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saison atypique et préparation triathlétique

Publié : 13 nov. 2004, 17:57
par stef974
salut à tous.
je suis nouveau sur le forum et aurais une ptite question.
je suis de la réunion et le calendrier des courses y est particulier.
la saison se divise en quelque sorte en deux demi saisons avec des courses entre mars et juin puis entre septembre et novembre.
sachant que ma pratique est plutot sprint/cd et qu il fait beau toute l année qu envisageriez vous comme préparation à la place du traditionnel foncier hivernal/vma/temps de soutien/affutage?

Publié : 13 nov. 2004, 18:07
par MarcoTri
Bonjour Stéphane.

Est-ce bien toi ?

MaRcO F-B

Publié : 13 nov. 2004, 18:21
par stef974
slt marco.
tu dois confondre moi c stef m.

Publié : 13 nov. 2004, 23:29
par MarcoTri
Passque ya Stef H à la réunion aussi... et un autre gars du RCF, Damien A. Si tu les vois, salue les de notre part à tous. ;)

Racingman un jour, racingman toujours

M

Publié : 14 nov. 2004, 20:58
par kent
He MARCO POLO TRI passe bien le bonjour de ma part à l'excellent David .B!

Publié : 20 nov. 2004, 11:15
par stef974
je remonte le sujet en espérant une réponse.
comment gérer une saison coupée en deux avec des courses objectif espacées dans le temps?
merci à tous.

Publié : 20 nov. 2004, 12:16
par spin
facile :

PPG1 : 2 mois
PPS1 : 2 mois

PPI1 : 2 semmaine
PC1 : 1-2 mois

PR : 2 semaine

PPG2 : 1 mois
PPS2 : 2 mois

PPI2 : 2 semaines
PC 2 : 1-2 mois

PR : 1 mois

Publié : 20 nov. 2004, 17:20
par stef974
ce que tu proposes correspond à peu pres à ce que je faisais jusqu a present.
le principal inconvénient vient du fait qu aprés 2mois de ppg1 et 2mois de vma j arrive en période competitive1 sans travail de temps de soutien.

Publié : 20 nov. 2004, 22:48
par spin
ta PPS de 2 mois doit comprendre les deux travaux

1) accroissement de la VMA en augmentant les I de travail

2) augmentation du seuil anaérobie ( un peut pret égal au temps de soutien , qui n'est aps très utile chez le triathlete D2 qui ne doit pas contenir des attaques en drafting mais qui doit etre capable de travailler le plus haut possible avec le métabiolisme aérobie )