j'ai essayé bien evidemment le pédalier pendant la période ou s'il y avait eut de gros probleme d'adaptation , cela n'aurait pas été préjudiciable ...
en revanche , comme la forme n'est pas top en hiver et très fluctuante , les comparaisons de puissance sont peu utiles ...
en revanche j'ai toujours travaillé au feeling et mes sensations sont assez fiable .
si j'ai essayé le rotor , c'est qu le principe etait attrayant...
la différence de pédalage est d'autant plus ennorme que le pédalage initial est heurté , comme je suis un pistard , mon pédalage est relativement rond
néanmoins , on a l'impression d'une fluidité mais elle n'est pas instantané , 2 trois séance tout d'abord avant de se faire mentalement à l'engin mais malheureusement , beaucoup plus pour s'y faire musculairement ...
en ce qui concerne son domaine d'utilisation , je le conseillerais aux gros rouleurs de pleine qui emmene du braquet car j'ai l'impression que au dela de 90-95 rpm les différences s'atténues ( le temps passé au point mort diminue avec la fréquence)
ce qui m'inquiete est :
est ce que l'on apprend à pédaler rond ...
ou est ce que l'on occulte le point mort et donc on apprend pas à corriger ces erreurs , et peut etre empire t il quand on revient sur pédalier classique ???
enfin , le grand point positif réside dans la montée des col à faible pourcentage ...on a l'impression d'etre sur-puuissant meme sans avoir terminé la période de rodage des 1000-2000 kil
mais alors BONJOURS les courbatures
un bon petit pédalage à l'ancienne sur HT m'a été obligatoire pour bien recupérer