entraînement et situation personnelle de stress intense
Publié : 28 févr. 2006, 11:01
Comment concilier l'entraînement triathlétique et une situation personnelle de stress intense? C'est une question que je me pose depuis quelques mois parce qu'elle me concerne directement (séparation... garde des enfants... etc. donc cela ne rigole pas).
Il y a un paradoxe:
D'un côté l'entraînement, surtout dans son aspect foncier, t'aide à traverser ces moments: euphorie de l'effort et temps de réflexion sans stress.
Cependant au printemps dernier les effets physilogiques du stress ont aussi un peu plombé mon entraînement. Le manque de sommeil et l'impossibilité de digérer normalement m'ont fichu en l'air pas mal de séances. Ainsi que le Geradmer XL où mon estomac et mes intestins, usés par le stress, se sont mis en rideau pendant la CAP
(vous allez vous dire: mais il est dingue ce mec, il divorce et il pense encore à ses perfs! ben oui, ici c'est un forum triathlétique pas un cabinet de psy, je ne cherche pas un conseiller conjugal)
Aujourd'hui encore je me trimballe une douleur quasi permanente au sternum que l'ostéopathe jugule sans parvenir à guérir.
Le manque de sommeil et la difficulté à ingérérer des calories sont un vrai problème pour l'entraînement.
Parfois j'ai même un peu peur que l'entraînement (environ 16h par semaine pour moi -pour l'instant pas de baisse notable de niveau au contraire) ne devienne dangereux dans ces conditions. mais je ne veux pas arrêter! Rien que l'idée me rend dingue!
Des idées? Des expériences similaires? Merci de votre aide.
Il y a un paradoxe:
D'un côté l'entraînement, surtout dans son aspect foncier, t'aide à traverser ces moments: euphorie de l'effort et temps de réflexion sans stress.
Cependant au printemps dernier les effets physilogiques du stress ont aussi un peu plombé mon entraînement. Le manque de sommeil et l'impossibilité de digérer normalement m'ont fichu en l'air pas mal de séances. Ainsi que le Geradmer XL où mon estomac et mes intestins, usés par le stress, se sont mis en rideau pendant la CAP
(vous allez vous dire: mais il est dingue ce mec, il divorce et il pense encore à ses perfs! ben oui, ici c'est un forum triathlétique pas un cabinet de psy, je ne cherche pas un conseiller conjugal)
Aujourd'hui encore je me trimballe une douleur quasi permanente au sternum que l'ostéopathe jugule sans parvenir à guérir.
Le manque de sommeil et la difficulté à ingérérer des calories sont un vrai problème pour l'entraînement.
Parfois j'ai même un peu peur que l'entraînement (environ 16h par semaine pour moi -pour l'instant pas de baisse notable de niveau au contraire) ne devienne dangereux dans ces conditions. mais je ne veux pas arrêter! Rien que l'idée me rend dingue!
Des idées? Des expériences similaires? Merci de votre aide.