). Histoire de bien faire marrer les téléspectateurs. "Mesdames Messieurs, Regardez moi ces gros débiles de triathlètes !"
(4) Pourquoi ne montrer que les 100 premiers dirons-nous qui ne marchent pas pour relater ce qu'est cette compétition ?
Je pense qu'en suivant 4 mecs il y auraient pu y avoir par exemple un costaud, 1 moyen, 1 femme, et un night finisher. Ca aurait donné un panel plus large et conforme de ce que peux être un Ironman
(5) Comment pouvaient-ils prévoir que le mec qui se voyait en 12h allait exploser en vol ?
LOL... désolé ça ça me fait tellement marrer !
(6) Es-tu un spécialiste de l'audiovisuel pour brocarder à ce point ce reportage ?
Du tout. Simple télespectateur et triathlète qui s'est sentit hyper mal à l'aise pendant tout le reportage.

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 19:47
par rafflow
tribuddy on est sur la même longueur d'onde !

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun

Publié : 05 nov. 2013, 19:54
par tchoupi13
J'ai bien aimé, c'est relativement fidèle à ce qu'est Embrun...pis c'est rare un reportage sur le tri! :sm2:
Après critique vidéo, ce n'est pas mon métier , je n'en ai pas non plus les compétences...