Sport et politique

Des infos pas des ragots!
Avatar de l’utilisateur
enclume
Messages : 644
Inscription : 02 sept. 2004 17:35
Localisation : Courbevoie
Contact :

Re: Sport et politique

Message non lu par enclume »

phohuu a écrit :Puerta avait écopé de 8 ans de suspension (peine réduite à 2 ans) pour un contrôle positif à un stimulant. OK. il avait triché et il est justement puni. Par contre, je trouve que les peines infligées sont très sévères. Prendre 8 ans de suspension quand on a 27 ans, c'est une mise à la retraite d'office.


PHH
Qd on recidivise, c'est normal de prendre plus cher....et oui ce n'est pas son coup d'essai! :evil:
Donc 8 ans, ce n'est pas assez pour moi...
ça tombe bien, mon frère est gendarme...
Plus tu cogites, moins tu t'agites...
MON SITE EST ICI
Avatar de l’utilisateur
alecbrac
Messages : 1760
Inscription : 14 janv. 2005 16:37
Localisation : Paris

Message non lu par alecbrac »

Boulegan a écrit :MarcoTRi, Alecbrac :oops: je peux venir discuter avec vous ?..
sans problème ! :wink:
Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou.
Avatar de l’utilisateur
superyoyo
Messages : 1334
Inscription : 22 juil. 2005 12:39
Localisation : toulon
Contact :

Message non lu par superyoyo »

MarcoTri a écrit :Car globalement le cycliste amateur aime le tour, s'identifie à LA, nous dit "oui, mais c'est quand même un grand champion et tout et tout, vous vous rendez compte il repère toutes les étapes, il ne crève jamais, il fait des tests en soufflerie"
oui, il repère tout, même les clous sur la route, quelle minutie, il mérite vraiment ses victoires :lol: :lol: :lol:

Sinon, pour en revenir au sujet, la défense d'Alain J. c'était "il n'y a pas eu d'enrichissement personnel" alors que les cyclistes, en trichant, ils gagnent des sous.
Ceci dit, je suis d'accord avec phohuu: les sanctions ne semblent pas équitables.
Avatar de l’utilisateur
Boulegan
Messages : 12672
Inscription : 10 févr. 2005 11:11
Localisation : Sud

Message non lu par Boulegan »

Il ne reste plus que quelques éducateurs, qqs entraîneurs et dirigeants, qqs sportifs aussi pour croire que le sport est une activité épanouissante, qui rend l'individu meilleur en raison des vertus "poussiéreuses" que le sport d'une manière générale est censé véhiculer. On croit trop souvent - moi le premier - que le sport est le dernier sancutaire des valeurs humaines : respect de l'individu, de l'adversaire, de soi, des règles, vertus d'égalité, d'équité, de fraternité...
Mais en dénouant le bandeau que l'on porte sur les yeux, on constate que le sport n'échappe pas aux lois universelles du fantasme, du moi, du mensonge, de la corruption, en gros, des dérives liées pour l'essentiel à l'argent.
Demeurent quelques puristes, des esthètes, chantres du beau geste, du fair-play, mais avouons qu'ils ne sont pas légions. Il est amusant de constater là encore, combien ce sont eux que les médias, que nos parents, nous montre en exemple, en modèle, détenteurs universels du coffre des vertus, gardiens du temple, des règles, comme si nous tous, avions déjà pris conscience de la rareté de tels sportifs, de tels champions, de phénomènes en somme.

Et d'admettre, finalement, que le sport n'est pas ce qu'il croit être, ce qu'il n'aurait jamais cessé d'être. Cette réflexion, c'est l'aveu de reconsidérer le sport comme aucune signification, aucun autre message qu'un spectacle et rien d'autre qu'un spectacle.
Le Tour de France ? Spectacle...
Le sumo ? Spectacle...
Le football ? Spectacle aussi, opium du peuple qui idôlatre, vénère puis brûle ses icones, entretient les séculaires querelles de clochers, les complexes d'infériorité... l'occasion est trop belle de se valoriser à travers une équipe, à travers un tiers. N'est-ce pas là aussi la même névrose qui conduisent certains parents à "encourager" leur enfant dans une pratique sportive démesurée, inadaptée et par définition, dangereuse ?

Ce qu'il y a de drôle également, c'est que les aficionados de telle ou telle discipline aiment se faire les procureurs, les pourfendeurs des excès des autres, comme si, eux-mêmes, étaient hors-jeu, ni acteur ni spectateur des Jeux du cirque. Logique déni. On le voit notamment durant le Tour de France où chacun s'offusque - à juste titre - des pratiques douteuses et quasi généralisées de dopage dans le cyclisme professionnel, en omettant simplement de penser que par leurs actions positive et/ou négative, encouragements et/ou critiques, ils ne font qu'alimenter le système.
Ce n'est parfois plus de l'alimentation, mais une boulimie... Boulimie d'images, d'argent, de paroles, de scandales (dopage, corruption) qui ne font qu'a-li-ment-ter et nourrir le système.

A mon sens, il n'y a pas d'activité sportive plus ou moins respectacle l'une que l'autre, dès lors qu'elle est sujette aux convoitises, tributaire et souvent esclave de l'image et de l'argent. Le football est-il plus respectable que le rugby ? Le triathlon plus respectable que l'alpinisme ? Le judo plus respectacle que l'Ultimate Fighting ? La F1 plus respectable que le badminton ? C'est exactement la même chose...
Tous les pratiquants sont plus ou moins responsables, à la recherche du moi, sur surmoi, de sensations, d'exploits, de gloire, d'argent parfois, et chacun met sa vie en danger à un moment ou à un autre.

Et c'est cette mort en sursis, cette mise à mort, qui est si jouissive, si populaire, si universelle.

La politique paraît démunie fasse à cette force. Elle ne peut donc qu'être son allié, de circonstances. La politique se joue et joue avec le sport, à coup de subventions, de poignées de mains, de trophées usurpés, de lettres de félicitations quant un athlète brille au nom de la grande Nation. Et puis je ne vois aucun raison objective d'imaginer que la politique - immense cirque s'il en est - se couperait du seul lien superficiel qui le rattache, voire l'accouple, avec le peuple. Il y a finalement tellement de similitudes entre l'un et l'autre...

L'hypocrisie atteint son paroxysme lorsque les politiques s'insurgent des cas de dopage, ici et là, comme s'ils étaient des modèles de vertus, des exemples. C'est un peu la même chose quand un ministre de l'Intérieur vient faire la morale à des jeunes de banlieue... Crédibilité sensiblement égale à zéro.

C'est ainsi, comme l'écrivait justement Phohuu, qu'on balance en pâture quelques proies, quelques cadavres, pour l'exemple, pour que le peuple se fasse les dents (c'est le second acte du spectacle), pour que le peuple croit qu'il a un quelconque pouvoir de vie ou de mort sur autrui.
La boucle est bouclée...

Que faire ? :roll: :wink:
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Avatar de l’utilisateur
alecbrac
Messages : 1760
Inscription : 14 janv. 2005 16:37
Localisation : Paris

Message non lu par alecbrac »

Boulegan a écrit :Il ne reste plus que quelques éducateurs, qqs entraîneurs et dirigeants, qqs sportifs aussi pour croire que le sport est une activité épanouissante, qui rend l'individu meilleur en raison des vertus "poussiéreuses" que le sport d'une manière générale est censé véhiculer. On croit trop souvent - moi le premier - que le sport est le dernier sancutaire des valeurs humaines : respect de l'individu, de l'adversaire, de soi, des règles, vertus d'égalité, d'équité, de fraternité...
Mais en dénouant le bandeau que l'on porte sur les yeux, on constate que le sport n'échappe pas aux lois universelles du fantasme, du moi, du mensonge, de la corruption, en gros, des dérives liées pour l'essentiel à l'argent.
Demeurent quelques puristes, des esthètes, chantres du beau geste, du fair-play, mais avouons qu'ils ne sont pas légions. Il est amusant de constater là encore, combien ce sont eux que les médias, que nos parents, nous montre en exemple, en modèle, détenteurs universels du coffre des vertus, gardiens du temple, des règles, comme si nous tous, avions déjà pris conscience de la rareté de tels sportifs, de tels champions, de phénomènes en somme.

Et d'admettre, finalement, que le sport n'est pas ce qu'il croit être, ce qu'il n'aurait jamais cessé d'être. Cette réflexion, c'est l'aveu de reconsidérer le sport comme aucune signification, aucun autre message qu'un spectacle et rien d'autre qu'un spectacle.
Le Tour de France ? Spectacle...
Le sumo ? Spectacle...
Le football ? Spectacle aussi, opium du peuple qui idôlatre, vénère puis brûle ses icones, entretient les séculaires querelles de clochers, les complexes d'infériorité... l'occasion est trop belle de se valoriser à travers une équipe, à travers un tiers. N'est-ce pas là aussi la même névrose qui conduisent certains parents à "encourager" leur enfant dans une pratique sportive démesurée, inadaptée et par définition, dangereuse ?

Ce qu'il y a de drôle également, c'est que les aficionados de telle ou telle discipline aiment se faire les procureurs, les pourfendeurs des excès des autres, comme si, eux-mêmes, étaient hors-jeu, ni acteur ni spectateur des Jeux du cirque. Logique déni. On le voit notamment durant le Tour de France où chacun s'offusque - à juste titre - des pratiques douteuses et quasi généralisées de dopage dans le cyclisme professionnel, en omettant simplement de penser que par leurs actions positive et/ou négative, encouragements et/ou critiques, ils ne font qu'alimenter le système.
Ce n'est parfois plus de l'alimentation, mais une boulimie... Boulimie d'images, d'argent, de paroles, de scandales (dopage, corruption) qui ne font qu'a-li-ment-ter et nourrir le système.

A mon sens, il n'y a pas d'activité sportive plus ou moins respectacle l'une que l'autre, dès lors qu'elle est sujette aux convoitises, tributaire et souvent esclave de l'image et de l'argent. Le football est-il plus respectable que le rugby ? Le triathlon plus respectable que l'alpinisme ? Le judo plus respectacle que l'Ultimate Fighting ? La F1 plus respectable que le badminton ? C'est exactement la même chose...
Tous les pratiquants sont plus ou moins responsables, à la recherche du moi, sur surmoi, de sensations, d'exploits, de gloire, d'argent parfois, et chacun met sa vie en danger à un moment ou à un autre.

Et c'est cette mort en sursis, cette mise à mort, qui est si jouissive, si populaire, si universelle.

La politique paraît démunie fasse à cette force. Elle ne peut donc qu'être son allié, de circonstances. La politique se joue et joue avec le sport, à coup de subventions, de poignées de mains, de trophées usurpés, de lettres de félicitations quant un athlète brille au nom de la grande Nation. Et puis je ne vois aucun raison objective d'imaginer que la politique - immense cirque s'il en est - se couperait du seul lien superficiel qui le rattache, voire l'accouple, avec le peuple. Il y a finalement tellement de similitudes entre l'un et l'autre...

L'hypocrisie atteint son paroxysme lorsque les politiques s'insurgent des cas de dopage, ici et là, comme s'ils étaient des modèles de vertus, des exemples. C'est un peu la même chose quand un ministre de l'Intérieur vient faire la morale à des jeunes de banlieue... Crédibilité sensiblement égale à zéro.

C'est ainsi, comme l'écrivait justement Phohuu, qu'on balance en pâture quelques proies, quelques cadavres, pour l'exemple, pour que le peuple se fasse les dents (c'est le second acte du spectacle), pour que le peuple croit qu'il a un quelconque pouvoir de vie ou de mort sur autrui.
La boucle est bouclée...

Que faire ? :roll: :wink:
Je fais partie des quelques sportifs qui croient que le sport est une activité épanouissante, qui rend l'individu meilleur. J'essaye d'inculquer cette idée à mes enfants. Le jour où perdrais cet espoir, j'arrêterai le sport...
Que faire ? continuer à y croire ! :wink:
Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou.
rswrc
Messages : 4075
Inscription : 23 sept. 2005 07:08
Localisation : SLV06

Message non lu par rswrc »

encore une bonne leçon de démago de mon ami boulegan :D
Avatar de l’utilisateur
abdo_kassou
Messages : 2446
Inscription : 27 juil. 2006 16:16
Localisation : le sud, les montagnes...

Message non lu par abdo_kassou »

[quote="alecbrac"][quote="Boulegan"]Il ne reste plus que quelques éducateurs, qqs entraîneurs et dirigeants, qqs sportifs aussi pour croire que le sport est une activité épanouissante.

Et d'admettre, finalement, que le sport n'est pas ce qu'il croit être, ce qu'il n'aurait jamais cessé d'être. Cette réflexion, c'est l'aveu de reconsidérer le sport comme aucune signification, aucun autre message qu'un spectacle et rien d'autre qu'un spectacle.


...,ouahou, nous sommes au coeur de notre raison de vivre! Merci de me donner du baume au coeur, car ces intérrogations là, elles me minent aussi...
Et si le sport était le dernier sanctuaire, avec les activités artistiques et l'humanitaire, d'une société humaine et écologique? A savoir, pêle mêle, le don de soi, l'entre aide, la rigueur et l'abnégation, le respect du corps, le contact et la reconnaissance des autres,...etc ?
Et ce champs, les activités sportives, est source de conflit entre les "humanitaires" et les "omc" : ceux ci actuellement imposent leurs points de vue (libre échange, culture de la performance à tout prix, valeur unique et comme étalon métre de la réussite:l'argent, plus enfermement dans le superflu, conditionnement médiatique). Et la lutte contre le dopage, un révelateur de cette lutte, avec d'un côté la vision américaine (liberté absolu, avec même communication sur le type de préparation, loi du plus fort et du plus offrant) et de l'autre, notre monde (la liberté de choisir notre allure)?
Je sais, le sport a longtemps était vu comme un modéle réduit du libéralisme: mais finalement, il résiste et a rejeté ses valeurs extrémes et dégradantes. Alors, cette lutte au couteau entre le sport compétitif et le sport spectacle (dont le sport populaire vaste merchandising pour écouler les produits dérivés)?
Je sais, je suis un peu brouillon, excusez moi, mais j'essaie de voir dans mon action de sportif et d'éducateur, une petite contribution à un monde meilleur.
Atteindre son but... Est-il dans la vie pire désenchantement ?
Avatar de l’utilisateur
MarcoTri
Messages : 1573
Inscription : 05 août 2004 12:21
Localisation : Paris
Contact :

Message non lu par MarcoTri »

"Miroir magique, dis moi si je suis toujours la plus belle" dit la société en se regardant faire du sport....

Oui le sport est un truc spécial, qui déchaînera toujours les passions, qui dévoilera toujours notre vision du monde et de la vie en société... Qui servira toujours de laboratoire pour l'éducation, pour théoriser nos modes de relation...

C'est pour ça qu'il faut pas lacher la patate. Qu'il faut pas le laisser diriger par d'autres que par nous mêmes.

MaRcO
Avatar de l’utilisateur
Boulegan
Messages : 12672
Inscription : 10 févr. 2005 11:11
Localisation : Sud

Message non lu par Boulegan »

abdo_kassou a écrit : car ces interrogations là, elles me minent aussi...
C'est un peu mon cas... :oops:
Il y a une telle dichotomie entre ce que nous (éducateurs) sommes censés enseigner, apprendre, éduquer aux plus jeunes d'une part, et la réalité d'un monde sans vergogne, sans foi ni loi sinon la raison du plus fort d'autre part que... parfois, j'ai envie de dire aux gamins : écoutez, mon prêchi-prêcha, c'est de la m.. en barre, parce que le jour où vous allez découvrir le monde, vous vous direz, Boulegan, il nous a raconté des flûtes... :roll: D'un autre côté, si je ne joue pas mon rôle d'adulte référent qui rabâche certaines valeurs, certaines règles de vie en commun (respect, fraternité, égalité par ex.), je n'ai plus aucun rôle dans la société, sinon consommer et aboyer avec les meutes.
Quand j'encadre des cours d'alphabétisation dans des quartiers défavorisés ou chez des alcooliques et/ou taulards en fin de peine (par pure démagogie, cela va de soi :wink: :roll: ), je ne me pose pas autant de questions parce que, la plupart du temps, nous travaillons sur la base de journaux, de magazines... tous bords confondus. Là, parfois, on touche la réalité et puis chez certains, je n'ai pas besoin de leur conter Florette, la vraie vie, la galère, la détresse, la taule, la drogue, l'abandon, la maladie, ils connaissent.
Chez ce public, justement, ce qui fait défaut, ce qui manque, ce qu'ils recherchent, ce sont des jalons, des bases, un socle, des règles. Que personne ne leur a enseignées. Voyez le résultat...
Lorsque j'encadrais des jeunes (juniors) en cyclisme, le rappel aux règles était continuel. Le but : les persuader qu'avec du travail, qu'avec de la volonté (mais ça, ils l'avaient, sinon, que faisaient-ils dans le sport), de la réflexion, parfois de l'intelligence, on pouvait obtenir des résultats de haut-niveau, battre parfois ceux qui se dopaient, qu'on cotoyait chaque week-end. Et finalement, sur le long terme, être plus fort. Cet apprentissage là était - à mon goût - plus important que le résultat en lui-même, que les courses gagnées. C'était l'apprentissage de la patience, de la raison, à la découverte de soi. Il fallait les dissuader d'emprunter des raccourcis, de mentir et finalement, se décevoir. Et dans le sport et soi-même. Nous n'avons pas toujours réussi mais ce que nous avons fait avec ces jeunes, nous ne nous le reprocherons jamais.
Alors oui, Alecbrac, il faut continuer... :wink:
Oui MarcoTri, le sport est miroir face auquel on se trouve bien beau... mais moi, ce que je vois dans le miroir, c'est que le sport est en train de crever à petit feu du dopage de n'être devenu qu'un spectacle, cercle vertueux pour certains, cercle vicieux pour d'autres. :arrow:
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
ironchris
Messages : 4847
Inscription : 20 janv. 2004 10:01

Message non lu par ironchris »

Je fais du sport depuis très longtemps. De la compétition de temps en temps, dans divers sports, d'autres, sans compétition.
Personnelement, le dopage ne me concerne pas, directement et indirectement, je m'en fout complètement, vu que je pratique pour moi. La compétition me permet de me situer, mais je fais abstration aux éventuels mecs qui tricheraient, sinon, je serai systhématiquement déçu!! C'est pas le cas. J'ai plus les boules envers les drafteurs...la triche que l'on voit.
Là où il y a compétition, il y a triche, et il y aura toujours, c'est mon avis. le Tour propre... :D pure utopie!
Je prend beaucoup de plaisir à nager, à faire du vélo, à courir, même sans compét...Dopage ou pas...la passion, je l'ai, je continuerai même si il y a des connards dans le sport! Et le jour ou cela me prendra trop la tête, j'arrêterai la compétition tout simplement, mais la passion restera! Une pratique différente, c'est tout.
Répondre