Y a pas qu'eux, et c'est un "non-dit" du triathlon :Jean-Charles a écrit : ↑10 juil. 2017, 09:36 ...
Mais à entendre les réactions des triathlètes adeptes du long ils préfèrent tous cuire dans leur combar que nager ne serait-ce que 2km sans...
Quand on est proche de la limite, les organisateurs ont tendance à pousser à autoriser la combi pour deux raisons:
1: La sécurité: un malaise avec combi, on a plus de chance de repêcher et sauver à temps le concurrent en difficulté.
2: Si ça se termine mal, au moins la victime ne coule pas, et, à défaut d'être sauvée, elle peut être ramenée.
La dernière chose dont un organisateur de Tri a envie, c'est de perdre un concurrent et d'être encore en train de rechercher un corps alors que les lampions de la fêtes sont éteints et que tous les autres sont rentrés chez eux
C'est particulièrement vrai pour les Longs ou les concurrents vont se trouver, et plus loin du rivage, et plus dispersés, donc plus difficiles à surveiller...
Et par ailleurs si on se rapproche des 30°C ça devient "contre productif", la combi pouvant au contraire générer des risques supplémentaires...