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... En tout cas sa roue avant. Il doit savoir quelque chose que les autres ne savent pas

matafan a écrit :... En tout cas sa roue avant. Il doit savoir quelque chose que les autres ne savent pas

Les seuls vrais avantages compte tenu de l'évolution en rendement des pneus en faveur des boyaux :
* pression sans quasi limite (sur des chronos, il peuvent gonfler 10 / 12 bars avec les boyaux, impossible avec les jantes carbone à pneu (généralement 8,5 bars maxi), voire même avec les pneus tout court) et
* la légèreté des roues à boyaux (- 200 grs environ à modèles identiques).
Comme les vélos de chrono sont soumis à la règle des 6,8 kg, la notion de poids disparaît, voire est au profit de pneus avec des jantes à pneus à plus grande inertie.

Compte tenu de la large offre de pneumatiques à pneus, argument possible pour le choix du pneu aujourd'hui sur une route détrempée : un modèle spécifique pour la pluie ce jour... compte tenu des descentes techniques et rapides.

En tout cas, un "débat" pneu / boyau qui concerne peu les triathlètes compte tenu des moyennes que 99 % des triathlètes réalisent...sauf quant aux temps de réparation en course pour ceux qui savent changer un boyau en 1'30.

impossible avec les jantes carbone à pneu (généralement 8,5 bars maxi).[/quote]

avec mes Xentis , ils donnent 9.5 bars .
l'écart paire de roues pneu/boyaux est de 100g chez eux .
donc avec des pneus très légers , 2 chambres extralight en secours plutot que 2 boyaux ,
je ne vois pas l'utilité des boyaux et ses emmerdes pour mes IM .
c'est mon avis , je ne veux pas non-plus relancer le débat pneu-boyau .

CHRISTOPHE192 a écrit :impossible avec les jantes carbone à pneu (généralement 8,5 bars maxi).

avec mes Xentis , ils donnent 9.5 bars .
l'écart paire de roues pneu/boyaux est de 100g chez eux .
donc avec des pneus très légers , 2 chambres extralight en secours plutot que 2 boyaux ,
je ne vois pas l'utilité des boyaux et ses emmerdes pour mes IM .
c'est mon avis , je ne veux pas non-plus relancer le débat pneu-boyau .[/quote]

Le dernier CLM du dernier TDF a été gagné avec pneus et non avec boyaux, le débat est clos

débutant a écrit :

CHRISTOPHE192 a écrit :impossible avec les jantes carbone à pneu (généralement 8,5 bars maxi).

avec mes Xentis , ils donnent 9.5 bars .
l'écart paire de roues pneu/boyaux est de 100g chez eux .
donc avec des pneus très légers , 2 chambres extralight en secours plutot que 2 boyaux ,
je ne vois pas l'utilité des boyaux et ses emmerdes pour mes IM .
c'est mon avis , je ne veux pas non-plus relancer le débat pneu-boyau .

Le dernier CLM du dernier TDF a été gagné avec pneus et non avec boyaux, le débat est clos

http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves20 ... ardes.html

Les coureurs retardés
Grand favori du contre-la-montre de Grenoble, Fabian Cancellara n'a pas pu reconnaître le parcours de l'étape de samedi après avoir été coincé comme la plupart des équipes par les embouteillages depuis l'Alpe d'Huez où les coureurs étaient logés. «Il a fallu deux heures pour venir ici depuis l'Alpe d'Huez. Je n'ai pas eu le temps de regarder le parcours. J'ai seulement eu les informations de Kim Andersen, sur les virages, le parcours», a-t-il expliqué à l'arrivée. Parti parmi les premiers concurrents, le Suisse a également disputé le chrono sur une route mouillée par les averses et sans temps de référence.

De nombreux autres concurrents ont été gênés dans leur préparation par les problèmes de trafic : Anthony Roux (FDJ) est arrivé à Grenoble seulement 25 minutes avant son heure de départ et a réduit son échauffement au minimum. «Je me change dans la voiture. 2h pour 55 km», a raconté Jakob Fuglsang sur Twitter.
A. T.-C., à Grenoble

CHRISTOPHE192 a écrit :l'écart paire de roues pneu/boyaux est de 100g chez eux .

ce n'est pas qu'une question de poids, c'est aussi plus de confort pour le boyau, même en mettant plus de pression, sans compter qu'au niveau sécurité, on peut continuer à rouler avec un boyau à plat : c'est appréciable de pouvoir s'arrêter avant de chuter à cause d'une crevaison de la roue avant en descente

Bonjour!
''Le dernier CLM du dernier TDF a été gagné avec pneus et non avec boyaux, le débat est clos.''
Graham Obree a gagné avec une pièce de machine à laver sur son velo. Concernant l'opposition face à campa et shim, le débat est clos.
A+!

Moi je roule avec roues alu à pneus et je gagne pas. Le débas est clos !
Et bien sûr c'est juste à cause des pneus que je finis à la fin du poremier quart et non à cause de mon niveau hein....

Gagner le CLM du TdF sur une roue à pneu, c'est véritablement un exploit
Euh, y a pas deux roues sur un vélo...

débutant a écrit :l'utilité des boyaux et ses emmerdes.

Quelles emmerdes? Celles de ne pas savoir changer un boyau? (chose bien plus rapide que de changer une chambre à air, pour peu que l'on ce soit entraîné à le faire )

Même entrainé suivant les boyaux que tu as, tu met un certains temps...

Leonick a écrit :

CHRISTOPHE192 a écrit :l'écart paire de roues pneu/boyaux est de 100g chez eux .

ce n'est pas qu'une question de poids, c'est aussi plus de confort pour le boyau, même en mettant plus de pression, sans compter qu'au niveau sécurité, on peut continuer à rouler avec un boyau à plat : c'est appréciable de pouvoir s'arrêter avant de chuter à cause d'une crevaison de la roue avant en descente

Dans les CLM, ils n'ont pas à rouler à plat, le vélo est immédiatement changé.
Il faut un concours de circonstance pour qu'ils roulent à plat : fin d'étape ou de championnats (derniers km), du style Indurain, Olano...

A + de 10 bars, même un boyau, c'est pas confort.

Richie a écrit :Dans les CLM, ils n'ont pas à rouler à plat, le vélo est immédiatement changé.

quand je disais "rouler à plat", c'est sur le fait que tu ne déjante pas dans les 10 m qui suivent, tu peux t'arrêter presque normalement. Et ça, dans une descente à plus de 80 km/h et une crevaison de la roue avant, c'est quand même appréciable.

Leonick a écrit :

Richie a écrit :Dans les CLM, ils n'ont pas à rouler à plat, le vélo est immédiatement changé.

quand je disais "rouler à plat", c'est sur le fait que tu ne déjante pas dans les 10 m qui suivent, tu peux t'arrêter presque normalement. Et ça, dans une descente à plus de 80 km/h et une crevaison de la roue avant, c'est quand même appréciable.

Certes, mais le boyau présente d'autres dangers, il n'y a qu'à se remémorer la chute à Beloki et ses conséquences phyisiques.

Tant qu'on ne tourne pas avec un pneu à une certaine vitesse, on ne déjante pas, même à plat.

Tony Martin est champion du monde du CLM. Et cette fois c'est sur DEUX roues à pneus