OnlineTri.com

Kenzo a écrit :

Ghorgorbey a écrit :@Kenzo : j'ai lu ce matin qu'à l'étape 21 (?) ils allaient faire plus de 6500 de D+ alors que d'habitude une étape de haute montagne sur des tours "normaux" étaient aux alentours des 4500 D+.
Pour ma culture générale, tu confirmes ces deux points? (le D+ de l'étape 21 et la moyenne de D+ des étapes de montagne des grands tours)

Bon je vais reprendre ce que tu as dit "J'ai lu ce matin qu'a l'étape 21 ils allaient faire plus de 6500 de D+ alors que d'habitude une étape....

Ok voici l'étape 21 Milan-Milan : 31,5 km

Me suis un peu planté, dans le copier/coller de l'autre forum, la personne ne parle pas de l'étape 21 mais du 21 ou 22 mai.
Et y'a une moyenne de D+ qui est respectée dans les étapes de hautes montagnes habituellement?

kent 7 a écrit :je trouve que le parcours du Giro est beaucoup plus dur et spectaculaire que celui du TdF

Largement

Le live http://www.ustream.tv/channel/frankport

rien à voir avec les parcours "lissés" du TdF

Ouhhh la fin... les 3 derniers kms quand ils sont tous alignés c'est assez poignant

L'équipe Leopard Trek quitte le Giro



L'équipe Leopard Trek a décidé de ne pas poursuivre le Tour d'Italie cycliste, a annoncé la formation luxembourgeoise mardi soir, au lendemain du décès de son coureur Wouter Weylandt lors de la 3e étape du Giro.


Les coureurs de Leopard Trek avaient décidé dans la nuit de lundi à mardi de disputer la 4e étape. Cette 4e étape a été neutralisée et ce sont les Leopard Trek, ainsi que Tyler Farrar, ami proche de Weylandt, qui ont franchi en premier, en se tenant par l'épaule, la ligne d'arrivée, à Livourne.

Mardi soir, Leopard Trek a annoncé que ses coureurs ont décidé de quitter le Giro, à la suite du décès de Wouter Weylandt. Le choix des coureurs est approuvé par la direction.



"La décision devait être prise par les coureurs, car ce sont eux qui participent à la course", déclare Brian Nygaard, le manager de Leopard Trek. Nous avons toujours dit que nous approuverions leur choix. Nous tenons à remercier les autres équipes, l'organisateur RCS, les autorités italiennes et tous les supporters présents sur la route entre Gênes et Livourne dans l'étape d'aujourd'hui, quand le peloton a rendu hommage à Wouter Weylandt".

Fabian Wegmann explique que les coureurs ne "pouvaient plus continuer dans ces circonstances". "Nous sommes des professionnels, mais nous pensons que c'est la bonne décision".

Maintenant la course doit reprendre ses droits même si c'est dur après le décès de Wouter Weylandt

Demain Piombino > Orvieto : 191 km



L'an dernier, l'étape des Strade Bianche avait ému, avait fourni quelques frissons et surtout, était rentrée dans l'histoire de ces 20 dernières années de par le spectacle, le suspens et, il faut le dire, le temps qu'elle avait offert. Disputée dans des conditions exécrable, les routes de terre étaient devenues routes de boue, et c'est un Cadel Evans au maillot irisé complètement entaché par la gadoue qui l'avait emporté. Une journée mémorable à n'en pas douter. Si bien que les organisateurs ont décidé de remettre le couvert cette année. Après un départ de la ville de Piombino plutôt calme, les coureurs devront escalader une succession de côtes dont la Saragiolo, classé 3ème catégorie. Après quelques montées-descentes aux allures d'étape casse-patte, les Strade Bianche tant attendues feront leur apparition dans le dernier quart de la course. A l'approche du sommet du Croce de Fighine (3eme catégorie), située à 35 bornes de l'arrivée, les coureurs emprunteront pour la première fois les passages en terre. Le début de la descente qui s'en suivra sera également revêtu de cette surface. Et avant de rejoindre la ligne située à Ovierto, deux petites bosses seront à franchir avec aussi bien sur leur montée que sur leur descente, ces fameux passages en terre. Pour ceux ayant franchit sans encombre ces difficultés, l'arrivée se profilera avec pour juge de paix une bosse de 2,4 km mais dont les 500 premiers mètres avoisinent les 10-15%. Les plus en jambes pourront tenter de sortir à ce moment là, car le dernier kilomètre et demi, d'une moyenne de 5% ne devrait pas créer des écarts. Les favoris sont en tous les cas prévenus, il faudra être vigilant. Surtout si comme l'an passé, la météo s'en mêle.

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Kenzo a écrit :Maintenant la course doit reprendre ses droits même si c'est dur après le décès de Wouter Weylandt

Demain Piombino > Orvieto : 191 km



L'an dernier, l'étape des Strade Bianche avait ému, avait fourni quelques frissons et surtout, était rentrée dans l'histoire de ces 20 dernières années de par le spectacle, le suspens et, il faut le dire, le temps qu'elle avait offert. Disputée dans des conditions exécrable, les routes de terre étaient devenues routes de boue, et c'est un Cadel Evans au maillot irisé complètement entaché par la gadoue qui l'avait emporté. Une journée mémorable à n'en pas douter. Si bien que les organisateurs ont décidé de remettre le couvert cette année. Après un départ de la ville de Piombino plutôt calme, les coureurs devront escalader une succession de côtes dont la Saragiolo, classé 3ème catégorie. Après quelques montées-descentes aux allures d'étape casse-patte, les Strade Bianche tant attendues feront leur apparition dans le dernier quart de la course. A l'approche du sommet du Croce de Fighine (3eme catégorie), située à 35 bornes de l'arrivée, les coureurs emprunteront pour la première fois les passages en terre. Le début de la descente qui s'en suivra sera également revêtu de cette surface. Et avant de rejoindre la ligne située à Ovierto, deux petites bosses seront à franchir avec aussi bien sur leur montée que sur leur descente, ces fameux passages en terre. Pour ceux ayant franchit sans encombre ces difficultés, l'arrivée se profilera avec pour juge de paix une bosse de 2,4 km mais dont les 500 premiers mètres avoisinent les 10-15%. Les plus en jambes pourront tenter de sortir à ce moment là, car le dernier kilomètre et demi, d'une moyenne de 5% ne devrait pas créer des écarts. Les favoris sont en tous les cas prévenus, il faudra être vigilant. Surtout si comme l'an passé, la météo s'en mêle.

1 Pieter Weening (Rabobank) 4:54:49
2 Fabio Duarte (Geox-TMC) + 0:08
3 José Serpa (Androni)
4 Christophe Le Mevel (Garmin-Cervélo)
5 Oscar Gatto (Farnese Vini)
6 Vincenzo Nibali (Liquigas-Cannondale)
7 Alberto Contador (Saxo Bank-SunGard)
8 Michele Scarponi (Lampre-ISD)
9 Joaquim Rodríguez (Katusha)
10 Roman Kreuziger (Astana)

David Millar a chuté à 80kms de l'arrivée et aussi Tom Jelte Slagter (Rabobank), victime d'une chute assez violente, qui est longtemps resté allongé sur la route, a été transporté vers l'hôpital le plus proche. Le coureur néerlandais de 21 ans n'était toutefois pas inconscient, puisqu'on l'a vu bouger les bras

Le Monte Crostis sera réexaminé

L'organisateur du Giro a annoncé dans la soirée qu'il serait prêt à améliorer la sécurité pour les coureurs, notamment lors de la descente du Monte Crostis : "Avec le décès de Wouter Weylandt, je comprends que les coureurs s'inquiètent de la descente du Crostis", explique Angelo Zomegnan à la Gazetta dello Sport. "Mauro Vegni et son équipe va se rendre dans quelques jours dans le Frioul pour évaluer la dangereusité du tracé. Notre priorité, c'est que les coureurs roulent en toute sécurité."

Le résumé de la course

Je ne veux pas tirer sur une ambulance, mais le probléme de la sécurité a toujours été récurrent lors du Giro.
Les tunnels non éclairés (si j'ai bon souvenir, jeff bernard y laissa un genou), les routes en mauvais état et tout simplement des routes pitoresques (les images sont toujours somptueuses et les paysages valent largement ceux du Tour).
Je me souviens il y a 2 et 3 ans, j'ai vu 3 ou 4 étapes au final plat: les arrivées étaient cauchemardesques. Routes étroites, avec parfois des routes (ou plutot rues) où seule une voiture pouvait passer, les coureurs qui frolaient les maisons (pas de trottoirs parfois), des tas de virages, bref, j'hallucinais completement quand on compare avec le Tour. Les coureurs semblaient prendre des risques dingues pour faire leur métier.
C'est vrai aussi que les arrivées en question étaient dans des villes de petites tailles, souvent anciennes, magnifiques pour le tourisme et le dépaysement...
Mais maintenant que ça va plus vite, qu'il ya plus de coureurs, que chaque étape devient comme une classique, les organisateurs vont devoir évoluer je pense...

Fracture de l'orbite et commotion pour Tom-Jelte Slagter

Grosse frayeur sur le Giro encore mercredi lors de la 5e étape lors de la chute spectaculaire de Tom-Jelte Slagter. Le jeune Néerlandais de la Rabobank souffre d'une fracture de l'orbite et d'une commotion cérébrale.

Alors qu'il dispute son premier grand Tour, Tom-Jelte Slagter, 21 ans, a chuté à une quinzaine de kilomètres de l'arrivée, restant longtemps étendu sur le tarmac, mais conscient, lors de la 5e étape du Tour d'Italie, toujours sous le choc du décès de Wouter Weylandt lundi.

Tom-Jetle Slagter a été emmené à l'hôpital d'Orvieto. Il ne gardera pas de séquelles de ses blessures et reste une nuit en observation à l'hôpital.

Si en lieu et place de Weening, c'etait Cancellara qui etait sorti comme ca, assis sur la selle en partant de la premiere position du groupe sur une route rectiligne et plane, on l'aurait encore accuse d'avoir mis de la graisse magique qui donne un rendement de 108% a tes roulements

Moi j'ai arrete d'en mettre; des fois mon pedalier se mettait a tourner tout seul a l'arret, et je retrouvais mon velo en dehors du parc...

En tout cas bel exploit de Kohler. Et grosse boulette de Gadret quand meme. Quand tu es grimpeur, que l'etape se termine par une bosse de 2km, et que tu te fais sortir d'une echappee en laissant un trou... Surtout qu'apres tout ce qu'avait fait Kohler, c'etait clair que LE client a surveiller, c'etait Weening.