Nina Kraft : suspension réduite
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Nina Kraft : suspension réduite
Quel spectacle : suspension réduite pour un motif un peu "léger".
Quelle bele preuve de crédibilité pour le triathlon et la lutte anti - dopage.... Désolant....
Quelle bele preuve de crédibilité pour le triathlon et la lutte anti - dopage.... Désolant....
Re: Nina Kraft : suspension réduite
Sauf que si j'ai bien compris, c'est parce que le règlement applicable à la date du contrôle prévoyait une sanction inférieure à celle prévue par le nouveau règlement datant de fin 2004 ... donc de toute façon, une requête devant le TAS ou pire devant un tribunal civil aurait cassé la sanction !!AsiaticLover a écrit :Quel spectacle : suspension réduite pour un motif un peu "léger".
Quelle bele preuve de crédibilité pour le triathlon et la lutte anti - dopage.... Désolant....
Donc ils ont vraisemblablement pris la bonne décision ... mais ce n'est pas juste, OK ... rappelons nous un instant que loi/règlement et justice ne sont pas synonymes
Maintenant, cela veut dire que les fédés doivent se bouger pour ne pas se faire planter de la sorte à chaque nouveau cas
- Ugo l'asticot
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Pas faux, sauf que... leur chier dessus, c'est sale.Ugo l'asticot a écrit :moi ce qui m'hallucine c'est de continuer à voir des photos des dopés dans les mags genre le Triathlète rétro 2004 y'avait 3 photos de Kraft avec ses sponsors et tout.
Chions leur dessus. Et arrêtons d'en parler dans les médias.
Vu que les fédés ne font pas suffisamment correctement leur boulot et que les avocats patati-patata, je propose que les organisateurs aient le courage de refuser ce types "d'athlètes" sur leur course, histoire de faire comprendre aux tricheurs que personne n'est dupe.
Un athlète dopé à qui on autorise de recourir, s'il ne peut pas courir, il se retrouve aussi con qu'une poule qu'a trouvé un porte-monnaie.
C'est aux organisateurs - aussi - à faire le "ménage", non ?
Le triathlon est un sport neuf qui peut se permettre d'innover ou de légiférer en la matière.
Refuser un athlète pour ces raisons, je le sais, c'est interdit, c'est une discrimination, mais les organisateurs peuvent par exemple faire valoir que le nombre d'inscrits est atteint ou qu'il y a une liste d'attente, etc, les stratagèmes ne manqueraient pas pour bouter hors du triathlon les tricheurs.
Serait-il légal pour un organisateur de stipuler dans le règlement de course que l'accès aux concurrents ayant été suspendus par le passé pour une ou des affaires de dopage est interdit ?
De plus, ce qui m'étonne toujours beaucoup, c'est que des sponsors continuent à sponsoriser des tricheurs ou tricheuses...
De plus, ce qui m'étonne toujours beaucoup, c'est que des sponsors continuent à sponsoriser des tricheurs ou tricheuses...
Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou.
Hélas, je crois que c'est attaquable en justice (si t'as le sous...) mais je ne suis pas juriste ni spécialiste en jurisprudence du sport. Mais ASO le fait bien pour le Tour de France...alecbrac a écrit :Serait-il légal pour un organisateur de stipuler dans le règlement de course que l'accès aux concurrents ayant été suspendus par le passé pour une ou des affaires de dopage est interdit ?
Pas ouaih, y a toujours des marques qui ont besoin de porte-drapeaux, de têtes connues (j'ai pas dit bien pleines) parce qu'il y aura toujours des types qui vont acheter des Trek ou des Time parce que et uniquement c'est le vélo d'Armstrong ou de Virenque... CQFDalecbrac a écrit :De plus, ce qui m'étonne toujours beaucoup, c'est que des sponsors continuent à sponsoriser des tricheurs ou tricheuses...
- Ugo l'asticot
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ne pas confondre le monde de l'éthique et celui de l'entreprise
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