bon ça ne t'a peut-être pas plu, c'était peut-être, sûrement d'ailleurs à côté de ta réalité et de la façon dont tu la ressens. Ton post de départ c'est quand même un appel à l'aide, et moi j'ai essayé à ma manière de t'aider OK ? Copains 
? . Pour ton problème on pourrait te suggérer le psy, le yoga, la sophro ou la peinture sur soie...il y a des méthodes pour calmer son stress qui parfois se retourne d'une façon agressive contre soi-même ou les autres ("anger management" comme disent les ricains) ou confine à l'autisme (tu parles de renfermement). Ces méthodes font appel à des spécialistes, des professionels, des thérapeutes, des coachs etc...et elles ont toutes du bon en fonction du cas, du praticien...et du sujet !
ET il y a aussi la simple introspection, accessible à tout un chacun, le dialogue avec soi-même, pour mieux se comprendre puis mieux agir. Pour ma part c'est ce que je préfère ! Pour ça il faut se poser les bonnes questions sur soi-même et être pragmatique et positif. Identifier clairement les obstacles internes que l'on rencontre, définir clairement les objectifs psychologiques que l'on se donne.
Et évidemment quand on dit ça ça peut paraître tellement banal, flou voir pompeux ou moraliste, donneur de conseils etc... ! Pourtant ça marche ! Mais c'est un travail permanent, et ça on l'oublie tellement vite que souvent dans la vie de tout les jours on se subit plus que l'on ne se crée tel que l'on veut être vraiment. Tel que l'on a choisi d'être. Avoir une vision de toi-même en course différente de ce que tu dis être ou devenir en course (agressif, renfermé) et décider de l'adopter, choisir de la vivre, c'est ce qui va t'aider à coller petit à petit à cette attitude idéale.
Si tu dis "en course je suis renfermé et/ou agressif" et que tu veux "gérer cette métamorphose" donc au lieu de te subir tel que tu n'aimes pas être tu vas CHOISIR d'être et de te comporter comme tu l'a visualisé avec force (en terme d'attitude, de réactions etc...). Tu vas te créer. Tu vas consciemment submerger ton inconscient d'une nouvelle image de toi-même jusqu'a ce qu'il l'accepte, si bien qu'en retour celui-ci vas te rendre des pensées et des réactions en accord avec cette image.
Si tu ne penses qu'une fois à cette image, cela n'aura AUCUN effet. Si tu y pense chaque jour, clairement, avec confiance, cela deviendra petit à petit au fond de toi comme une évidence.
En ce sens, c'est la dimension spirituelle du tri. Ca veut pas dire religieux, ni sectaire, ni ésotérique, ça parle juste de la façon que l'on a en esprit de vivre le triatlhon et comment cela englobe sa vision du monde et surtout sa vision de soi-même. Ok, on pourrait parler de psychologie, la terminologie est plus disons rassurante...mais bon c'est pas ton corps qui décide d'aller te dépouiller sur la route, c'est pas lui qui décide de faire l'effort, ou soudainement d'avoir la haine ou de rentrer dans ta coquille ! C'est pas lui qui trouvera ta solution à ce problème qui tu le dis toi-même t'inquiète. Ca ça se fera dans et par ton esprit. Et à mon avis si t'arrives pas à déméler tes propres sentiments, émotions, pensées etc...l'idéal c'est de consulter un sophrologue spécialisé dans le sport. Il sera parfaitement placé pour te guider, avec une méthode qui a fait ses preuves. Ce que je te dis moi doit te sembler du bla-bla
, mais lui te fera comprendre la grande interaction qui existe entre la conscience et l'inconscient puis leurs effets sur le corps. Et il t'aidera à agir toi-même sur ton esprit (allez, ton mental si tu préfères, ta conscience, ta psychologie). Ben quoi, on va pas te conseiller du prozac 
!Allez, que la Force soit avec toi. Et sois pas si dur avec toi-même, un zeste d'agressivité bien canalisée c'est tout bon.
!!! Hahaha non je rigole. Bien entendu le fair-play et la noblesse du comportement sportif est ce vers quoi il faut tendre, quelque chose à quoi il faut s'efforcer d'adhérer naturellement, sans contrainte, comme une logique du comportement respectueux des autres dans le cadre d'une pratique collective.
). D'ailleurs c'est UN des moteurs de la performance, mais certainement pas le seul ni le meilleur !!!
, genre t'as la grosse dalle (une partie de ton cerveau traite ce besoin) mais t'es en période d'affutage pas de nutella (une autre partie traite cette exigence...) !!! Tu dois parler sérieusement à cette personne du sexe opposé mais tu n'arrives pas à détacher tes yeux de son décolleté 
...conflit de cerveaux 
! Alors qui a parlé de "schizophrénie sportive" ? Sportive ou pas, c'est bien cette multiplicité des cerveaux qui nous créent ces émotions contradictoires ! 
