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Nicolas Lebrun, notre français le plus éclectique et le plus médaillé, fait partie effectivement des très rares triathlètes français vivant des seuls revenus de leur activité sportive. Spécialisé dans le Duathlon (3 podiums en championnats du Monde) et le Triathlon des neiges (2 titres de champion du Monde) au début de sa carrière, ce n’est vraiment que depuis sa « reconversion » depuis 2000 sur Triathlon « off-road » avec le développement des circuits américains et européens XTerra qu’il a pu trouver la tranquillité financière et ainsi pouvoir se lancer de nouveaux défis comme sur Ironman 70.3 depuis peu.
En tant que sportif de haut niveau, il bénéficie d’une aide de l’état par l’intermédiaire du Conseil Général des Alpes de Haute-Provence et de la Ville de Digne-les-Bains (tous deux partenaires de Nicolas). Le reste de ses revenus provient exclusivement de quelques partenariats privés, des primes de course et de la promotion de son image.
Ces revenus fluctuent chaque année suivant les résultats sportifs, lui permettant d’atteindre le niveau d’un cadre moyen de la fonction publique, même si les frais dits « professionnels » sont bien supérieurs à une activité « traditionnelle » (déplacements, santé-prévention, etc.).

vincent05 a écrit :Puis ca leur fais une sécurité en cas de pépins ou de blessures !!
Moi je préfére savoir que mes impots servent à ca, plutot que de payer des chomeurs, qui font du black en plus...

tout à faire d'accord

Athl'éthique a écrit :Nicolas Lebrun, notre français le plus éclectique et le plus médaillé, fait partie effectivement des très rares triathlètes français vivant des seuls revenus de leur activité sportive. Spécialisé dans le Duathlon (3 podiums en championnats du Monde) et le Triathlon des neiges (2 titres de champion du Monde) au début de sa carrière, ce n’est vraiment que depuis sa « reconversion » depuis 2000 sur Triathlon « off-road » avec le développement des circuits américains et européens XTerra qu’il a pu trouver la tranquillité financière et ainsi pouvoir se lancer de nouveaux défis comme sur Ironman 70.3 depuis peu.
En tant que sportif de haut niveau, il bénéficie d’une aide de l’état par l’intermédiaire du Conseil Général des Alpes de Haute-Provence et de la Ville de Digne-les-Bains (tous deux partenaires de Nicolas). Le reste de ses revenus provient exclusivement de quelques partenariats privés, des primes de course et de la promotion de son image.
Ces revenus fluctuent chaque année suivant les résultats sportifs, lui permettant d’atteindre le niveau d’un cadre moyen de la fonction publique, même si les frais dits « professionnels » sont bien supérieurs à une activité « traditionnelle » (déplacements, santé-prévention, etc.).

c'est toi sa nouvelle gonzesse ?

koukoukouk a écrit : mouais je préfère mes combines.................

de quoi vivent les PROFessionnels, Monsieur, pas les PROlétaires !

En ce qui concerne Tony M., je crois qu'il a tout simplement pris une "dispo" pour se consacrer momentanément à sa carrière sportive.
Pour Julie Gigault, elle n'a rien de particulier, si ce n'est que, sur l'année scolaire dernière, en raison d'un stage France, elle a du bénéficier de 2 ou 3 semaines maxi où elle a été libérée de ses obligations professionnelles.
Enfin, pour les postes au sein de l'UNSS, ils s'arrangent peut-être pour faire leur propre "emploi du temps"...
Mais je crois sincèrement que les aménagements horaires dont vous parlez sont uniquement à la demande des enseignants eux-mêmes.
Par exemple, un Kinou (alias P. Bringer) peut, au lieu de faire ses 18 heures de cours dans son collège ou lycée, demander un temps partiel à 75% et n'enseigner plus que 13h30 par semaine. Mais il a le salaire "réduit" d'autant !
Je me doute que le temps partiel d'un prof de collège ou lycée qui, normalement ne fait que 18h devant les élèves, va sans doute susciter la moquerie... mais bon, après tout !

Vaut mieux pas que Kinou demande un temps partiel, il finirait par devenir bon...
Désolé Kinou...