Pas de divorce sans rumeur. Selon un proche interrogé par le «National Enquirer», Eva Longoria aurait flirté avec le champion cycliste Lance Armstrong pendant leur mariage.
Yannick Vely - Parismatch.com
Faut-il croire les allégations d’une source bien sûr anonyme au «National Enquirier», journal people très connu et lu aux Etats-Unis et réputé pour mettre mal les idylles hollywoodiennes. On se souvient que ce tabloïd avait provoqué le tremblement de terre dans la vie si policée de Tiger Woods en évoquant sa relation adultérine avec Rachel Uchitel. Ici, ce n’est pas la vie d’un golfeur qui est concerné, mais celle de l’épouse d’un basketteur français.
Le couple est en instance de divorce et jusqu’ici la victime était Eva, TP étant le goujat infidèle de service, qui avait trompé sa magnifique femme avec la femme – divorcée depuis de l’un de ses anciens coéquipiers, Erin Barry. Depuis, celle par qui le scandale est arrivé bien malgré elle, a démenti ses allégations. «Je n’ai pas eu de liaison avec Tony Parker», a-t-elle affirmé en lettres capitales et surlignées sur son blog. «Je ne l’ai pas non plus "harcelé", assure la jeune femme.
Malheureusement, mon divorce intervenant en même temps que leur séparation, les rumeurs d'une relation entre Tony et moi ont vite circulées. Mon amitié avec lui n'a rien à avoir avec la fin de mon mariage –qui est déjà assez compliqué. Toute cette histoire est complètement stupide, ridicule et fausse.» L’information serait-elle partie du clan Longoria que cela ne surprendrait personne tant l’héroïne de «Desperate Housewives» semble prête à tout pour effacer – au sens propre – le basketteur de sa vie. Elle a ainsi demandé aux producteurs de la série de retirer le nom du basketteur du générique de la série et a fait effacer les tatouages passionnels qu’elle affichait à fleur de peau.
Lance Armstrong, bourreau des coeurs
Et si début décembre, Eva Longoria et Tony Parker déjeunaient ensemble comme si de rien n’était dans un restaurant de Los Angeles, la hache de guerre semble bel et bien déterrée. « Tony a déclaré à ses amis qu'elle n'avait pas été une sainte pendant le mariage», indique une source non identifiée au «National Enquirer». «Tony soupçonnait, quand ils étaient ensemble, qu’Eva le trompait avec Lance Armstrong». Le célèbre champion de cyclisme, vainqueur à sept reprises du Tour de France, est un sacré tombeur. Divorcé de Kristin Richards avec qui il avait eu trois enfants, il a été fiancé avec la chanteuse Sheryl Crow de 2004 à 2006 et est depuis en couple avec Anna Hansen. Ils ont eu deux enfants.
Le divorce sera bel et bien une bataille qu’elle compte bien gagner, même si TP, en grand compétiteur qu’il est sur les parquets, semble bien décidé à ne pas lui payer de pension alimentaire. Selon RadarOnline.com, si les deux anciens amants se parlent encore, le ton est beaucoup moins cordial depuis qu’Eva a révélé au monde entier – par des proches – que le Français l’avaient trompé avec l’épouse d’un ancien coéquipier, la désormais célèbre Erin Barry.
«Tony a été surpris de constater que Eva avait joint une demande de pension alimentaire à son dépôt de divorce. Il a demandé le divorce au Texas afin de protéger ses droits. Il ne veut pas de lui verser une pension alimentaire et ne veut pas avoir cette obligation», a expliqué une source au site people. Tony Parker et Eva Longoria ont signé un contrat de mariage régi par de la loi du Texas et la fortune de TP dépasse de loin celle de son ex-épouse depuis qu’il a signé un nouveau contrat très lucratif l’été dernier. Si la tromperie était prouvée, le meneur de jeu pourrait bien perdre quelques plumes, mais ce sont désormais à leurs avocats respectifs de prendre la balle au rebond. Point final
Je respecte bien évidement chacun des top 10 de chaque courses de tri, de cyclisme, CAP, etc, (peu importe le niveau : JO, TDF, EM, IM, CM, etc) ainsi que la manière de s'exprimer de chaque forumeur ici sur le forum d'Onlinetri. 
= déception 
, ce qui permettra ainsi de faciliter la collaboration judiciaire entre les autorités américaines et européennes, a indiqué un officier de l'organisation. Une délégation américaine, avec à sa tête les procureurs Jeff Novitzky de la Food and drug administration et Doug Miller, s'est rendue au siège d'Interpol à Lyon la semaine passée pour voir quels éléments de preuves pourraient être ajoutés au dossier.
