dans yvon tout est bon a écrit :Le sport doit intéger la non reussite......oui; la competition ne "l'authorise pas".
La compétition est la recherche simultanée d'un meme but par deux ou plusieurs personnes, groupe.
Ici ce meme but est la victoire. Donc on ne peut je pense, integrer la "non reussite" à la competition. Mais pour ce qui est du sport proprement dit, hors competition, cela va de soi, je pense que l'on ne peut pas parler de "non réussite" car la personne qui fait son footing dominicale à 8-10 km/h, ne gagnera jamais un marathon certe, mais obiendra un bénéfice de santé et de bien etre, de par celui ci. Donc, il y aura réussite dans le but recherché.
Et pour moi la personne qui effectue un marathon en 5h, ne le fait pas pour la competition mais pour le sport, donc je pense qu'on ne peu pas, ici, parler de non réussite.
Je parlerais plutot de "non réussite" pour celui qui fait 9ème alors qu'il visait la victoire...
ouais tout juste
par ailleurs je ne comprends pas pourquoi il dit :
Autrefois, on s'appuyait sur deux valeurs médiévales: plus haut, plus fort. Ce n'est qu'au XXe siècle que l'on y a ajouté plus vite.
; en quoi rechercher à aller plus haut ou plus fort dénote moins de compétitivité ?
par ailleurs IIème ! il réduit les champions à de simples cocus génétiques
Aujourd'hui, applaudir celui qui écrase tout le monde, c'est applaudir l'erreur génétique!
ça me défrise un peu de voir tout rapporté à la prédestination ; en plus c'est un peu craché dans la soupe de sa part.
en bref, je le préfère avec Montel aux Mondiaux d'athlé.
quand Yvon dit que le but de la compèt est la victoire il parle de ceux susceptibles de gagner. Je dirais que c'est, plus généralement, ça pourrait être devant le plus de monde possible ?
quand à la fascination du haut niveau : un sondage serait intéressant ici pour savoir combien parmi nous se sont mis au tri en voyant des images d'Hawaii ou de Sydney.
sans aucune provoc ni idée arrêtée de ma part, ne serait-ce pas plutôt les masses qui "desservent" le haut niveau ? je m'explique : dès lors que la masse sans être péjoratif s'intéresse à quelque chose le fric arrive, on quitte le monde des passionnés, des marques de lave-linge sponsorisent des athlètes parce qu'ils ont un pouvoir sur Mr Tout-le-monde en tant qu'acheteur et pas comme sportif.