C'est je pense rarissime de se rendre compte qu'une roue fait parachute: les différences sont plus subtiles que cela...de la même manière, tu vois viens la différence entre pédaler en tracteur contre le vent, et mettre les mains en bas du guidon, un peu moins flagrant entre les mains en bas du guidon et les bras sur un prolongateur de vélo de route, mais entre deux positions testées en souffleries, je pense que la différence ne doit pas être perceptible au gars: seuls les chiffres parlent, et le coureur doit apprendre une position qu'il n'adopterait peur être pas intuitivement: je pense par exemple à celle de Landis: coude bas, avant bras vers le haut, alors qu'on penserait avant bras à l'horizontale....Pum a écrit :A mon avis, l'aéro de la R-SYS n'est pas tant un problème que ça ! Pour ma part, j'en ai une paire, et je n'ai pas l'impression d'avoir 2 parachutes...
Cela est intéressant, mais doublement pas un preuve, à mon avis:Pum a écrit :Si vous en doutez, même les meilleurs tri-athlètes roulent en R-SYS : la preuve en image avec celles de Mlle Hewitt, qui a remporté la 1ere manche du GP le week-end dernier:
1) parce que les coureurs courent avec des contrats, leur choix ,s'ils l'avaient ,serait peut être différent...je pense aux MBK de Poissy
2) Courir un Grand Prix est une chose bien différente d'un clm. La course en peloton, avec ses à coups, réclame des qualités de giclette auxquelles les R Sys correspondent certainement, et priment sans doute sur l'aéro pur....On ne voit pas les coureurs le nez dans le vent pendant 40 bornes... ( ne me faites pas dire ce que je ne dis pas: je ne privilégie pas un exercice à l'autre: quand tu es dans un peloton qui va trop vite pour toi, tu sautes, et bien plus esquinté que si tu t'es mis dans le rouge en clm...c'est mon avis, du moins...)