Publié : 26 avr. 2005, 17:00
Personnellement, j'ai joué au foot pendant plus de vingt ans en club et j'ai débuté à L'Equipe à la rubrique foot lors de la Coupe du monde 98. Après trois ans, j'ai demandé à m'occuper d'autres sports plus proches de mes valeurs sportives. C'est ainsi que j'ai découvert notamment le triathlon.
IL est vrai que le foot de haut niveau est devenu très malsain: les joueurs (et pas forcément les plus connus) qui se prennent pour des dieux intouchables, des ambiances détestables, la simulation et la triche devenues quasi institutionnelles, etc.
Néanmoins, même s'il est vrai que l'on s'ennuie parfois, je passe encore pas mal de temps à regarder les matches à la télé. Sur les 777heures de foot à la télé en 2004, je m'en suis donc tapées pas mal. Ben oui, j'assume. Mais quel pied devant un Chelsea - Barcelone ou il y a deux ou trois saisons devant un Manchester - Real. Quand tout Old Trafford se lève pour saluer la sortie de Ronaldo auteur d'un hat-trick, c'est frissons garantis.
Eh oui, c'est malgré tout le foot qui me procure encore les plus belles émotions. De plus, depuis que je suis on va dire très "proche" d'une équipe féminine (je suis même devenu entraîneur des gardiennes) et, même si cela n'a rien à voir avec le haut niveau, je vibre toujours pour le foot. Et comme l'a écrit Thelam dans un post précédent, à petit niveau (mon équipe de filles évolue en PH soit le deuxième plus bas niveau), ce plaisir de se retrouver, cette fraternité (enfin si l'on peut dire pour des filles) existe bien encore. Franchement, je me régale à aller m'entraîner avec elles (et pas seulement parce qu'elles sont toutes mimi) et à vivre ces moments de sport simples, sans prise de tête.
Mais rassurez-vous, même si garde un faible pour le foot, sans doute parce que j'ai toujours vécu avec, je continuerai à me battre pour grappiller quelques lignes supplémentaires pour le triathlon, le badminton, le tennis de table, le squash...
IL est vrai que le foot de haut niveau est devenu très malsain: les joueurs (et pas forcément les plus connus) qui se prennent pour des dieux intouchables, des ambiances détestables, la simulation et la triche devenues quasi institutionnelles, etc.
Néanmoins, même s'il est vrai que l'on s'ennuie parfois, je passe encore pas mal de temps à regarder les matches à la télé. Sur les 777heures de foot à la télé en 2004, je m'en suis donc tapées pas mal. Ben oui, j'assume. Mais quel pied devant un Chelsea - Barcelone ou il y a deux ou trois saisons devant un Manchester - Real. Quand tout Old Trafford se lève pour saluer la sortie de Ronaldo auteur d'un hat-trick, c'est frissons garantis.
Eh oui, c'est malgré tout le foot qui me procure encore les plus belles émotions. De plus, depuis que je suis on va dire très "proche" d'une équipe féminine (je suis même devenu entraîneur des gardiennes) et, même si cela n'a rien à voir avec le haut niveau, je vibre toujours pour le foot. Et comme l'a écrit Thelam dans un post précédent, à petit niveau (mon équipe de filles évolue en PH soit le deuxième plus bas niveau), ce plaisir de se retrouver, cette fraternité (enfin si l'on peut dire pour des filles) existe bien encore. Franchement, je me régale à aller m'entraîner avec elles (et pas seulement parce qu'elles sont toutes mimi) et à vivre ces moments de sport simples, sans prise de tête.
Mais rassurez-vous, même si garde un faible pour le foot, sans doute parce que j'ai toujours vécu avec, je continuerai à me battre pour grappiller quelques lignes supplémentaires pour le triathlon, le badminton, le tennis de table, le squash...