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ravioliv a écrit :Le velotaf ca depend vraiment du parcours « a disposition »
Celui qui a moins de 10km en traversant la ville il perd son temps a mon avis ( autant y aller en courant limite )
...

Je ne suis pas du tout de cet avis. C'est exactement mon cas et je sens un réel bénéfice.

Il ne faut cependant pas voir cette "séance" comme potentiellement un entrainement intense. Comme dit plus haut, les pics de pollution, le fait d'être à jeun, le "peu de temps" ne permettent pas de faire de l'intensité.

En revanche, sous l'angle de l'endurance de base, c'est très bon. 10km, on peut faire l'aller retour tous les jours, cela n'a pas d'impact sur la fatigue générale (bien moins que enfant en bas age pour l'avoir vécu).
Cela peut permettre de travailler le coup de pédale, si on peut passer une bosse, de travailler un peu en force.
En fin de mois, on a accumulé des km et des heures de selle sans s'en rendre compte et que le cardio en a profité. Dans les périodes creuses, on maintient un niveau de forme, celle-ci tombe moins vite.
Le fractionnement en deux séances est également bénéfique (cité plus haut).

Pour ma part, je fais environ 45' matin, 45' soir, environ 4x par semaine, soit une vingtaine d'heure d'endurance sur le mois (entre 350 et 400km, moyenne faible car circulation en ville), ce qui me permet de plus axer mes autres sorties vélos sur de l'intensité, ça me permet de limiter les sorties ron-ron ou on ne fait que de l'endurance.

Je suis également de cet avis. Mieux vaut une sortie vélo, même courte et tranquille, qu'un allez-retour en voiture, en bus, en métro ou à dos d'âne. Même si ce n'est pas intense ni intégré dans un schéma d'entraînement, c'est toujours ça de pris, ça fait tourner les jambes.

Merci à tous pour vos réponses

Floppy a écrit : ↑12 juil. 2016, 12:52

ravioliv a écrit :Le velotaf ca depend vraiment du parcours « a disposition »
Celui qui a moins de 10km en traversant la ville il perd son temps a mon avis ( autant y aller en courant limite )
...

Je ne suis pas du tout de cet avis. C'est exactement mon cas et je sens un réel bénéfice.

Pour ma part, je fais environ 45' matin, 45' soir, environ 4x par semaine, soit une vingtaine d'heure d'endurance sur le mois (entre 350 et 400km, moyenne faible car circulation en ville), ce qui me permet de plus axer mes autres sorties vélos sur de l'intensité, ça me permet de limiter les sorties ron-ron ou on ne fait que de l'endurance.

je parlais de 10km, tu parles de 45' donc c est pas tout a fait pareil....evidement 45' 2X par jour ca "compte"

Dans mon cas j ai 5km le matin et soir ( soit 15min )

Dans le doute j ai enrigistre tout ca comme une activité et en faisant les totaux debut mai je me suis rendu compte que ca représentait un "volume non negligeable". Mais meme si j ai une bonne grosse bosse pour remonter chez moi, je pense que ca n a aucun effet sur l'endurance ou la puissance...
Du coup j ai arreté d'enregistrer pour ne pas polluer mes stats
5 par contre si je fais une seance intervals cote avant de rentrer chez moi comme c est parfois le cas, les 15min avant etant un echauffement, la evidement je pense que ca compte comme du travail qualitatif.

J aimerais qu on puisse me demontrer a partir de quel temps / distance ca commence a etre significatif mais je sais pas si on peut...

Je parle de 45', en ville, c'est 11km exactement. De la circulation, beaucoup de feux, un arrêt à l'école, et pas trop d'effort pour ne pas sur ventiler et absorber trop de cochonnerie, la vitesse n'est pas très élevée.

En terme de puissance, on est d'accord, ça ne sert à rien. En terme d'endurance, c'est un plus pour celui qui s'entraine peu, ce qui est notre cas.

Cela joue dans la balance entre séance intense et séance endurance fondamentale. Pour ma part, une journée type ressemble à ça: 45' I1 + 60' I3 ou I4 (fonction du sport pratiqué) + 45' I1. Je fais ma séance intense entre 12 et 14h.

Sans ça, je suis persuadé que j'aurais des séances lentes à rajouter pour encaisser sur la durée.