ERIC D

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Silver0l
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Re: ERIC D

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butch a écrit :
FAYARD a écrit :
eric d a écrit :non, j'ai fais 320 watt pendant 1 h a 148 de puls moyenne. et je n'ais fais que 470 watt sur 5 minute et la ca pas ete facile. de toute facon ce qui compte c'est les watt sur 6 h, mon objectif est 320 watt en haut du col et 310 watt a l'arrivé soit 40 w de mieux
T'es pas un peu marseillais sur les bords ??? D'où tu sors un 470 watts ? C'est 370 watts sur 5' et encore tu as lâché l'affaire sur 1' pour repartir donc cela ne compte pas....
Oh l'autre, 470 watts de PMA...pouahhhhh.... :mrgreen: :mrgreen:
Eric ne ment jamais :D

...mais il se trompe parfois, comme tout le monde.
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Re: ERIC D

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Silver0l a écrit :
2) le point que tu soulèves est intéressant, mais comme je l'ai dit dans ma réponse, il me faudrait plusieurs pages pour répondre. Il y est en effet question "des causes et les conséquences de la baisse du pétrole, son influence sur notre économie et notre civilisation, ainsi que sur l'évolution de l'industrie automobile et de la mobilité à travers les âges (voiture à azote incluse)". Or je sais que si je donne un point de vue approfondi et argumenté sur la question, ça va forcément trancher avec les débilités et absurdités échangées jusqu'ici sur le sujet sur ce forum, et tu vas aussitôt voir les Steph77, les newbie, Koko le chancre, les phiphi et autres débouler en masse pour faire un procès en je-sais-toutisme.

Ceci dit, comme le fait justement remarquer FAYARD, on est libre de s'exprimer ou pas, et RAF des inquisiteurs bas du front - je pressens que ce sera même un plaisir de gourmet de les entendre râler. Donc je te promets une réponse argumentée - mais sans m'engager sur un délai, vu qu'il me faudra d'abord trouver 20 minutes de libre pour enfin révéler quelques vérités sur notre avenir énergétique. Peut-être ce WE.
Bon, chose promise chose due, je réponds à ta question:

valvet a écrit :
eric d a écrit :quand on petrolier il on deja ete obligé de divisé le prix du baril par 2 affin de retarder lecheance.
Est-il possible de connaître l'avis de Silver (avocat officiel d’Éric) sur cette affirmation ?


C'est un peu long (et encore, je n'ai pas encore adressé le pb de la mobilité), mais personne n'est obligé de lire. Je sais qu'il y aura encore des procès en je-sais-toutisme, mais le sujet mérite vraiment qu'on s'étende un peu, et le débat est bienvenu.

D'abord, comme d'habitude, Eric a raison: le prix du pétrole a été divisé par 2 à cause des pétroliers.

Mais c'est un peu plus complexe que ça en a l'air. Globalement, je suis d’accord avec Eric, mais j’ai aussi quelques divergences.

Tout d'abord, il faut bien préciser que si les prix ont été divisés par 2, c'est à cause de deux facteurs essentiels:
- le ralentissement du développement économique: stagnation des économies en Europe et ralentissement de la croissance en Asie
- la volonté de l'Arabie Saoudite de casser les reins de ses 2 grands rivaux:
  1. * le rival politique que constitue l'Iran chiite face au royaume sunnite, au Moyen Orient et dans le monde musulman
    * le rival économique que constituent les USA, qui en quelques années sont devenus une très grande puissance dans le domaine des hydrocarbures grâce à l'exploitation du gaz et du pétrole de schistes
A court terme, cette volonté saoudienne de casser les prix du pétrole handicape donc avant tout l'Iran et les USA, mais elle fait au passage de nombreuses victimes collatérales:
  1. la Russie dont les exportations pétrolières se sont effondrées alors même qu'elle souffrait des sanctions occidentales relatives à la situation ukrainienne
  2. les majors occidentales
  3. les énergies renouvelables
  4. le nucléaire
Les majors occidentales

Les compagnies pétrolières occidentales (les majors) se sont progressivement fait nationaliser, ou chasser de tous les grands champs facilement exploitables par les Etats sur lesquels ils se situaient. Aujourd'hui, l'essentiel des réserves est donc possédé et exploité par des compagnies pétrolières nationales (possédées par des Etats): Aramaco, de loin le n°1 mondial, Gazprom, NIOC, Kuwait Petrol Corporation, Pemex... Les 3 plus gros producteurs de pétrole/gaz mondiaux sont Aramco, Gazprom et NIOC, et certainement pas les Shell, Total... auxquels les français pensent quand on parle de compagnie pétrolières.

Les majors (ExxonMobil, Chevron, BP, Shell, Total...) voient leur production régulièrement décliner depuis 7 ou 8 ans - même si cela était auparavant masqué au niveau de leur chiffre d'affaire par la hausse des cours. La production de Total a diminué de 20% en 4 ans. Et le cours de leurs actions suit cette pente.

Certes, les ressources naturelles pétrolières sont quasi-illimitées. Par contre, leur coût d'exploitation est très variable. Plus le prix du pétrole est élevé, plus les réserves économiquement exploitables sont élevées, mais plus il est bas, plus les réserves exploitables sont restreintes. L'Arabie Saoudite a un avantage majeur: ses réserves sont exploitables au coût le plus bas (environ 5-10$ par baril) tandis que le prix du revient du pétrole de schiste ou des plates-formes off-shore profondes est plutôt autour de 60$. A 60$ le baril, les Saoudiens vivent très confortablement tandis que les majors occidentales tirent la langue.

La pertinence des majors dépendait essentiellement de leur capacité technologique à extraire le pétrole sur des gisements complexes (off-shore, régions polaires, grandes profondeurs, pétrole de schiste...). La baisse des cours rend souvent cette exploitation non rentable, et les compagnies sont prises à la gorge. Aujourd'hui elles réduisent drastiquement leurs investissements en exploration-production, et se diversifient massivement dans les énergies renouvelables, dont elles sont devenues les plus fervents supporters et surtout les plus gros financiers : Shell dans l'éolien, le solaire, l'hydrogène, Chevron dans la géothermie, Total dans le solaire (cf. projet Shams).... Ne pas croire qu'elles forment des lobbys pour tuer l'innovation: c'est au contraire vers elles qu'il faut se tourner pour financer des projets innovants dans le domaine des énergies renouvelables. C’est elles qui ont à la fois les moyens et la nécessité de réussir la transition énergétique.

Les énergies renouvelables

Aujourd'hui, les énergies renouvelables sont donc essentiellement portées par les majors pétrolières.

Cependant, la plupart de ces investissements se sont montrés très décevants. Outrageusement avantagé d'un point de vue fiscal, le solaire photovoltaïque a connu une énorme bulle spéculative, qui a fini par exploser quand la réalité technologique et économique a repris le dessus, faisant au passage des victimes collatérales tel que Eric. Quoique l'on dise, il n'y a en 2015 pas de rationalité à investir dans ce type d'énergie. D'autant que cette filière n'est pas du tout la source d'emplois que l'on espérait: en quelques années les fabricants chinois de panneaux solaires à bas prix ont complètement balayé les fabricants européens.

L'exploitation de la biomasse et des bio-carburants a vite montré ses limites, et aujourd'hui les plus fervents opposants des bio-carburants sont les écologistes. Non sans raison: leur compétitivité économique provient essentiellement du fait qu'ils ne sont pas massivement surtaxés comme les carburants traditionnels (les 2/3 du prix de l'essence sont des taxes), ce qui prive l'Etat de ressources fiscales, et la mobilisation de vastes surfaces cultivables pour produire du carburant plutôt que pour nourrir des hommes est pour le moins problématique.

L'éolien présente un profil technique et économique plus intéressant, mais n’est pas sans inconvénient :
- la volatilité de sa production reste très problématique et difficile à gérer
- le raffinage des terres rares nécessaires à sa construction a un fort impact écologique négatif
- à cause des fondations, il faut beaucoup plus de béton et d’acier par MW produit par l'éolien que pour tout autre type de centrale (y compris nucléaire), d’où une empreinte carbone indirecte forte
- et surtout, son impact sur nos paysages est assez désastreux : pour assurer un rendement énergétique minimum, on est obligé de sombrer dans le gigantisme. Les dernières générations d'éoliennes – au-delà de 6MW - font plus de 150m de haut.

Le nucléaire

Je suis assez d'accord avec Eric pour prédire la fin du nucléaire, mais pas forcément pour les mêmes raisons. Objectivement, le nucléaire est l'énergie idéale:
- abondante: l'uranium est abondant, globalement bien distribué sur la planète (provenant de pays stables: Canada, Australie... pas besoin d’envoyer Koko faire la guerre pour sécuriser l'approvisionnement), et surtout, son coût est négligeable (10%) dans le prix de revient du kWh. Ce qui coûte cher dans le nucléaire, c'est la construction de la centrale et son démantèlement (investissement initial et final), mais pas son fonctionnement (combustible, exploitation). Les coûts sont dans la sécurité, l'ingénierie, pas le combustible.
- propre: parmi les plus bas taux d'émission de GES par kWh produit - et le pb des déchets est un faux pb : compte tenu de leur volume extrêmement réduit, leur gestion ne présente pas de problème majeur
- sûre: malgré le déferlement médiatique sur Fukushima, beaucoup moins de morts par kWh que la plupart des autres formes d'énergie, et notamment le charbon, qu'il remplace, et qui tue dans le silence des medias des centaines de mineurs
- riche en emplois non délocalisables et hautement qualifiés

Cependant, le modèle nucléaire est honni du capitalisme: du fait de l'explosion des exigences de sécurité, il exige un investissement initial très important (des milliards), avec un retour sur investissement étalé sur des dizaines d'année. Aucun fond d'investissement ou entreprise privée n'est aujourd'hui prêt à investir pour un retour aussi long.

En vérité, seuls des Etats souverains ont la capacité d'investir sur un aussi long terme.

Pour que le nucléaire puisse s'imposer, il faudrait donc que la Société soit à la fois très étatiste (c'est à dire encline à donner à la puissance publique la responsabilité de l'approvisionnement énergétique du pays) et riche (pour avoir les milliards à investir).

Or toutes les sociétés étatistes socialisantes, telles que feue la RDA, Cuba, la France... sont tombées dans le déclin et la décrépitude économique, face au dynamisme des sociétés purement capitalistes, s'appuyant sur l'initiative privée (typiquement: USA) pour leurs grands projets industriels (en dehors de toute considération politique, la France est objectivement bien plus étatiste que tous ces pays. Avec 57% de son PNB consacré à la dépense publique, elle arrive au 5° rang mondial après la République Démocratique du Congo, le Kiribati, l'Iraq, le Lesotho et le Danemark - ceci du fait aussi bien de la droite que de la gauche, unanimes sur ce point).

Du coup le nucléaire est mort: soit on est dans un pays capitaliste (comme les USA), et l'investissement nucléaire est à beaucoup trop long terme pour intéresser le secteur privé, soit on est dans une économie administrée (comme en France) et l'Etat en faillite n'a plus les moyens d'investir.
Du coup Areva (bel exemple d'économie administrée à la française) est complètement à la ramasse: ils vont prochainement annoncer des pertes record, et leurs investissements massifs dans les énergies renouvelables se sont révélés désastreux, pour les raisons évoquées plus haut (abandon du solaire à concentration, pertes massives dans l'éolien et les bio-énergies...). Bref, ils sont condamnés à disparaître ou se réinventer, raison pour laquelle j'ai conseillé à Eric de travailler avec eux pour son projet: toutes ces entreprises doivent s'auto-cannibaliser si elles ne veulent pas que d'autres le fassent rapidement à leur place.

Seules exceptions et lueur d'espoir pour le nucléaire: la Chine et les monarchies pétrolières, qui ont encore des Etats forts, actifs économiquement, et qui ont les moyens d'investir - mais c'est pas ça qui va résoudre les problèmes énergétiques de notre pays.

Et l'avenir dans tout ça?

L'avenir n'est pas complètement clair, mais je rejoins Eric pour dire que ces prix bas du pétrole ne dureront pas longtemps. Tous les contre-chocs pétroliers (1985, 1997, 2008) ont été suivis d'une remontée durable des cours dans les 2-3 ans qui suivent.

Les formes alternatives d'énergie reviendront donc au goût du jour.

Les premiers bénéficiaires seront les pétroles et gaz de schistes, qui reprendront leur forte expansion, et qui, grâce aux progrès technologiques de la fracturation hydraulique, deviennent de plus en plus économiques à exploiter tout en respectant l'environnement (forages respectant l'intégrité de la nappe phréatique).

Le second bénéficiaire sera hélas le charbon, de loin la source d'énergie la plus néfaste pour l'environnement et la plus dangereuse pour l’homme.

Le solaire est pour l'instant mort, mais l'éolien a un bel avenir, si on accepte la défiguration des paysages.

A plus long terme, la vision d'Eric est tout à fait dans l'air du temps, celui de l'économie de la multitude (au sens de Colin et Verdier).

Même si on a encore du mal à lui trouver un modèle économique robuste, on imagine alors une production complètement décentralisée, un réseau complètement symétrique, ou chaque nœud, chaque citoyen, chaque entreprise, peut être producteur, consommateur ou stockeur d'énergie, en fonction de ses capacités du moment, tant en matière de consommation (chauffage, éclairage, énergie, mobilité...) que de production (éoliennes urbaines, photovoltaïque, biomasse...) ou de stockage (hydrogène, batteries… azote liquide !).

Le tout est relié par un réseau de transport et de distribution extrêmement flexible, intelligent et automatisé, le Smart Grid, dont la régulation et l'optimum économique s'appuie sur un marché fluide, adaptatif et dynamique de l'énergie. En fonction du jour, de l'heure, de l'endroit, de l'offre et de la demande, un prix de marché s'établit qui encourage chacun à stocker, à produire ou à consommer de l'énergie selon sa capacité et ses besoins. Ainsi, la mutualisation des capacités de production à une échelle européenne, leur multiplication infinie et la diversité de leurs modalités permet de gommer l’impact de leur volatilité locale, et d’adapter finement la demande aux conditions économiques et environnementales à l’instant t. Par exemple, quand il y a du vent en Belgique mais pas en France, les ménages belges exportent de l’énergie vers les ménages français, et inversement. Ou encore, quand il n’y a pas de vent dans toute l’Europe, le prix de l’électricité augmente mécaniquement, et les filières industrielles les plus gourmandes en énergie réduisent automatiquement leur production pour diminuer leur prix de revient. Dernier exemple: quand il y a du soleil, mon voisin me revend l'électricité de ses panneaux photovoltaïques pour recharger ma voiture à azote, et quand il y a du vent, je lui revends de l'électricité produite par ma micro-éolienne pour qu'il se chauffe avec sa pompe à chaleur, le tout optimisé et ajusté localement, minimisant ainsi la déperdition énergétique due au transport longue distance.

Ainsi, au milieu d’un paysage énergétique mondial un peu déprimant, Eric, par l'ambition audacieuse de ses inventions, est peut-être le précurseur visionnaire de notre avenir énergétique...
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FAYARD
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Re: ERIC D

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Silver, tu peux pas dire que le nucléaire est sûr !!! Fukushima a rayé de la carte une partie du Japon !!! Si demain la même catastrophe se produit dans une centrale nucléaire sur les bords du Rhône, tu déplaces 2 millions de personnes et tu ruines une des régions les plus dynamiques de France !!!! Quand au stockage des déchets, c'est un casse tête puisqu'ils vont être dangereux pendant des centaines de milliers d'années soit bien plus de temps que l'humanité actuelle !!! Comment transmettre le message à une population d'ici 25 000 ans alors qu'on ne sait même pas comment va évoluer la situation de l'homme sur les 50 prochaines années !!!!
Le nucléaire est dangereux à court terme et à très long terme.
Dernière modification par FAYARD le 10 févr. 2015 18:17, modifié 1 fois.
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Re: ERIC D

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Ainsi, au milieu d’un paysage énergétique mondial un peu déprimant, Eric, par l'ambition audacieuse de ses inventions, est peut-être le précurseur visionnaire de notre avenir énergétique...
Tout ton texte est très bien, mais tu n'étais pas obligé de terminer par une telle pensée. J'irai même jusqu'à dire que cela décrédibilise un peu tout le reste qui était au dessus (comment une même personne peut avoir un tel esprit d'analyse mais être réduit à de telles conjectures sur Eric) . Faire passer Eric pour le précurseur visionnaire j'en doute, mais qu'il soit le précurseur visionnaire de notre avenir énergétique encore plus. Il n'a pour l'instant démontré que des Hypothèses sans aucunes démonstrations qui permettent de prouver l'exactitude de ses idées.
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eric d
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Re: ERIC D

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il nya donc rien qui puisse contre dire la parole de silver avec laquelle je suis bien d'acord. :D
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olivemiller
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Re: ERIC D

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Bien joué Silver0l. Il n'y a plus qu'à attendre la venue de Koko, Nanga ainsi que l'analyse de Valvet :wink:
Dernière modification par olivemiller le 10 févr. 2015 19:43, modifié 1 fois.
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Re: ERIC D

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je vend des central solaire a tour thermodynamique d'une puissance de 100 Kwh. normalement ca produit de l'energie a 5 centimes le kwh, c'est l'objectif. l'investissement est de 300000 a 400000 euros pour qui souhaite acquérir sa central. et donc évidement la centrale , en plus de vendre du courant peu vendre de l'azote liquide direct au particulier.

voila c'est une petite faille dans le développement de silver et de l’ensemble des visionner de l’énergie.

Pas besoin de subvention, pas besion d'avoir des centaines de millions, l'energie pour tous !

le thermodynamique marche que a partir du sud de la france, mais on peu produire en espagne. il ya au moins 50 % de la planete , ou ca marche.

ah oui, j'ai un démonstrateur.
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eric d
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Re: ERIC D

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voila, ya plein d'endroit dans le monde ou c'est cool et ou l'on peu faire fortune avec ma central solaire avec le moteur, selon le brevet.


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Re: ERIC D

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eric d a écrit :je vend des central solaire a tour thermodynamique d'une puissance de 100 Kwh. normalement ca produit de l'energie a 5 centimes le kwh, c'est l'objectif. l'investissement est de 300000 a 400000 euros ...
Heuuu tu dis Kwh, devons comprendre kWh ?
Si c'est le cas ça nous fait 300k€ pour produire une énergie de 100kWh => 3000€ par kWh c'est très différent de 0,05€/kWh.

Donc plutôt que Kwh ou kWh, nous devons peut-être comprendre kW (à vélo, si tu pédales à 300W pendant 1/2 heure, tu as produit 150Wh). Donc pour produire de l'énergie à 5 centimes (d'euros ?) / kWh, il faut produire 300 000€ / ( 100kWh x 0,05€/kWh) = 60 000 heures. En considérant un chiffre énorme de 10 heures de prod / jour, ça nous fais déjà plus de 16 ans pour amortir la centrale. Ensuite il faut au minimum ajouter quelques frais d'entretien - maintenance et des frais financiers. Tes chiffres sont tout simplement du n'importe quoi...
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Re: ERIC D

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FAYARD a écrit :Silver, tu peux pas dire que le nucléaire est sûr !!! Fukushima a rayé de la carte une partie du Japon !!! Si demain la même catastrophe se produit dans une centrale nucléaire sur les bords du Rhône, tu déplaces 2 millions de personnes et tu ruines une des régions les plus dynamiques de France !!!!
D'une part, je ne crois pas que le Rhône soit sujet aux tsunamis, et d'autre part, tu succombes à la grande confusion entretenue par les medias autour de Fukushima.

Fukushima est une catastrophe abominable, mais les medias entretiennent volontairement ou non une énorme confusion entre:
- le séisme et le tsunami, phénomènes complètement naturels, qui ont causé des désastres majeurs et la mort de plus de 15 000 personnes
- l'accident nucléaire, grave, mais qui n'a causé aucune mort. Selon l'OMS, les conséquences sanitaires anticipées des doses d'irradiations reçues par la population générale au Japon et en dehors sont minimes : les niveaux d'incidence prédits par les modèles sont faibles, et aucune augmentation observable du taux de cancer n'est attendue.
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Re: ERIC D

Message non lu par eric d »

effectivent cest 100 kwh par heure donc une puissance de 100 kw, mais la centrale produit 24 h sur 24 , 365 jour par an puisque elle est capablede stocker de lenergie, et cest justement cela qui fait sa competitivité, un moteur de faible puissance , donc moins cher , suffit a produire un grand nombre de kwh en cinq ans et non 16 ans. de plus comme la centrale produit de lazote liquide qui remplace le petrole, l'amortissement est encore plus rapide meme avec un baril a 60 dollards.
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Re: ERIC D

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FAYARD a écrit :Silver, tu peux pas dire que le nucléaire est sûr !!! Fukushima a rayé de la carte une partie du Japon !!! Si demain la même catastrophe se produit dans une centrale nucléaire sur les bords du Rhône, tu déplaces 2 millions de personnes et tu ruines une des régions les plus dynamiques de France !!!! Quand au stockage des déchets, c'est un casse tête puisqu'ils vont être dangereux pendant des centaines de milliers d'années soit bien plus de temps que l'humanité actuelle !!! Comment transmettre le message à une population d'ici 25 000 ans alors qu'on ne sait même pas comment va évoluer la situation de l'homme sur les 50 prochaines années !!!!
Le nucléaire est dangereux à court terme et à très long terme.
tu lis trop charli hebdo
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Re: ERIC D

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toi tu devrais le lire :roll:
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Re: ERIC D

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pas de souci

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Re: ERIC D

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