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Commanaman a écrit :

TIRELIPIMPON a écrit :jeudi on fait un diner......

Il me semble que c'est le mercredi !

justement c'etais pris..mais si ca t'arrange mercredi je peux voir !

J'avais lu une fois qu'Andréa Tafi avait l'habitude de faire des sorties de 4 ou 5h, uniquement en prenant de l'eau et sans aucun apport énergétique. Et en rentrant, il ne prenait qu'une salade.
Il disait aussi qu'après la première hypo, il commençait à bien marcher. J'ai aussi remarqué ce phénomène...mais sans le vouloir.
Ce que je constate, c'est que plus on est entrainé et plus on est économique. Au début, à la reprise, sur 90 km, il me faut une barre et de la boisson énergétique si je ne veux pas tomber en hypo.
Après quelques mois, je ne prends plus rien jusqu'à 3 heures, ce n'est pas un objectif, simplement je n'éprouve pas le besoin de consommer.
D'ailleurs, m^me sur MD, il faut que je pense à m'alimenter, ce n'est pas naturel chez moi.

J'ai un peu de mal à comprendre Spin sur 3 points:
1. Le métabolisme sollicité dépendra énormément du type d'effort. En gros, FC basse = lipide. FC + haute = glucide (c'est très simplifié, mai ca me parait quand même vrai). Quel est le rapport entre l'apport énergétique pendant l'effort et la filière énergétique sollicitée

2. D'après un article lu dans sport & vie (il me semble), Quelque soit l'apport énergétique (glucidique) pendant l'effort, il est de toute façon inférieur à la dépense énergétique. Les réserves en glycogène étant limitées, le métabolisme lipidique est de toute façon fortement sollicité, et donc entrainé sur les efforts longue durée (même en cas d'apport glucidique).

3. Dans une optique d'entrainement journalier, il parait important de ne pas épuiser ses réserves d'un jour sur l'autre; et donc d'avoir un apport suffisant à maintenir un équilibre énergétique, c'est à dire proportionnel à la dépense . Je vois mal comment arriver à cet équilibre sans apport énergétique à l'entrainement.

Cela dit, mes connaissances des mécanismes biologiques humains sont bien moindres que celles de boudhix ou dem.

Signé: un pimpim métabolique

piéro a écrit :J'avais lu une fois qu'Andréa Tafi avait l'habitude de faire des sorties de 4 ou 5h, uniquement en prenant de l'eau et sans aucun apport énergétique. Et en rentrant, il ne prenait qu'une salade.

Les habitudes des cyclistes pros, il faut leur accorder un crédit tout relatif, je pense...

Ah mais je n'ai pas dit que c'était une bonne chose, je rapporte juste ce que j'avais lu sur Tafi.

piéro a écrit :J'avais lu une fois qu'Andréa Tafi avait l'habitude de faire des sorties de 4 ou 5h,

Certains dépassent largement ces chiffres, avec des séances de 08h00 d'affilé à gros renfort de caféine.

J'ai regardé dans la littérature et n'est trouvé aucun résultat d'étude sur la capacité à améliorer les performances suite à des entraînements sans ravitaillements. Cette pratique est justifiée dans la mesure où on a montré que la pratique en restriction calorique rendait l'organisme plus sensible au glucose, c'est-à-dire qu'on lui donne la faculté de capter plus efficacement le glucose sanguin. Je me rappelle avoir lu un papier de G. MILLET (ce devait être dans Triathlète Magazine), qui préconisait ce genre d'entraînement afin de forcer l'organisme à améliorer les capacités de glycogénogénèse, sans me souvenir du nombre d'heures exactement. Le processus recherché est le même que celui identifié dans le cadre du régime dissocié scandinave (RDS) : pomper les réserves en glycogène et surcompenser. Les lipides sont plus utilisés dans ce cas de figure-là, également. L'histoire ne dit pas si ce genre de pratique améliore les performances, toutefois on peut en douter étant donné que le RDS n'a plus les faveurs des professionnels du sport (mais plutôt le régime semi-dissocié). Ce genre de pratique éprouve l'organisme : le conseiller ponctuellement à des sportifs expérimentés et/ou déjà bien entraînes, pourquoi pas, mais pour des niveaux inférieurs, ça n'est pas recommandable.
A contrario, il est toujours conseillé de se ravitailler pendant les épreuves et les entraînements. Il n'y a qu'à ouvrir n'importe quel bouquin de diététique ou d'entraînement.

Je suis également tombé sur un nombre important d'études qui intéresseront les triathlètes Longue Distance. Il y a un consensus évident qui tourne autour de la capacité de l'organisme à plus utiliser les lipides au cours de l'exercice lorsque la ration alimentaire est enrichie en lipides quelques jours auparavant ("fat-adapt"). En clair, lors des épreuves préparées du point de vue nutritionnelle avec plus de lipides que ce qui est conseillé, l'organisme utilise plus les réserves lipidiques et moins les glucides (sans perte de performance, voire avec un certain gain pour une étude ou deux). Voir les liens ci-dessous :
Lien 1
Lien 2
Lien 3
Lien 4

Pire encore, un régime extrêmement pauvre en graisse diminue la faculté de l'organisme à utiliser les réserves lipidiques : lire par ici.

Messieurs, à vos bouteilles d'huiles (de colza).[/url]

oui mais vu que les pro se chargent tout le long de l'année à l'entrainement je ne pose pas la question "Mais comment font-il?".

En tout cas en ce qui me concerne quand je vait en cour je déjeune bien a 6h et je sait que vers 9h j'ai le ventre qui gueule sa mère alors que je suis resté assis à prendre des notes...

Alors sur mes sorties longues à vélo (entre 4h30 et 5h pour ma part) je n'imagine même pas ne pas m'alimenter et boire que de l'eau.

Par contre le dimanche quand je fait des sorties longues à pied (entre 2h et 2h15) je ne mange pas et je ne boit pas... même si vers la fin c'est dur

piéro a écrit :Ah mais je n'ai pas dit que c'était une bonne chose, je rapporte juste ce que j'avais lu sur Tafi.

J'avais bien compris cher camarade, cela n'empêche qu'en la matière, les us et coutumes des cyclistes pros sont à prendre avec certaines précautions, sinon des réserves.
Les anciennes "gloires" aiment bien entretenir la légende de leurs "exploits", parfois avérés, sinon accomplis sous substances illicites, ce dont ils se gardent bien de mentionner dans leur biographie et autres interviews.
D'autant que ces méthodes d'entraînement, le plus souvent, ont été rarement adoubées scientifiquement. De vieilles pratiques qui ne reposaient que sur des "on dits" et qui survivaient par transmission orale.
J'ai connu un ancien pro pas si ancien que ça d'ailleurs, qui ne jurait que par et pour l'huile d'olive , attachant à ce lipide des vertus si fabuleuses qu'il n'hésitait à lui attribuer et lui dédier certains de ses succès.
Sauf que son huile d'olive à lui, était "pimentée" d'EPO, de corticos, de cure de fer et d'anti-inflammatoires aussi divers que variés.

Boulegan a écrit : Sauf que son huile d'olive à lui, était "pimentée" d'EPO, de corticos, de cure de fer et d'anti-inflammatoires aussi divers que variés.

on en trouve à carrefour de l'huile comme ça?????????

TIRELIPIMPON a écrit :au fait j'ai recu une ptite video sur le monde du cheval et de l'equitation....

Je vous laisse seul juge....

http://www.koreus.com/media/propos-douteux.html

dégueulasse le mec il a bourré tout monde même son grand père

rswrc a écrit :

Boulegan a écrit : Sauf que son huile d'olive à lui, était "pimentée" d'EPO, de corticos, de cure de fer et d'anti-inflammatoires aussi divers que variés.

on en trouve à carrefour de l'huile comme ça?????????

non, chez Champion

j'ai pas de bol y en a pas autour de chez moi

rswrc a écrit :j'ai pas de bol y en a pas autour de chez moi

Tu aurai du demander à tes 2 copines si elles n'en avaient pas sur elles

j'avais pas ça en tête à ce moment la

C'est énorme quand même !
2 filles se pointes avec des nibards bien visibles, elles se touchent à l'arrière de ta bagnole et l'une d'elle te fait une gaterie! tu t'es cru sur un tournage de film porno non? Méfies toi peut être que l'autre qui ne "faisait rien" a filmé la scène histoire de la balancer sur le net!!!

Bon j'arrêtes là et j'espère qu'il te reste des force pour Hyères