belle étape , c'était bien le "vélo réalité" aujourd'hui
au moins il y a du suspense
pour savoir quel dopé va l'emporter , c'est dur!
pour Schelk tapez 1 , Evans tapez 2 etc...
attention , ils sont succeptibles de sortir du jeu à tout moment...
les français étaient en course aujourd'hui?
j'espère que ce drafteur d'Evans , aussi charismatique qu'un Gasquet , gagnera pas
Ouais, peut-être qu'il gagnera pas, mais à choisir, ça me dérangerait que ce soit les CSC...on est revenu au temps des années Amrstrong, et là, il faut arrêter de croire qu'il y a plus de dopage, parce que les CSC ou tous les coureurs roulent à bloc sur le plat, attaquent quand ils veulent dans les cols, se retrouvent à 3 dans les derniers cols... c'est l'epo 5 è génération, c'est l'IGF1 et Khol, il sort d'ou, ça continue à être du grand n'importe quoi...
n'empèche dope ou pas cette année c'est serré et on ne sait touours pas qui va gagner au début de la 3ième semaine pas comme à l'époque de LA où tout était déjà plié.
Je pense quand même que ça s'améliore quand même lorsqu'on voit Evans craqué avec le maillot jaune sur le dos ça fait longtemps qu'on avait pas vu ça, j'ai hate d'être à Mardi et Mercredi ça va être sympa.
laurent B a écrit :Ouais, peut-être qu'il gagnera pas, mais à choisir, ça me dérangerait que ce soit les CSC...on est revenu au temps des années Amrstrong, et là, il faut arrêter de croire qu'il y a plus de dopage, parce que les CSC ou tous les coureurs roulent à bloc sur le plat, attaquent quand ils veulent dans les cols, se retrouvent à 3 dans les derniers cols... c'est l'epo 5 è génération, c'est l'IGF1 et Khol, il sort d'ou, ça continue à être du grand n'importe quoi...
En tous cas, quand il produit un effort le père Kohl, çà se voit. çà change quand même de la mode des robocop bouches fermés et bien en ligne. Pour les CSC en revanche, çà parait quand même bien vitaminé tout çà
Un jour avec tous les pirates, tu reviendras crier vengeance, le bandana sous les étoiles, pour réduire Rimini en cendres (les Wampas)
Don't wish it. Don't wait for it. Work for it (Faris Al-Sultan)
braziou a écrit :...pour savoir quel dopé va l'emporter , c'est dur! pour Schelk tapez 1 , Evans tapez 2 etc...
... les français étaient en course aujourd'hui?
Alors si je comprend bien, il y a ceux qui gagnent... qui sont forcément des dopés, et il y a ceux qui ne gagnent pas (les français)... et tu te demandes ce qu'ils foutent!
Et un bon coup de pied dans ton cul, est-ce qu'avec l'onde de choc il y a une chance que cela te remette les idées en place ou alors, comme disait Coluche, il y a un tel merdier la dedans qu'il n'y a plus rien à en tirer?
PS : désolé mais braziou commence à me les casser avec ses remarques à 2 balles.
N'empêche que le coureur d'Euskatel qui était pourtant un des anciens coéquipiers d'Armstrong et soit disant un excellent grimpeur, il n' a même pas réussi à lâcher Pete qui n'est qu'un rouleur et en plus c'est le coureur du CA qui l'emporte!!!
Est-ce un signe ? perso je pense qu'il y a des coureurs clean dans le peloton.
“Les réseaux sociaux vous ont tous mis trop à l’aise avec le fait de manquer de respect aux gens, sans vous faire casser la gueule”. Mike Tyson
c'est un peu long, désolé par avance, mais très éclairant ... malheureusement !!! voici un article tiré du site Rue89.com, avec entre autres l'avis de Mondenard ...
Ricardo Ricco, étoile montante du cyclisme italien et vainqueur de deux étapes du Tour de France, a été contrôlé positif à l'EPO sur la grande boucle. Un troisième cas de dopage sur l'édition 2008, le premier sur une tête d'affiche. La chute d'une jeune icône qui révèle les carences de la lutte antidopage.
On l'annonçait comme l'héritier de Marco Pantani. Ricardo Ricco a non seulement copié le démarage foudroyant du "pirate" en montagne, mais il le rejoint aussi dans les annales des sportifs souillés par le dopage en pleine compétition. Jamais contrôlé positif, Pantani avait été évincé du Tour d'Italie 1999 suite à une descente de police dans sa chambre d'hôtel. On y avait trouvé des produits dopants et Pantani ne s'en était jamais remis. C'est sans les sirènes que Ricco, 24 ans, quitte le Tour avec toute son équipe Saunier Duval, convaincu de dopage après que des traces de CERA, une EPO à effets retardés, ont été retrouvés dans ses urines.
Anges déchus? Non, sportifs de haut niveau visant les podiums. Rien d'étonnant pour le docteur Jean-Pierre de Mondenard, spécialiste du dopage:
"Dès qu'on a une ligne d'arrivée, on a une potentialité de dopage. Jouer un podium international demande une préparation de pointe, avec l'utilisation de produits interdits. Avec le temps, les médecins ont remplacé les soigneurs et les protocoles dopants se sont améliorés, ce n'est pas une surprise."
Alors comment Ricco a-t-il été pris? En partie grâce au passeport biologique: avec un taux d'hématocrite à 51%, il a rejoint une liste de coureurs aux paramètres sanguins anormaux. Résultat, la Fédération française de lutte contre le dopage, chargée des contrôles sur le Tour, l'a ciblé particulièrement, a mis "un contrat sur sa tête", dixit le docteur de Mondenard.
L'EPO, dopant du passé, du présent et de l'avenir
Pour lui, on est passé "d'une présomption d'innocence à une suspicion légitime". Suspicion vérifiée trois fois en dix jours de course après les contrôles positifs de Manuel Beltran et de Moises Duenas. Un réalisme et désabusé que partagent de nombreux observateurs. Pierre Ballester, auteur cette année de "Tempêtes sur le Tour", pris à chaud:
"Il ne faut pas jouer les vierges effarouchées! On ne se débarasse pas en un clin d'œil de rites ancestraux. Le sport de haut niveau est gangréné. De toute façon, l'émotion est morte, c'est un languissant suicide collectif."
Encore une fois, c'est d'EPO dont il est question. Ce produit star, qui permet d'accélérer l'acheminement de l'oxygène dans l'organisme, est le plus utilisé par les sportifs professionnels, mais reste difficile à détecter, explique le docteur:
"Depuis Festina, on a développé de nouvelles générations d'EPO, non détectables si elles sont administrées correctement. Lance Armstrong n'a jamais été pris parce qu'il était chargé dans des conditions hypertechnologiques. Le produit qu'a pris Ricco n'était pas dans les protocoles des contrôleurs quelques mois avant le Tour. Il a donc été pris par surprise, comme Beltran, un vieux de la vieille, habitué à ces préparations quand il était équipier d'Armstrong. C'est le même type de produit qu'on a retrouvé a posteriori l'an dernier chez Michaël Rasmussen."
Malgré tout, l'EPO a un avenir, comme base du dopage sanguin. Professeur de biotechnologie à l'Ecole centrale de Paris et directeur du service d'hématologie au CHU de Troyes, Gérard Dine explique que le mode d'administration prime sur la nature du produit:
"Si une EPO de nouvelle génération est bien administrée, on n'a aucune chance de prendre le coureur. Le chercheur a toujours un temps de retard. Prendre Ricco est une chose, mais c'est que les autres ne soient pas pris dont il faut s'étonner."
Pour lui, le Tour a raté sa chance il y a dix ans, lorsque les organisateurs ont refusé la mise en place d'une mouture de passeport biologique avec suivi longitudinal des coureurs et traçabilité totale du suivi médical: "on a dit que c'était une menace, puis on a attendu la catastrophe pour y penser".
Un milieu intoxiqué
La lutte antidopage est par ailleurs victime des conflits entre l'Agence mondiale antidopage (AMA), l'Union cycliste internationale (UCI), et Amaury Sport Organisation (ASO), organisateur du Tour de France. Coincés dans des querelles politico-financières, les scientifiques sont circonspects.
Pour Gérard Dine, "il faut absolument que les médecins et les techniciens antidopage puissent agir indépendamment, parce que ces produits, ce n'est plus de la chimie, mais de la biotechnologie". Comme Jean-Pierre de Mondenard et Pierre Ballester, il demande une plus forte présence judiciaire et une meilleure formation des gendarmes et des douanes:
"Le point commun entre les affaires Festina, Pantani et Puerto, c'est que ce sont les gendarmes qui ont mis la main sur la dope, pas les scientifiques, entravés dans leurs démarches."
Christophe Bassons, ancien pro et figure de la dénonciation du dopage, retient que Ricco n'a que 24 ans, ce qui prouve qu'il a été happé par le milieu:
"Ce qui est désolant, c'est que les mentalités ne changent pas. C'est attristant et ça prouve un manque d'action de la part des instances internationales du cyclisme."
En effet, les bonnes recettes passent de génération en génération via les directeurs sportifs. Bjarne Riis, directeur de l'équipe CSC, a avoué s'être "chargé" pour gagner le Tour 1996. Son adjoint Kim Andersen? Contrôlé positif six fois dans sa carrière. Idem pour Alberto Volpi, directeur sportif de Barloworld, l'équipe de Duenas.
EPO, hormones de croissance, nouvelles générations de stéroïdes, le régime des cyclistes se médicalise de plus en plus. Avec en ligne de mire, la gloire et l'appât du gain. Pour Gérard Dine, l'équation est simple:
"Sport énergétique plus médiatisation et intérêt financier égale forte possibilité de dopage. Si on veut avancer, il faut donner le pouvoir à des gens compétents, aux médecins et aux gendarmes.".
Car pour l'instant, "contrôler un coureur, c'est détruire un un produit, pas le dopage". Un ménage par petites touches, un scandale qui en appelle d'autres pour Pierre Ballester:
"Pour le Tour de France, je ne suis pas inquiet. Par contre, pour le cyclisme, c'est un exorciste qu'il nous faut."
L'âme de Marco Pantani rôde encore dans le peloton.
braziou a écrit :...pour savoir quel dopé va l'emporter , c'est dur! pour Schelk tapez 1 , Evans tapez 2 etc...
... les français étaient en course aujourd'hui?
Alors si je comprend bien, il y a ceux qui gagnent... qui sont forcément des dopés, et il y a ceux qui ne gagnent pas (les français)... et tu te demandes ce qu'ils foutent!
Et un bon coup de pied dans ton cul, est-ce qu'avec l'onde de choc il y a une chance que cela te remette les idées en place ou alors, comme disait Coluche, il y a un tel merdier la dedans qu'il n'y a plus rien à en tirer?
PS : désolé mais braziou commence à me les casser avec ses remarques à 2 balles.
je te rassure les français aussi se chargent mais pas très efficacement apparemment
pourquoi?
parce que sinon ils parleraient non?
et puis par rapport aux mecs qui prennent de l'EPO , s'ils prennent rien , alors ça veut dire qu'ils sont bien plus forts en réalité parce qu'etre à 15-20 min au général sur 63h de course , c'est rien! ça fait quoi en km/h ? 0,1 de différence?
quand on voit que Beltran s'est fait chopé à l'EPO en étant milieu du classement , si t'es pas bete , tu comprends
ou alors tu pratiques la politique de l'autruche du milieu
désolé de casser tes reves ; t'es pas au pays des bisounours et de Candy
et quand j'entends dire qu'Evans a craqué parce qu'il a perdu 30 sec , je me demande des fois si vous faites du vélo
moi si je craques dans un col , c'est 5min que je prends par rapport à un collègue de ma force!
les Français ne parlent pas, parce que sinon ils se font allumer par:
1) les anciens qui leur reprochent de ne pas savoir s'entrainer et se faire mal.
2) Les autres mecs du peloton, qui n'aiment pas, quelle que soit la vérité , que l'un des leur ne brise la loi du milieu.
jean cyril robin et pineau l'ont fait.
Après, c'est s'exposer à des représailles du style plus jamais de bons de sortie. Pour un courreur au profil de baroudeur, c'est la fin.
Maintenant quelqu'un qui termine à 40 minutes du vainqueur, il perd du temps dans les 3 ou 4 étapes de montagne et sur les contre- la montre, pas sur les 3600 KM du tour.
Donc, dire que tout le monde est dopé à l'EPO sur cet argument en regardant la différence de moyenne entre les courreurs sur l'ensemble est tout à fait faux.
l'écart représente en fait une différence athlétique considérable.
La seule mesure fiable, ce sont les mesures de puissance dans les cols. Et les meilleurs français ( casar, goubert, moinard), développent grosso modo des puissances semblales à celles des meilleurs français avant l'époque EPO.
et Casar fait le 13 ème temps de l'étape hier.
Je ne me pronoce pas sur le groupe de tête devant, qui fleurte toujours ou dépassent des vitesses trop proches des limites acceptables.
En gros, il y a une petite élite qui possède la clef pour aller encore très vite dès que ça monte.
On en saura plus à l'alpe.
Mais je pense que les choses s'améliorent trop lentement, mais elles s'améliorent tout de même; Après, je suis d'accord sur la naîveté des journalistes télé ou radio.
oui mais si tu as peur de parler à cause d'une éventuelle réaction du blaireau ou d'un autre , ça devient grave
je pense plutot qu'ils sont pas blancs comme neige tout simplement
ils existent une + grande sévérité en France par rapport à certains pays sur le dopage donc la peur du gendarme joue
c'est le dopage à plusieurs vitesses
mais comme tu dis les choses s'améliorent un peu
maintenant , en laissant les anciens dans ce milieu , en acceptant ces équipes de l'Est à l'esprit suspect , en acceptant de nouveau sur le Tour des Riis , avant Contador , Basso , Landis et Rasmussen dans un futur proche , on fait du surplace , embétant quand il s'agit d'aller de l'avant
j'attends comme toi les temps à l'Alpe , sachant que cette année Piépoli n'a pris qu'une minute par Armstrong dans Hautacam
Pelvoux a écrit :... Après, je suis d'accord sur la naîveté des journalistes télé ou radio.
tu te gourres complètement! Personne n'est naîf et il ne faudrait pas prendre les journalistes pour des abrutis mais il y a des limites qu'ils ne s'autorisent pas à franchir comme le font certains. Et ils ne peuvent pas "balancer" n'importe quel propos sans preuves.
Le blaireau de base transforme beaucoup trop vite sa "suspicion" en accusation.
Le journaliste ne le peut pas!
Des preuves, des preuves et encore des preuves! C'est la seule chose qui peut te permettre d'accuser quelqu'un.
Et la preuve, elle vient uniquement des controles anti-dopage et non pas d'une attaque fulgurante qui laisse tout le monde sur place.
Pelvoux a écrit :les Français ne parlent pas, parce que sinon ils se font allumer par:
1) les anciens qui leur reprochent de ne pas savoir s'entrainer et se faire mal.
2) Les autres mecs du peloton, qui n'aiment pas, quelle que soit la vérité , que l'un des leur ne brise la loi du milieu.
jean cyril robin et pineau l'ont fait.
Après, c'est s'exposer à des représailles du style plus jamais de bons de sortie. Pour un courreur au profil de baroudeur, c'est la fin.
Maintenant quelqu'un qui termine à 40 minutes du vainqueur, il perd du temps dans les 3 ou 4 étapes de montagne et sur les contre- la montre, pas sur les 3600 KM du tour.
Donc, dire que tout le monde est dopé à l'EPO sur cet argument en regardant la différence de moyenne entre les courreurs sur l'ensemble est tout à fait faux.
l'écart représente en fait une différence athlétique considérable.
La seule mesure fiable, ce sont les mesures de puissance dans les cols. Et les meilleurs français ( casar, goubert, moinard), développent grosso modo des puissances semblales à celles des meilleurs français avant l'époque EPO.
et Casar fait le 13 ème temps de l'étape hier.
Je ne me pronoce pas sur le groupe de tête devant, qui fleurte toujours ou dépassent des vitesses trop proches des limites acceptables.
En gros, il y a une petite élite qui possède la clef pour aller encore très vite dès que ça monte.
On en saura plus à l'alpe.
Mais je pense que les choses s'améliorent trop lentement, mais elles s'améliorent tout de même; Après, je suis d'accord sur la naîveté des journalistes télé ou radio.
Tu fais bien de parler de CASAR : tu as vu sa chute l'année dernière et sa victoire après
Spécialiste des traumas en vélo (j'en suis victime), je peux te dire que quand tu tombes sur le cul comme il est tombé, tu ne roules pas comme cela derrière Surtout quand t'es censé être un peu crevé. Faut surtout pas sortir, "mouais, mais il est chaud, tu sens rien...".
Tu pouvais ce jour là le marquer au fer rouge, il ne sentait rien du tout............
Donc, juste un peu de bon sens
Quand "aux écarts", tu prends ceux entre Vinokourov dans le CLM où il est positif et les derniers du CLM.
fifi63 a écrit :Des preuves, des preuves et encore des preuves! C'est la seule chose qui peut te permettre d'accuser quelqu'un.
Et la preuve, elle vient uniquement des controles anti-dopage et non pas d'une attaque fulgurante qui laisse tout le monde sur place.
Tiens ça c'est exactement l'argument du Dr Ferrari qui disait: "tant qu'on est pas testé positif, c'est pas du dopage"!
Et sur la route c'est pareil ? tant qu'on est pas flashé, on n'est pas en excès de vitesse !???!!!
On peut décliner ce sophisme sur tous les tons:
- tant que je me suis pas pesé, je suis pas gros!
- tant que j'ai pas soufflé dans le ballon, je suis pas ivre!
etc.....
Surtout quand t'es censé être un peu crevé. Faut surtout pas sortir, "mouais, mais il est chaud, tu sens rien...".
