Gerer le stress avant départ

[Olive67]

Hello,
Je reviens de Belfort où je j'ai fais le MD et suite à cette épreuve je me tourne vers vous pour quelques tuyaux afin de bien gerer le stress qui m'a tétanisé quelque-peu.Du réveil jusqu'au départ je suis allé 3 fois au toilette et il a fallu le passage de la 1ere bouée pour que je redevienne serein...
J'aimerais bien pouvoir gerer un peu mieux que ça cette attente...
Merci pour vos réponses;commentaires et autres
Olive

[Marty]

si tu es plutôt solitaire, écoute de la musique avec ton mp3. Moi, j'aime bien déconner avec les potes, l'humour est un bon anti stress. Essaye de relativiser en te disant que certains jouent bq plus gros que toi sur cette course, je pense aux professionnels par exemple. Toi tu fais du triathlon juste par plaisir comme loisir, la place que tu feras ne changera rien à ta vie.

[FAYARD]

Marty a raison, il faut relativiser.....tu joues pas ta vie, c'est que du bonheur de pouvoir faire du sport! tellement de gens aimeraient pouvoir en faire...alors cool, fais toi plaisir, no stress.....
Et puis, il n' y a pas de recette miracle, c'est comme à l'école, y a des types qui stress pour les interros et puis d'autre non, c'est comme ça!
C'est sûr que les départs natation c'est un peu la foire et surtout la guerre!!!au fil des épreuves tu va te détendre et au bout de quelques années, il faudra même te motiver pour partir au taquet en nat alors en attendant concentre toi sur la course, les enchainements, les transitions et ça juste avant le départ comme ça tu oubliera ton stress....

[Olive67]

Ok,
Pas de remede miracle; juste positiver pour ne pas angoisser.
Je vais suivre vos conseils dans 10 jours à Obernai, on verra ce que ça donne...
Merci
Olive

[SPAZ]

Salut,

Je participe aussi au TRI d'Obernai (mais moi au sprint ) je ne suis plus stressé (si ... toujours un peu ... mais lors de l'echauffement je pense à ma tactique de course, et j'essaie de me concentrer sur mes gestes ...) je veux juste tout donner sur mes 2 sprints (Obernai et Gerardmer) pour botter les fesses à certains sur un ch'ti Duat et CD Belfort Obernai et Gerardmer

[Djowl]

Hello,
Je reviens de Belfort où je j'ai fais le MD et suite à cette épreuve je me tourne vers vous pour quelques tuyaux afin de bien gerer le stress qui m'a tétanisé quelque-peu.Du réveil jusqu'au départ je suis allé 3 fois au toilette et il a fallu le passage de la 1ere bouée pour que je redevienne serein...
J'aimerais bien pouvoir gerer un peu mieux que ça cette attente...
Merci pour vos réponses;commentaires et autres
Olive

Pareil ! Dimanche j'ai jamais autant couru aux WC !! pour la petite et la grosse...
En plus de ça, mon voisin qui m'amenait sur la course m'en a fait une belle la veille et le jour même :
"pas de soucis, je te conduis demain ! mais j'ai pas compris... tu reviens comment ?"
et aussi,
"- je t'appelle histoire de te réveiller et être sur que tu seras là pour me conduire
- oui oui, t'en fais pas, je suis pas sur toulouse mais je serais là à l'heure"

Je vais vraiment devoir m'acheter une caisse...
De mon coté le stress a diminué une fois sur le site, il est revenu dans l'eau, mais ça c'est autre chose. Et de retour sur le plancher des vaches c'était passé.
Par contre je peux pas donner de conseil particulier, c'était mon 1er... Donc je suis preneur des conseils moi aussi !

[PLUDJAMB]

Y a un super moyen de résister au stress, je connais un triathlète, GA de très bon niveau qui l'utilise régulièrement. Et ça lui réussit, il fait souvent des temps canons sur IM (au regard de ses performances physiologiques qui, ma foi, il faut bien le dire, n'ont rien d'exceptionnel... )

J'explique la méthode :

1-Tu fais des recherches sur la meilleure façon de s'entraîner, de s'hydrater, de s'alimenter, de s'étirer, et de s'affuter.
2-Tu mets en application, avec hargne et rigueur, chaque jour que l'année fait, le résultat de ces recherches.
3-A l'approche de l'épreuve tu t'auto-dévalorises, j'explique : tu racontes partout que tu t'es complètement planté dans tes recherches, que de toute façon t'as pas les capacités physiologiques pour durer (exemple à l'appui de quelques gars de ton club, qui, eux sont doués, et qui, en un an, sont passés de 40' au 1500 à 20'...), que ton boulot (même si tu es fonctionnaire) te pompe une énergie folle, tu peux même te faire une ampoule et envisager que mal soignée elle pourrait se transformer en cancer de la peau la semaine même de ton objectif, que tout es foutu, que ta femme va te quitter, que ton boss va certainement te trouver une mission 24/24 la veille de l'épreuve, que t'es finalement qu'une grosse merde mais que tu l'as bien mérité, et que faut vraiment être un pauvre psychopathe associal pour faire ce genre de sport (d'ailleurs c'est pas du sport, c'est limite du masochisme).
Tu poses des questions de pimpim débutant à tout tes camarades de club, pour bien leur montrer que bof, finalement, t'étais pas le super héros qu'ils croyaient...par exemple : est ce que je dois mettre un slip sous mon cuissard ? c'est vrai que les triathlètes font pipi dans leur combi ? tu crois que je peux être pris au contrôle antidopage si je mange une fraise haribo...etc...etc...
4- le jour J (salut J ! ça boume ?) tu te dirige vers le départ... là, t'en à rien à foutre de tout, t'es au bord du suicide, tu te demandes vraiment ce que tu fous là (autant dire que ton niveau de stress, à ce moment là, est proche du zéro absolu, voire en dessous...).
Et tout à coup, au moment du coup de sifflet, tu te dis que perdu pour perdu, ça va être ton chant du cygne (ton champ du signe, si t'es un alien..), dans un sanglot, tu te jettes dans l'eau, la rage aux lèvres devant tant d'efforts de préparation gâchés, et tu lâches tout dans un effort d'une brutalité à l'apogée du néant ultime de la douleur paroxystique, espérant exploser le plus rapidement possible, afin d'abréger tes souffrances mentales, morales et physiques (et sexuelles...tant qu'à faire...).
5- et alors...et alors....ben.... Mé ÇA ALAURRE !!! tu vois pas que tu fais une sacré perf...!!! oh ben ça alors, si on avait pu prévoir... AAAH, MAIS ÇA ALORS !!
6- tu fais un compte rendu en expliquant que c'était inattendu, mais que t'as pu ( "su" si t'es belge) le faire grâce à pas mal d'expérience, de chance aussi (eh oui, public ! il en faut un peu aussi), et que finalement, t'aurais même pu faire un peu mieux, si seulement ta préparation avait été un tout petit peu plus ambitieuse (genre Brett Sutton mais avec des cailloux dans les chaussures...)

Voilà... comment gérer le stress avant l'épreuve par...par... par...??????

[koukoukouk]

moi je me fais un rail de coke

[tseusitchu]

Y a un super moyen de résister au stress, je connais un triathlète, GA de très bon niveau qui l'utilise régulièrement. Et ça lui réussit, il fait souvent des temps canons sur IM (au regard de ses performances physiologiques qui, ma foi, il faut bien le dire, n'ont rien d'exceptionnel... )

J'explique la méthode :

1-Tu fais des recherches sur la meilleure façon de s'entraîner, de s'hydrater, de s'alimenter, de s'étirer, et de s'affuter.
2-Tu mets en application, avec hargne et rigueur, chaque jour que l'année fait, le résultat de ces recherches.
3-A l'approche de l'épreuve tu t'auto-dévalorises, j'explique : tu racontes partout que tu t'es complètement planté dans tes recherches, que de toute façon t'as pas les capacités physiologiques pour durer (exemple à l'appui de quelques gars de ton club, qui, eux sont doués, et qui, en un an, sont passés de 40' au 1500 à 20'...), que ton boulot (même si tu es fonctionnaire) te pompe une énergie folle, tu peux même te faire une ampoule et envisager que mal soignée elle pourrait se transformer en cancer de la peau la semaine même de ton objectif, que tout es foutu, que ta femme va te quitter, que ton boss va certainement te trouver une mission 24/24 la veille de l'épreuve, que t'es finalement qu'une grosse merde mais que tu l'as bien mérité, et que faut vraiment être un pauvre psychopathe associal pour faire ce genre de sport (d'ailleurs c'est pas du sport, c'est limite du masochisme).
Tu poses des questions de pimpim débutant à tout tes camarades de club, pour bien leur montrer que bof, finalement, t'étais pas le super héros qu'ils croyaient...par exemple : est ce que je dois mettre un slip sous mon cuissard ? c'est vrai que les triathlètes font pipi dans leur combi ? tu crois que je peux être pris au contrôle antidopage si je mange une fraise haribo...etc...etc...
4- le jour J (salut J ! ça boume ?) tu te dirige vers le départ... là, t'en à rien à foutre de tout, t'es au bord du suicide, tu te demandes vraiment ce que tu fous là (autant dire que ton niveau de stress, à ce moment là, est proche du zéro absolu, voire en dessous...).
Et tout à coup, au moment du coup de sifflet, tu te dis que perdu pour perdu, ça va être ton chant du cygne (ton champ du signe, si t'es un alien..), dans un sanglot, tu te jettes dans l'eau, la rage aux lèvres devant tant d'efforts de préparation gâchés, et tu lâches tout dans un effort d'une brutalité à l'apogée du néant ultime de la douleur paroxystique, espérant exploser le plus rapidement possible, afin d'abréger tes souffrances mentales, morales et physiques (et sexuelles...tant qu'à faire...).
5- et alors...et alors....ben.... Mé ÇA ALAURRE !!! tu vois pas que tu fais une sacré perf...!!! oh ben ça alors, si on avait pu prévoir... AAAH, MAIS ÇA ALORS !!
6- tu fais un compte rendu en expliquant que c'était inattendu, mais que t'as pu ( "su" si t'es belge) le faire grâce à pas mal d'expérience, de chance aussi (eh oui, public ! il en faut un peu aussi), et que finalement, t'aurais même pu faire un peu mieux, si seulement ta préparation avait été un tout petit peu plus ambitieuse (genre Brett Sutton mais avec des cailloux dans les chaussures...)

Voilà... comment gérer le stress avant l'épreuve par...par... par...??????

Excellent !!!

[NEON]

Il n'y aucun truc pour gérer son stress c'est inhérent à chaque personne. Ca fait 5 ans que je fais Nice et la veille de la compét c'est la même chose je STRESSE. Je me rapelle même en 2005 mon médecin m'avait prescrit un stilnox pour dormir un peu. Je l'ai pris vers 22 h 30, je me suis endormi à 1 h 30 pour me reveiller à 2 h 30 c'était grandiose !!! Le seul conseil c'est de bien dormir l'avant veille de la compét et de tenter de relativiser cet évènement ( pensons aux 7 gamins écrabouillés dans un car à un vulgaire passage à niveau quelque part en France) on a de la chance ne l'oulions pas !!!

[Yogui]

Y a un super moyen de résister au stress, je connais un triathlète, GA de très bon niveau qui l'utilise régulièrement. Et ça lui réussit, il fait souvent des temps canons sur IM (au regard de ses performances physiologiques qui, ma foi, il faut bien le dire, n'ont rien d'exceptionnel... )

J'explique la méthode :

1-Tu fais des recherches sur la meilleure façon de s'entraîner, de s'hydrater, de s'alimenter, de s'étirer, et de s'affuter.
2-Tu mets en application, avec hargne et rigueur, chaque jour que l'année fait, le résultat de ces recherches.
3-A l'approche de l'épreuve tu t'auto-dévalorises, j'explique : tu racontes partout que tu t'es complètement planté dans tes recherches, que de toute façon t'as pas les capacités physiologiques pour durer (exemple à l'appui de quelques gars de ton club, qui, eux sont doués, et qui, en un an, sont passés de 40' au 1500 à 20'...), que ton boulot (même si tu es fonctionnaire) te pompe une énergie folle, tu peux même te faire une ampoule et envisager que mal soignée elle pourrait se transformer en cancer de la peau la semaine même de ton objectif, que tout es foutu, que ta femme va te quitter, que ton boss va certainement te trouver une mission 24/24 la veille de l'épreuve, que t'es finalement qu'une grosse merde mais que tu l'as bien mérité, et que faut vraiment être un pauvre psychopathe associal pour faire ce genre de sport (d'ailleurs c'est pas du sport, c'est limite du masochisme).
Tu poses des questions de pimpim débutant à tout tes camarades de club, pour bien leur montrer que bof, finalement, t'étais pas le super héros qu'ils croyaient...par exemple : est ce que je dois mettre un slip sous mon cuissard ? c'est vrai que les triathlètes font pipi dans leur combi ? tu crois que je peux être pris au contrôle antidopage si je mange une fraise haribo...etc...etc...
4- le jour J (salut J ! ça boume ?) tu te dirige vers le départ... là, t'en à rien à foutre de tout, t'es au bord du suicide, tu te demandes vraiment ce que tu fous là (autant dire que ton niveau de stress, à ce moment là, est proche du zéro absolu, voire en dessous...).
Et tout à coup, au moment du coup de sifflet, tu te dis que perdu pour perdu, ça va être ton chant du cygne (ton champ du signe, si t'es un alien..), dans un sanglot, tu te jettes dans l'eau, la rage aux lèvres devant tant d'efforts de préparation gâchés, et tu lâches tout dans un effort d'une brutalité à l'apogée du néant ultime de la douleur paroxystique, espérant exploser le plus rapidement possible, afin d'abréger tes souffrances mentales, morales et physiques (et sexuelles...tant qu'à faire...).
5- et alors...et alors....ben.... Mé ÇA ALAURRE !!! tu vois pas que tu fais une sacré perf...!!! oh ben ça alors, si on avait pu prévoir... AAAH, MAIS ÇA ALORS !!
6- tu fais un compte rendu en expliquant que c'était inattendu, mais que t'as pu ( "su" si t'es belge) le faire grâce à pas mal d'expérience, de chance aussi (eh oui, public ! il en faut un peu aussi), et que finalement, t'aurais même pu faire un peu mieux, si seulement ta préparation avait été un tout petit peu plus ambitieuse (genre Brett Sutton mais avec des cailloux dans les chaussures...)

Voilà... comment gérer le stress avant l'épreuve par...par... par...??????

C'est marrant on dirait Antoine

[Djowl]

Y a un super moyen de résister au stress, je connais un triathlète, GA de très bon niveau qui l'utilise régulièrement. Et ça lui réussit, il fait souvent des temps canons sur IM (au regard de ses performances physiologiques qui, ma foi, il faut bien le dire, n'ont rien d'exceptionnel... )

J'explique la méthode :

1-Tu fais des recherches sur la meilleure façon de s'entraîner, de s'hydrater, de s'alimenter, de s'étirer, et de s'affuter.
2-Tu mets en application, avec hargne et rigueur, chaque jour que l'année fait, le résultat de ces recherches.
3-A l'approche de l'épreuve tu t'auto-dévalorises, j'explique : tu racontes partout que tu t'es complètement planté dans tes recherches, que de toute façon t'as pas les capacités physiologiques pour durer (exemple à l'appui de quelques gars de ton club, qui, eux sont doués, et qui, en un an, sont passés de 40' au 1500 à 20'...), que ton boulot (même si tu es fonctionnaire) te pompe une énergie folle, tu peux même te faire une ampoule et envisager que mal soignée elle pourrait se transformer en cancer de la peau la semaine même de ton objectif, que tout es foutu, que ta femme va te quitter, que ton boss va certainement te trouver une mission 24/24 la veille de l'épreuve, que t'es finalement qu'une grosse merde mais que tu l'as bien mérité, et que faut vraiment être un pauvre psychopathe associal pour faire ce genre de sport (d'ailleurs c'est pas du sport, c'est limite du masochisme).
Tu poses des questions de pimpim débutant à tout tes camarades de club, pour bien leur montrer que bof, finalement, t'étais pas le super héros qu'ils croyaient...par exemple : est ce que je dois mettre un slip sous mon cuissard ? c'est vrai que les triathlètes font pipi dans leur combi ? tu crois que je peux être pris au contrôle antidopage si je mange une fraise haribo...etc...etc...
4- le jour J (salut J ! ça boume ?) tu te dirige vers le départ... là, t'en à rien à foutre de tout, t'es au bord du suicide, tu te demandes vraiment ce que tu fous là (autant dire que ton niveau de stress, à ce moment là, est proche du zéro absolu, voire en dessous...).
Et tout à coup, au moment du coup de sifflet, tu te dis que perdu pour perdu, ça va être ton chant du cygne (ton champ du signe, si t'es un alien..), dans un sanglot, tu te jettes dans l'eau, la rage aux lèvres devant tant d'efforts de préparation gâchés, et tu lâches tout dans un effort d'une brutalité à l'apogée du néant ultime de la douleur paroxystique, espérant exploser le plus rapidement possible, afin d'abréger tes souffrances mentales, morales et physiques (et sexuelles...tant qu'à faire...).
5- et alors...et alors....ben.... Mé ÇA ALAURRE !!! tu vois pas que tu fais une sacré perf...!!! oh ben ça alors, si on avait pu prévoir... AAAH, MAIS ÇA ALORS !!
6- tu fais un compte rendu en expliquant que c'était inattendu, mais que t'as pu ( "su" si t'es belge) le faire grâce à pas mal d'expérience, de chance aussi (eh oui, public ! il en faut un peu aussi), et que finalement, t'aurais même pu faire un peu mieux, si seulement ta préparation avait été un tout petit peu plus ambitieuse (genre Brett Sutton mais avec des cailloux dans les chaussures...)

Voilà... comment gérer le stress avant l'épreuve par...par... par...??????

C'est marrant on dirait Antoine

hep... psss... j'y ai pensé aussi. mais chut, faut pas lui dire.

[PLUDJAMB]

ooooooh.... alors là, si on commence à balancer...

je crois qu'il y a pas mal de monde qui applique cette méthode... (y a du avoir un bouquin écrit sur le sujet, c'est pas possible autrement...faut que je cherche sur Amazon les titres du genre : désinformation en 8 leçons et un pédalier... intoxer pour gagner... ou encore : les secrets de la manipulation mentale appliquée au sportif... guerre psychologique et performance...etc...)

[Marty]

certains ont des techniques un peu macabres

[ironchris]

Le stress peut avoir des effets positifs, ou pour certains, des effets négatifs.
Dans mon cas, c'est positif, cela me boost. Me retrouver dans des situations de stress me plaît, des situations ou l'on peut faire monter l'adrénaline. Ensuite, avec mes connaissances arriver à maîtriser ces instants, techniquement, mentalement...
Certains jobs sont assez exitants pour ça Chui barge...dans le sport, c'est plus simple, quoique, Mike Tyson, j'ai pas encore testé, surtout avec les mains liées dans le dos mais bon, ce doit être intérressant comme trip
Je pense qu'il faut simplement bien se connaître, se servir de l'expérience pour bien gérer.

J'ai pû remarquer:

-plus on fait des compét mieux c'est.
-faire un bon échauffement
-se concentrer, ne pas trop s'occupper des facteurs environnementaux...
-avoir des automatismes dans certains cas, arriver à discossier le mental du physique, du physio...être conditionner...
-être confiant sur sa préparation
-se fixer des objectifs réalisables
-appliquer à la lettre une stratégie en prévoyant diverses tactiques selon la config de course
-visualiser le départ qui semble poser le plus de pb à beaucoup et réussir au moins cette partie qui risque de conditionner le reste de la compét.

...bref, c'est assez perso. Certains utilisent des préparateurs, la bible...moi, je fonce dans le tas
...