bonjour à tous
comme beaucoup j'ai pris connaissance dans triathlète du plan proposé pour le cd par p.dreano.
que pensez vous des pourcentages de fc proposés ? il me paraissent très bas.
ex: all2 basse à 75% . je pensais que l'all2 basse allait jusqu'au seuil anaérobie ou juste en dessous, soit 82% environ
plan patrick dreano pour cd
Exactement ça! Pas un entraîneur parle de la même chose. J'en connaîs qui bosse avec 4 zonnes, d'autres avec 8. Je vous dis pas pour qu'un nageur capte quelque chose! Certains entraîneurs comprennent pas eux même, j'ai pu m'en rendre compte lors de rencontre avec certains dont un pourtant qui a des résultats!!
Moi, j'utilise deux allures: marche et arrêt!
Pas d'erreur possible.
Moi, j'utilise deux allures: marche et arrêt!
Pas d'erreur possible.
Cette année, pour expérience personnelle, je m'entraîne sans cardio, sans compteur sur le vélo, une montre pour voir l'heure! Pas de test de terrain, rien!
Tout juste quelques notes sur mon cahier 'entraînement. Je ne me pèse plus, taux de grassouille...que dalle. Tout dans la tête.
Je travaille aux sensations et cela me réussi pas mal. J'en fais beaucoup moins pour quasi les mêmes résultats! Certes, je connaîs mes temps de passage pour être dans le coup sur une compét, mes coups de bras pour nager "honnêtement"...sur une distance et allure donnée...Je me connaîs et sais ce qu'il me faut faire au niveau de mes entraînements. je ne veux plus me faire chier avec des théories auquelles j'ai adhéré pendant longtemps, mais dont j'ai des doutes. Les sensations me semblent bien plus importantes. Notre organisme est la meilleur machine qu'il y a sur terre. Il faut l'écouter! Il faut apprendre à l'écouter et à interpréter ses signes! Là, il n'existe rien sur le sujet, ou si peu, dans les manuels.
Aucun instrument, entraîneur, physiologiste peut agir(si peu) ou mieux, contrôler le plaisir, la motivation, sourcesde progrès...
Tout juste quelques notes sur mon cahier 'entraînement. Je ne me pèse plus, taux de grassouille...que dalle. Tout dans la tête.
Je travaille aux sensations et cela me réussi pas mal. J'en fais beaucoup moins pour quasi les mêmes résultats! Certes, je connaîs mes temps de passage pour être dans le coup sur une compét, mes coups de bras pour nager "honnêtement"...sur une distance et allure donnée...Je me connaîs et sais ce qu'il me faut faire au niveau de mes entraînements. je ne veux plus me faire chier avec des théories auquelles j'ai adhéré pendant longtemps, mais dont j'ai des doutes. Les sensations me semblent bien plus importantes. Notre organisme est la meilleur machine qu'il y a sur terre. Il faut l'écouter! Il faut apprendre à l'écouter et à interpréter ses signes! Là, il n'existe rien sur le sujet, ou si peu, dans les manuels.
Aucun instrument, entraîneur, physiologiste peut agir(si peu) ou mieux, contrôler le plaisir, la motivation, sourcesde progrès...
Tout pareil pour moi. Et pourtant, à l'époque où je travaillais à Jogging International, je m'occupais des dossiers d'entraînement. C'est pour dire...ironchris a écrit :Je me connaîs et sais ce qu'il me faut faire au niveau de mes entraînements. je ne veux plus me faire chier avec des théories auquelles j'ai adhéré pendant longtemps, mais dont j'ai des doutes. Les sensations me semblent bien plus importantes. Notre organisme est la meilleur machine qu'il y a sur terre. Il faut l'écouter! Il faut apprendre à l'écouter et à interpréter ses signes!
Les sensations, il n'y a que ça de vrai !! (bon ok, à condition de bien se connaître quand même)
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bogome of 08
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- Localisation : au vieux moulins de Thilay
C'est clair car avec les sensations , on peut trés vite se gramer 
J'en ai fais la triste expérience...
J'en ai fais la triste expérience...
c'est un mec qui rentre dans un hôpital psy et il dit :" Y a un monde fou ici!!!"
http://www.charleville-triathlon-ardennes.com
http://www.charleville-triathlon-ardennes.com
Moi je n'ai jamais compris pourquoi en càp on parlait d'allure 2, allure 3 machin etc ... c'est tellement plus simple de parler de % VMA ! Surtout qu'il y a plein de terminologie différentes.
Et pire ! quand on a enfin retenu la signification des allures à pied ... si on va dans un club de natation, ils ont souvent 7 allures différentes ! Moi être perdu ! moi pas tout retenir ! alors moi parler en % de VMA ! comme ça c'est clair.
Et pire ! quand on a enfin retenu la signification des allures à pied ... si on va dans un club de natation, ils ont souvent 7 allures différentes ! Moi être perdu ! moi pas tout retenir ! alors moi parler en % de VMA ! comme ça c'est clair.
Personnelement, j'ai uniformisé la définition de mes allures en 6 zones pour les 3 sports aussi bien pour moi, que pour mes interventions en club de nat et tri. Je donne à chacun toute la doc pour comprendre et les tableaux avec les %age de vma, d'après les tests et le plus important(pour les petits et ceux qui ne comprennent rien à la physio) les allures de nage, de course, les allures spécifiques pour chaque épreuve. En natation on donne aussi le nombre de coups bras pour une allure donnée. Les gens ont les petits tableaux d'allures collés sur les pulls. (distance de nage, vitesse pour chaque allure. Les charges de travail, les temps de récup se font par niveau, par le classement des nageurs par niveau...)Un travail donné identique pour tous est ainsi adapté à chacun...
En cyclisme, par facilité, je ne travaille qu'avec les fréquences cardiaques, les fréquences de pédalage. Le matériel permettant d'utiliser d'autres repères bien plus fiables et efficaces, n'est pas disponible à ce niveau de pratique pour tous! (puissance)
Aujourdhui, au niveau perso, j'ai des séries types qui me vont bien et me plaisent. Je n'ai besoin d'aucun appareil, mis à part une montre pour faire grosso-modo, les fractions de travail. Mais je me refuse d'être hyper précis avec par exemple, de faire pil-poil, 10*30/30...Si j'en fais 12, c'est que cela me plaît, que je suis bien...Idem, si c'est 25", ou 35", pas de pb, le corps n'a pas besoin d'une telle précision. En compétition, on ne choisis pas, et ce n'est encore moins une épreuve de précision! Pour des mecs à très haut niveau, sur du court, en natation, c'est différent. Là oui, les séries, les répétitions, les allures...sont importantes, d'ailleur, on règle un nageur à la seconde près. (gestion d'allure, course...)
Sur le long, pour moi, le secret est dans les sorties longues! Il faut maitriser la fatigue, la diététique, l'économie gestuelle, le stature, le mental...le reste s'apprend qu'avec la pratique sur ce genre d'entraînement: gestion d'allure, amélioration de l'endurance et de la vitesse spécifique. (pour faire simple!)
Je suis persuidé que l'on s'emmerde depuis trop longtemps avec des conneries. D'ailleurs certains entraîneurs de renomés l'ont compris depuis longtemps et rigolent de nous voir faire ainsi!
En travail technique aussi, il y a des choses faites qui me font rire. En natation combien de nageurs de triathlètes font leurs exercices avec des "éducatifs"(je préfère le terme d'exercice technique!) sans se soucier de savoir s'il est adapté à leur problème...Les exercices sont souvent inclus dans l'entraînement de façon systhématique, sans aucun contrôle. Ces exercices doivent être réaliser à la carte, sous l'oeil d'un entraîneur, qui corrige mètre par mètre si neccéssaire! Quand je vois un entraîneur rester en bout de bassin et laisserses nageurs executer des longueurs sur un exercice sans aucun contrôle...j'ai des doutes sur l'efficacité de ce travail! Mieux vaut rien faire, que de mal faire, sinon, c'est, mal "éduquer"!
Pour corriger ensuite les défauts, bonjour la galère!
Bref, tout ça pour dire, que dans l'entraînement, pour être un temps soit peu efficace, il faut réfléchir et essayer de comprendre!! Pourquoi faire comme tout le monde.
Pour finir, un conseil, (efficace? C'est à vous de voir!) je pars de l'objectif à réaliser et j'analyse. Je regarde ce qu'il faut faire, le temps dont je dispose, ce que je sais faire, ce que je ne sais pas faire...! Et au boulot! Simple? Non. c'est normal. C'est là tout l'art de l'entraînement, malheureusement, il n'y a aucun manuel. Donc pour conclure, se démerder!
En cyclisme, par facilité, je ne travaille qu'avec les fréquences cardiaques, les fréquences de pédalage. Le matériel permettant d'utiliser d'autres repères bien plus fiables et efficaces, n'est pas disponible à ce niveau de pratique pour tous! (puissance)
Aujourdhui, au niveau perso, j'ai des séries types qui me vont bien et me plaisent. Je n'ai besoin d'aucun appareil, mis à part une montre pour faire grosso-modo, les fractions de travail. Mais je me refuse d'être hyper précis avec par exemple, de faire pil-poil, 10*30/30...Si j'en fais 12, c'est que cela me plaît, que je suis bien...Idem, si c'est 25", ou 35", pas de pb, le corps n'a pas besoin d'une telle précision. En compétition, on ne choisis pas, et ce n'est encore moins une épreuve de précision! Pour des mecs à très haut niveau, sur du court, en natation, c'est différent. Là oui, les séries, les répétitions, les allures...sont importantes, d'ailleur, on règle un nageur à la seconde près. (gestion d'allure, course...)
Sur le long, pour moi, le secret est dans les sorties longues! Il faut maitriser la fatigue, la diététique, l'économie gestuelle, le stature, le mental...le reste s'apprend qu'avec la pratique sur ce genre d'entraînement: gestion d'allure, amélioration de l'endurance et de la vitesse spécifique. (pour faire simple!)
Je suis persuidé que l'on s'emmerde depuis trop longtemps avec des conneries. D'ailleurs certains entraîneurs de renomés l'ont compris depuis longtemps et rigolent de nous voir faire ainsi!
En travail technique aussi, il y a des choses faites qui me font rire. En natation combien de nageurs de triathlètes font leurs exercices avec des "éducatifs"(je préfère le terme d'exercice technique!) sans se soucier de savoir s'il est adapté à leur problème...Les exercices sont souvent inclus dans l'entraînement de façon systhématique, sans aucun contrôle. Ces exercices doivent être réaliser à la carte, sous l'oeil d'un entraîneur, qui corrige mètre par mètre si neccéssaire! Quand je vois un entraîneur rester en bout de bassin et laisserses nageurs executer des longueurs sur un exercice sans aucun contrôle...j'ai des doutes sur l'efficacité de ce travail! Mieux vaut rien faire, que de mal faire, sinon, c'est, mal "éduquer"!
Pour corriger ensuite les défauts, bonjour la galère!
Bref, tout ça pour dire, que dans l'entraînement, pour être un temps soit peu efficace, il faut réfléchir et essayer de comprendre!! Pourquoi faire comme tout le monde.
Pour finir, un conseil, (efficace? C'est à vous de voir!) je pars de l'objectif à réaliser et j'analyse. Je regarde ce qu'il faut faire, le temps dont je dispose, ce que je sais faire, ce que je ne sais pas faire...! Et au boulot! Simple? Non. c'est normal. C'est là tout l'art de l'entraînement, malheureusement, il n'y a aucun manuel. Donc pour conclure, se démerder!
L'entrainement est qq chose de simple et de compliquer à la fois, suffit de lire ce qui précède plsu haut.
Maintenant, pour les jeunes qui aiment ça, qui aiment la compétition et même pour certains amateurs, les méthodes d'entrainement sont importantes parce qu'elles sont des repères, des marques, des jalons, des limites, des règles à ne pas enfeindre, à respecter.
Elles font partie intégrante du mythe, tant du sport en général que de la dsicipline pratiquée ou encore de l'athlète en personne.
Des méthodes ont été plus ou moins validées, avec, à la clef, des résultats exceptionnels, qu'on attache souvent à l'entraînement et à l'entraîneur. Un mythe là encore.
Mais rien, absolument rien ne dit que ce même athlète, s'il avait suivi un entraînement différent avec un entraîneur différent, aurait eu des résultats moins bons...
Prenez Belaubre : qui nous dit qu'il n'aurait pas gagné sa deuxième coupe du monde s'il était entraîné par G. Millet ou G. Honnorat, ou pas un collègue de son club, sans diplome, sans brevet d'Etat ?
Qui nous dit que Jan Ullrich serait cycliste s'il n'avait rencontré un super entraîneur, en Allemagne de l'Est, il y a vingt ans ?
Beaucoup trop d'entraîneurs, aussi, se focalisent sur le travail proprement dit, sur les séances, la technique, la gestuelle. Importants, je vous l'accorde.
Peu s'arrêtent sur la psychologie de l'athlète, ses capacités à encaisser le volume d'entraînement, la pression, la fatigue, les mauvais résultats, l'absence de résultats, sur la vie privée de l'athlète qui est le socle de sa vie sportive.
J'ai connu un jeune, hyper doué, il suffisait de lui dire : ah, aujourd'hui, j'ai de bonnes jambes... pour qu'il se cache dans les roues et ne bouge plus le nez de la sortie, de peur de ne pas pouvoir suivre.
Un autre qui avait besoin de manger un sandwich à la saucisse sèche avant un cross, un tri ou une course vélo, pour être dans le coup.
Et ça, c'est écrit nulle part dans les manuels !
Certains sont plus mûrs que d'autres, adultes avant l'heure, ou alors toujours des gamins, même à 30 ans. Que faire ? Comment s'adapter ?
Je pense néanmoins qu'il existe un facteur déterminant de la performance, c'est l'intelligence.
Intelligence qui sert tant à s'entraîner, tant à se gérer, tant à courir et gagner.
Je me souviens d'un pote, doué pour le vélo c'est vrai, gagner des courses Elite 2, avec du poil aux jambes, des chausettes qui montaient sous les genoux et un vélo Top Bike (sans rire !!!). Mais le type, tellement fin, tellement intelligent et intéressant dans la vie, que sur son vélo... il faisait ce qu'il voulait et au moment où il le souhaitait. C'était un coureur, il ne fallait pas lui parler de boissons énergétiques, de Polar, de VMA, de % de PMA, de seuil et je ne sais quoi. Tout au feeling, à la motivation, tout dans la tête.
Sa première course vélo : 95 km, arrivée à Auron, station de ski au-dessus de Nice. Il part au coup de pistolet (il croyait que c'était comme une course de chevaux) et gagne avec 3'50" sur un petit peloton qui a chassé derrière lui pendant deux heures... Nous, à l'arrivée, avec nos vélos carbone, nos fréquences cardiaques et notre préparation hivernale, on s'est retrouvé comme des c...
CQFD.
Maintenant, pour les jeunes qui aiment ça, qui aiment la compétition et même pour certains amateurs, les méthodes d'entrainement sont importantes parce qu'elles sont des repères, des marques, des jalons, des limites, des règles à ne pas enfeindre, à respecter.
Elles font partie intégrante du mythe, tant du sport en général que de la dsicipline pratiquée ou encore de l'athlète en personne.
Des méthodes ont été plus ou moins validées, avec, à la clef, des résultats exceptionnels, qu'on attache souvent à l'entraînement et à l'entraîneur. Un mythe là encore.
Mais rien, absolument rien ne dit que ce même athlète, s'il avait suivi un entraînement différent avec un entraîneur différent, aurait eu des résultats moins bons...
Prenez Belaubre : qui nous dit qu'il n'aurait pas gagné sa deuxième coupe du monde s'il était entraîné par G. Millet ou G. Honnorat, ou pas un collègue de son club, sans diplome, sans brevet d'Etat ?
Qui nous dit que Jan Ullrich serait cycliste s'il n'avait rencontré un super entraîneur, en Allemagne de l'Est, il y a vingt ans ?
Beaucoup trop d'entraîneurs, aussi, se focalisent sur le travail proprement dit, sur les séances, la technique, la gestuelle. Importants, je vous l'accorde.
Peu s'arrêtent sur la psychologie de l'athlète, ses capacités à encaisser le volume d'entraînement, la pression, la fatigue, les mauvais résultats, l'absence de résultats, sur la vie privée de l'athlète qui est le socle de sa vie sportive.
J'ai connu un jeune, hyper doué, il suffisait de lui dire : ah, aujourd'hui, j'ai de bonnes jambes... pour qu'il se cache dans les roues et ne bouge plus le nez de la sortie, de peur de ne pas pouvoir suivre.
Un autre qui avait besoin de manger un sandwich à la saucisse sèche avant un cross, un tri ou une course vélo, pour être dans le coup.
Et ça, c'est écrit nulle part dans les manuels !
Certains sont plus mûrs que d'autres, adultes avant l'heure, ou alors toujours des gamins, même à 30 ans. Que faire ? Comment s'adapter ?
Je pense néanmoins qu'il existe un facteur déterminant de la performance, c'est l'intelligence.
Intelligence qui sert tant à s'entraîner, tant à se gérer, tant à courir et gagner.
Je me souviens d'un pote, doué pour le vélo c'est vrai, gagner des courses Elite 2, avec du poil aux jambes, des chausettes qui montaient sous les genoux et un vélo Top Bike (sans rire !!!). Mais le type, tellement fin, tellement intelligent et intéressant dans la vie, que sur son vélo... il faisait ce qu'il voulait et au moment où il le souhaitait. C'était un coureur, il ne fallait pas lui parler de boissons énergétiques, de Polar, de VMA, de % de PMA, de seuil et je ne sais quoi. Tout au feeling, à la motivation, tout dans la tête.
Sa première course vélo : 95 km, arrivée à Auron, station de ski au-dessus de Nice. Il part au coup de pistolet (il croyait que c'était comme une course de chevaux) et gagne avec 3'50" sur un petit peloton qui a chassé derrière lui pendant deux heures... Nous, à l'arrivée, avec nos vélos carbone, nos fréquences cardiaques et notre préparation hivernale, on s'est retrouvé comme des c...
CQFD.
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde