jcb a écrit :6 500 kil à partir du 1er Janvier jusqu'au 31/07 , bien dosés avec des cols des Alpes dans lesquelles je vis. Je rejoins un peu Lopapy, beaucoup de kil sont nécessaires pour la confiance, mais pas indispensables à la progression. Idem en CAP.
A partir d'un certain volume d'entrainement le corps atteint le maxi de ses capacités ; et à mon avis, à moins d'être un pro et d'avoir un planning de courses adapté,ce niveau peut-être atteint bien en-deça de 20h d'entrainement par semaine. Mais ce n'est que mon avis !!!
Je rejoins lopapy et jcb, perso j'ai fait embrun l'an dernier avec mes plus grosses semaines à 15-16 h (pour le vélo quasi 6000). Après, la majorité des semaines ont tourné autour de 12 h.
Le kilométrage vélo n'est pas la seule variable, il faut aussi regarder la qualité des séances. 6000 kms de pur foncier ou 6000 kms avec par exemple 20% du volume constitué de séances PMA, seuil, ce n'est pas la même chose.
Et surtout, un volume horaire d'entrainement qui permettent de concilier boulot, vie de famille.
Enfin, Embrun ce n'est pas que le vélo, il y a aussi le marathon derrière. Ce qui compte c'est d'arriver à peu près frais ou le moins cramé possible à T2, pour faire un marathon propre derrière.Entre faire 6h45 en arrivant carbonisé à T2 et ne pas pouvoir courir derrière, et faire 7h30 avec un bon marathon, perso je choisis le deuxième scénario.
Je rejoins également lopapy parfois le corps est surprenant. En 2009, je ne faisais pas encore de tri, après une prépa marathon constituée que de course à pied, et le marathon de marseille en avril. J'ai repris le vélo fin avril, et sur un coup de tête me suis inscrit à la marmotte, en me disant que de toute façon il y a les bus balais. Résultat, parcours bouclé en 10h30 avec 2.500 kms de vélo comme prépa (je sais également un NVM), mais en me faisant plaisir sur tout le parcours, et en attendant un ami dans la Maurienne qui avait un coup de moins bien (du coup j'ai lâché un bon groupe). L'année précédente, je n'avais pas passé la barrière horaire à Bourg d'Oisans alors que j'avais près de 5000 kms dans les jambes.
Je pense que la clé d'une bonne prépa, c'est d'arriver le jour J à se faire plaisir et à performer par rapport à sa prépa!