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Comment peut on evaluer, la différence entre un surentraînement et un fatigue intense, qui serait, toutefois normale, avec une augmentation des fréquences d'entraînement?

J'ai légerement augmenté ma fréquence d'entraînement, ainsi que son intensité, et maintenant, je me sens las en permanence, malgré de bonnes nuits de sommeil et une prise réguliére de vitamine. L'envie d'entraînement est toujours là, voir même de plus en plus présent, les performences augmentent, aussi.

Merci pour vos réponses.

vounet a écrit :Comment peut on evaluer, la différence entre un surentraînement et un fatigue intense, qui serait, toutefois normale, avec une augmentation des fréquences d'entraînement?

J'ai légerement augmenté ma fréquence d'entraînement, ainsi que son intensité, et maintenant, je me sens las en permanence, malgré de bonnes nuits de sommeil et une prise réguliére de vitamine. L'envie d'entraînement est toujours là, voir même de plus en plus présent, les performences augmentent, aussi.

Merci pour vos réponses.

Si tu dors bien, que tes perfs s'améliorent et que tu as envie de t'entraîner, a priori, il ne s'agit pas d'un syndrôme de surentraînement à proprement parlé. Mais le simple fait que tu t'inquiètes de cela montre que tu as du tiré dessus récemment donc 3 jours de repos (+ visite d'un médecin du sport si la lassitude ne passe pas). Sinon fais une recherche sur le forum car le sujet a déjà été évoqué.

A bientôt

Nick

Pense à autre chose pendant qqes jours, bois de bières, et arrête de te poser des questions, tu verras ça ira mieux.

vounet a écrit :Comment peut on evaluer, la différence entre un surentraînement et un fatigue intense, qui serait, toutefois normale, avec une augmentation des fréquences d'entraînement?

J'ai légerement augmenté ma fréquence d'entraînement, ainsi que son intensité, et maintenant, je me sens las en permanence, malgré de bonnes nuits de sommeil et une prise réguliére de vitamine. L'envie d'entraînement est toujours là, voir même de plus en plus présent, les performences augmentent, aussi.

Merci pour vos réponses.

prends ton pouls au réveil. S'il est plus haut que d'habitude, reposes toi...

vounet a écrit : je me sens las en permanence,
L'envie d'entraînement est toujours là, voir même de plus en plus présent,

C'est paradoxale, ces deux phénomènes. Pas las, entends-tu fatigué par manque de sommeil ?

vounet a écrit : les performences augmentent, aussi.

Le surentraînement est toujours associé à la baisse des performances...

Par las, j'entend, sentir une fatigue généralisée, avoir l'impression d'être à côté de ses pompes, avoir envie de ne rien faire.
Et pourtant dés que j'attaque un entraînement, je sens mes performances augmentées, le chrono confirme cela!

vounet a écrit :Par las, j'entend, sentir une fatigue généralisée, avoir l'impression d'être à côté de ses pompes, avoir envie de ne rien faire.
Et pourtant dés que j'attaque un entraînement, je sens mes performances augmentées, le chrono confirme cela!

un conseil lève le pied. Je pense que tu arrives à la "Dead Line" . Si tu as augmenté tes charges , laisse ton corps assimilé même si tes perf augmentent aussi. Ne franchit pas la limite....

Je viens de la franchir et je sens bien que j'en ai pour un sacré bout de temps à revenir à un état de forme acceptable .... et là tu te rends compte que c n'est pas agréable du tout ..

Pour alimenter le sujet, j'ai moi même constaté d'étranges phénomènes sur mon corps et mes perfs :

après un enchainement de 3 scéances de nat (une par jours) très dures ou j'était à la rue total (1h45-2hh/5000m) arrivé à la quatrième je me suis sentit des ailes ! (ou plutot des nageoires) et j'ai explosé mes temps en série. Pourtant compte tenu de la fatigue qui s'accroit et du rapprochement des scéances entre elles j'aurais du m'enfoncer de plus en plus dans la spirale de la fatigue.

Comment expliquer que j'ai réussi a récupérer (voir surcompenser même) alors que je m'entrainais avec la même charge... Je n'ai plus les scéances en tête mais ça m'est arrivé fréquemment dans les deux autres sports.

Cela vous est-il arrivé de vous sentir super-bien alors que vous aviez fait une scéance de furie le jour juste avant ?

Ca va à l'encontre de ce que j'ai pu entendre et lire sur la récupération !

Je confirme ce que tu viens de dire, ce midi j'ai fait une séance de h en natation, alors que j'ai l'impression d'être en baisse de forme.
Oh miracle je viens de passer sous le seuil des 25 coup de bras, alors que depuis quelques jours j'ai ouvert un post car je plafonnais à 28.

De plus j'améliore sensiblement mes temps de passage et la forme revient ! Alors là je n'y comprend plus rien.

Je suis fatigué => Je m'entraîne encore plus et la forme revient...

Pourtant, je viens du haut niveau dans un autre sport et je peux confirmer que si tu es en état de fatigue, tu ne peux plus rien faire ! J'ai fini à l'hopital lors d'une manche de coupe d'europe de ski de rando ! Pour surmenage!

Voici ma petite théorie (a partir de mon exemple) sur la question. Peut être que la fatigue est seulement musculaire (courbatures), ce qui fait qu'une fois les muscles habitués à la "difficultée" tel que nager 2h/jours alors le corps peut exprimer toute sa puissance.

C'est vraiment très shématique lol...


Dans le cas à ça m'est arrivé j'ai retrouvé les trois scéances assez intenses dont je crois me souvenir (aïe):

1) beaucoup de 4N (12*50pap en gran bac, idem en dos et br)
2) travail allure 2 basse sur pleins de 50m (3*20*50 + recup sur 300m)
3) 8*400m pb depart 7'30 (3nc et 1 en 4n)

...et là miracle de miracle après un régime pareil je réussissais à tenir des temps allucinant (10*100m en 1'15 depart 1'25 en grand bac ce qui pour moi correspondait à quelque chose de pas mal du tout).