Thermomètre bloqué 23,8°C
Publié : 19 juin 2017 09:03
Bonjour,
Je sais que je vais être très impopulaire, mais j'ai quand même envie de pousser un coup de gueule contre les thermomètres qui, miraculeusement, semblent bloqués à 23,8°C, dans beaucoup de triathlon.
Évidemment, cela arrange :
- les organisateurs, qui sont moins inquiets et redoutent moins une noyade de la part d'un concurrent.
- une grande majorité des triathlètes, qui ont des enclumes à la place des jambes, et sont souvent en peine de nager sans combinaison.
Alors, messieurs les arbitres, un peu de courage vis à vis du thermomètre. Ne descendez pas la ficelle à 5 mètres sous la surface de l'eau pour trouver de l'eau fraîche.
Certains petits malins répondront que la combinaison est optionnelle à ces températures. C'est sur... mais nager avec une combinaison fait toujours gagner quelques secondes, y compris pour les bons nageurs. Donc, à partir du moment où les autres concurrents la mettent, on la met aussi, pour être à égalité.
Mais si je passe ce coup de gueule, c'est parce que si la combi qui est toujours autorisé en arrange certains, cela n'arrange pas tout le monde.
- risque d'hyperthermie pour tous. Comme ce fut le cas au triathlon d'Aix Les Bains en septembre 2016. On sortait de l'eau, on était déjà en ébulition. Inutile de préciser que ce fut un carnage en course à pied...
- bons nageurs désavantagés. Tout le monde le sait, les combinaisons ont tendance à "réduire" les écarts entre les bons et les mauvais nageurs. Lorsque la combinaison est interdite, les bons nageurs prennent plus d'avance. Bref, en autorisant systématiquement la combinaison, on continue encore et encore à avantager les "cyclistes" au détriment des "nageurs".
j'aimerai bien que les arbitres et les organisateurs ne perdent donc pas cela à l'esprit, quand le thermomètre reste miraculeusement bloqué à 23,8°C.
Cela a des impacts sur le résultat de la course.
Je sais que je vais être très impopulaire, mais j'ai quand même envie de pousser un coup de gueule contre les thermomètres qui, miraculeusement, semblent bloqués à 23,8°C, dans beaucoup de triathlon.
Évidemment, cela arrange :
- les organisateurs, qui sont moins inquiets et redoutent moins une noyade de la part d'un concurrent.
- une grande majorité des triathlètes, qui ont des enclumes à la place des jambes, et sont souvent en peine de nager sans combinaison.
Alors, messieurs les arbitres, un peu de courage vis à vis du thermomètre. Ne descendez pas la ficelle à 5 mètres sous la surface de l'eau pour trouver de l'eau fraîche.
Certains petits malins répondront que la combinaison est optionnelle à ces températures. C'est sur... mais nager avec une combinaison fait toujours gagner quelques secondes, y compris pour les bons nageurs. Donc, à partir du moment où les autres concurrents la mettent, on la met aussi, pour être à égalité.
Mais si je passe ce coup de gueule, c'est parce que si la combi qui est toujours autorisé en arrange certains, cela n'arrange pas tout le monde.
- risque d'hyperthermie pour tous. Comme ce fut le cas au triathlon d'Aix Les Bains en septembre 2016. On sortait de l'eau, on était déjà en ébulition. Inutile de préciser que ce fut un carnage en course à pied...
- bons nageurs désavantagés. Tout le monde le sait, les combinaisons ont tendance à "réduire" les écarts entre les bons et les mauvais nageurs. Lorsque la combinaison est interdite, les bons nageurs prennent plus d'avance. Bref, en autorisant systématiquement la combinaison, on continue encore et encore à avantager les "cyclistes" au détriment des "nageurs".
j'aimerai bien que les arbitres et les organisateurs ne perdent donc pas cela à l'esprit, quand le thermomètre reste miraculeusement bloqué à 23,8°C.
Cela a des impacts sur le résultat de la course.