elle est génialissime
ok c'est pas du triathlon mais pour occuper une partie de vos longues soirées de récup
heroes
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koukoukouk
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chai po , pour ètre bien doit y avoir forcément des singes......................
La Télé, c'est cacaaaaaaaaaaa, nous en viendrons tous à boutttttttttttt....
Faites comme moi, balancez là en évitant la voisine qui course après son Tekel aussi con qu'elle.... Vous serez libérés du Bulbe Rachidien et çà vous fera un petit pécule non négligeable en ne payant pas la Redevance TV...
Cà limite la connerie, elle est déjà assez palpable autour de nous sans que nous la voulions
Faites comme moi, balancez là en évitant la voisine qui course après son Tekel aussi con qu'elle.... Vous serez libérés du Bulbe Rachidien et çà vous fera un petit pécule non négligeable en ne payant pas la Redevance TV...
Cà limite la connerie, elle est déjà assez palpable autour de nous sans que nous la voulions
Temet Nosce...
Re: heroes
isa78 a écrit :je viens de decouvrir la serie HEROES téléchargée sur internet .
elle est génialissime
ok c'est pas du triathlon mais pour occuper une partie de vos longues soirées de récup
Si cela, ce n'est pas de "l'imprudence" : dire avoir "téléchargé" une série achetée par TF1 et non encore diffusée Une fonctionnaire en plus (comme moi
) en plus : sanctions disciplinaires internes en plus, possibles...Je ne sais pas moi, il faut dire que ta "cousine d'Amérique" t'a ramené / envoyé pour ton anniversaire des DVD qu'elle a acheté là bas...
Juste pour mémoire : "notamment" voir plus bas (loi la plus récente mais autres dispositifs juridiques afférents).
En plus, y a plein de "policiers" qui font du tri sur ce forum !
Ils vont avoir de la "promo" : une "pirate" qui se dénonce d'elle même
Article des ECHOS :
Infractions sur Internet : les nouvelles règles
[ 26/03/07 ]
La loi renforce le rôle des autorités publiques sur Internet tout en accroissant les obligations des prestataires techniques.
La loi sur la prévention de la délinquance publiée le 7 mars 2007 comporte un important volet consacré aux infractions commises sur Internet. Le nouveau dispositif repose sur le renforcement du rôle des trois acteurs essentiels que sont la police, le parquet et les prestataires techniques.
Désormais le Code de procédure pénale permettra aux officiers ou agents de police judiciaire spécialisés de participer sous un pseudonyme à des échanges électroniques, d'être en contact avec des suspects et d'acquérir des contenus illicites par ce biais. Le texte prend le soin d'y fixer néanmoins une limite. Ils devront en effet veiller à ne pas inciter à commettre d'infractions, à peine de nullité de la procédure. Le risque apparaît bien là en effet. La Cour de cassation a jugé irrégulière les poursuites pénales engagées pour détention et diffusion d'images pornographiques de mineurs au motif que le prévenu avait agi à l'instigation des policiers chargés de l'enquête (1).
En deuxième lieu, la loi renforce nettement le champ d'action du parquet. Il est autorisé à saisir le juge des référés pour qu'il ordonne la fermeture d'un site Internet qui diffuserait des messages constitutifs des infractions visées aux article 24 et 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 : provocation à la commission de crimes et de délits, apologie de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, provocation aux actes de terrorisme, à la discrimination, à la haine ou à la violence ethnique, religieuse ou sexuelle, contestation des crimes contre l'humanité. La nouvelle loi combine donc l'extension des possibilités d'action du procureur et la mise en avant du juge de l'urgence.
En troisième lieu, de nouvelles obligations sont mises à la charge des prestataires techniques de l'Internet qui devront désormais participer à la lutte contre la diffusion des messages violents, pornographiques ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine et susceptibles d'être vus ou perçus par un mineur. Dans ce but, ils ont l'obligation, sous peine d'amendes, de mettre en place un dispositif accessible et visible permettant de leur signaler ces infractions. Ils doivent aussi en informer les autorités publiques. Enfin, le nouveau texte leur impose de signaler à leurs abonnés les sites de jeux d'argent en ligne et tenus pour répréhensibles par les autorités publiques compétentes. Assurément, la loi a tiré les leçons des difficultés rencontrées quant à la répression des casinos et autres loteries virtuelles qui fleurissent sur le Net (2).
Ce nouveau texte complète donc le processus d'intégration dans notre droit pénal de dispositions propres aux nouvelles technologies dont l'utilisation est le plus souvent considérée comme une circonstance aggravante des délits. La traite des êtres humains, le proxénétisme, le recours à la prostitution et la corruption de mineurs en sont autant d'exemples (3).
Quelles autres observations suscite le nouveau texte ? Deux principales : tout d'abord, son pointillisme étonne. Le procureur fera fermer un site en référé dans tous les cas d'infractions visées aux articles 24 et 24 bis de la loi du 29 juillet 1881, mais les hébergeurs et les fournisseurs d'accès ne seront concernés que par la prévention des délits prévus aux alinéas 5 et 8 de ce même article24 (4). Pourquoi cette différence ? Ensuite, l'impression créée est celle d'une course incessante après l'imagination des délinquants. Certes, ce n'est pas nouveau si l'on songe à l'article 227-23 du Code pénal sur les images pornographiques de mineurs, voté en 1998, modifié en 2002, 2004 et 2006. L'incrimination nouvelle du « happy slapping » traduit ce phénomène (5). Cette pratique consiste à enregistrer et à diffuser des images d'agression, notamment grâce à un téléphone portable et pourrait sans doute être réprimée sur le fondement d'autres textes, tel que celui relatif à la non-assistance à personne en danger (6). A l'inverse, rien n'est dit du « phishing », ou usurpation frauduleuse d'identité, malgré son importance concrète.
En toute hypothèse, il ne faudrait pas croire que le recours à la loi règle toutes les questions. Par exemple, la cour d'appel de Paris a jugé qu'un employeur était le fournisseur d'accès à Internet de ses salariés (7). Or la nouvelle loi étend leurs obligations de signalement aux contenus violents et pornographiques. Il est donc indispensable de déterminer très précisément quels sont les acteurs concernés et ceux qui ne le sont pas. Gageons donc qu'à peine voté, ce texte sera donc l'enjeu de nouveaux débats judiciaires.
(1) Cass. crim., 11 mai 2006, « Bull. crim. » 2006, n° 132, page 482.(2) Cour d'appel de Paris, 14 juin 2006, http://www.legalisnet(3) Articles 225-4-1, 225-7, 225-12 et 227-22 du Code pénal.(4) Il s'agit des infractions d'apologie de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité, de crimes aux délits de collaboration avec l'ennemi (alinéa 5) et de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe en raison de leur appartenance à une ethnie, une nation, à une race ou une religion (alinéa
.(5) Article 44 de la loi sur la prévention de la délinquance.(6) Article 223-6 du Code pénal.(7) Cour d'appel de Paris, 4 février 2005, foruminternet.org .(*) Avocate, Denton Wilde Sapte.-
koukoukouk
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Hum,isa78 a écrit :evitez de venir a 6h du matin ( je dors ) ,et de défoncer la porte , passez un coup de fil avant , je vous offrirai à boire messieurs les policiers
sans rire , je pense que ce n'est pas le genre de "truc" à dire de cette façon sur un "FORUM" qui reçoit "X visiteurs" par jours. 
S'ils "débarquent" chez une "mamie" de 66 ans, par ce qu'elle télécharge de la musique sans la revendre (juste pour elle et ils le savaient), que des poursuites sont bien diligentées à son encontre, qu'elle se retrouve au tribunal, qu'elle est condamnée....
http://www.actuados.com/le-piratage-n-a ... u2685.html
Certes, l'amende est faible (attention, son âge a du jouer à la baisse), mais quand des "apprentis pirates" bossent dans l'administration, les poursuites de ce type, c'est très très mal vu en haut lieu
Pour un "policier", cela peut aller jusqu'à la "révocation" je pense, comme il y a un lien entre "l'acte" et le degré de probité liée à la fonction.
L'exemple de la "mamie" montre qu'il faut des "exemples" de condamnation... Alors, quand y a pas à "chercher", l'expression "donner le bâton pour se faire battre" est la plus adaptée.
Mais bon aller pour contrebalancer et rectifier le tir de cette petite "erreur" de jeunesse, je fais de la pub pour un bouquin d'un PDG un peu atypique, en lutte contre le piratage (vaut mieux quand on dirige la FNAC !) :
«Les verrous numériques sont une incitation au piratage»Denis Olivennes, PDG de la Fnac, conteste l'usage des DRM par les majors :. «Les verrous numériques sont une incitation au piratage». Par Christophe ALIX ...
http://www.liberation.fr/actualite/econ ... ERFRIENDLY - Pages similaires
Sinon pour HEROES, il paraît qu'effectivement des potes à moi qui ont une grande famille aux USA ont vu et ont aimé
Je ne fais que répéter, j'ai pas vu.
Les scénaristes manquent d'imagination. Il y a plein de sportifs actuels dotés de "super pouvoirs" dans le triathlon ou d'autres sports aussi, qui repoussent les frontières de "l'humain"
Ils ne courent pas après les arracheurs de sacs de vieilles, mais après l'argent, seule différence...
Ils n'ont pas des problèmes de la thyroide dans HEROES
Apparemment, dans le rugby avant la coupe du monde, un petit cri d'alarme vient d'être lancé par certains spécialistes (les compléments alimentaires ont bon dos, semble t-il).
http://finalesrugby.blogspot.com/2007/0 ... t-les.html
Landis aussi a des problèmes de ce type :
Tour de France 2006 - le tour avec France 2 - France 3Le coureur de l’équipe Phonak parle aussi de problème de thyroïde. "Cela fait environ un an que j’ai des problèmes de thyroïde et j’ai dû prendre des ...
tour-de-france.france2.fr/tour-de-france-une.php3 - 44k -
SPORT ET VIE De 1996 déjà : Sport et vie n° 34 du 01/01/1996
Numéro Normal
Dopage : Thyroïde, les abus invisibles
Dopage : Thyroïde, les abus invisibles Patinage : La course folle Médecine : Le corps à l'épreuve de l'espace Rugby : Le grand divorce Entraînement : Les skieurs sont-ils vraiment des athlètes ? URSS-RDA : Les champions sacrifiés Football : Havelange, enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon
Thyroïde et dopage Docteur Jean-Pierre de Mondenard Pages 65-67
La soif de performance, on le sait, mène à tous les excès. Via le dopage, l'athlète accepte de tromper son propre organisme quitte à subir plus tard les conséquences de cette trahison. Mais ceux qui manipulent innocemment leur glande thyroïde ont-ils seulement conscience de jouer avec le feu?
hormones, hormones thyroïdiennes
L'article sur la "mamie" :
Le piratage n'a plus d'age !
Actu Ados / Multimédia - 10/03/2007 13:42
Une mamie de 66 ans a été condamnée par la justice pour téléchargement de mp3
Cette semaine, nous avons entendu parler deux fois de la sacem.
Premier épisode : Le site BlogMuzik.net, qui permettait de partager de la musique par streaming (envoi en continu de musique sans enregistrement sur le disque dur de la personne qui écoute) a fermé ces portes ! La raison : Le site diffusait de la musique "sans qu'aucune demande d'autorisation préalable n'ait été effectuée par cet exploitant auprès des titulaires de droits ou de leurs représentants" selon la sacem. L'hebergeur du site face aux menaces a fini par jeter l'éponge et fermer le site.
Deuxieme épisode : Une femme de 66 ans a été condamnée Vendredi 09 mars a 495.50 euros de dommages et intérêts pour avoir télécharger 3000 chanson sur Internet soit 17 centimes par morceaux télécharger. C'est à dire que les morceaux lui sont revenu moins cher que si elle les avait télécharger legalement !
L'avocat de la grand-mère a declaré ceci "Mon sentiment est très mitigé parce que je n'ai pas l'impression que nous avons à faire à une délinquante. Cela étant, on sent bien que cette décision est une décision de pur principe"
Ces deux condamnations remettent sur le devant de la scène la question de la proportion des amendes pour téléchargement ainsi que le rôle et l'image actuels de la sacem
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Sylvain 64
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- Localisation : Bayonne
http://www.radioblogclub.com/Richie a écrit :Premier épisode : Le site BlogMuzik.net, qui permettait de partager de la musique par streaming (envoi en continu de musique sans enregistrement sur le disque dur de la personne qui écoute) a fermé ces portes ! La raison : Le site diffusait de la musique "sans qu'aucune demande d'autorisation préalable n'ait été effectuée par cet exploitant auprès des titulaires de droits ou de leurs représentants" selon la sacem. L'hebergeur du site face aux menaces a fini par jeter l'éponge et fermer le site.
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