Que faire pour aller plus vite, plus loin, plus longtemps? Ici on débat de tout ce qui touche de près ou de loin à la préparation physique et mentale (y compris les clubs).
Boulegan a écrit :
Moi, c'est jamais en dessous de 12°, quand ça tape les 14, 14.5°, ça devient vraiment intéressant, un 100 % syrah par exemple, pour peu que les tannins soient bien ronds, soyeux, équilibrés => post Vin
un Croze de chez Chapoutier, hein!?
Disons plutôt un Cote-Rotie, La Mordorée 1998
....rombière!!!!!!
J'ai dans les bottes des montagnes de questions où subsiste encore ton écho. Baschung
Je me vois mal m'attaquer à Embrun (puisque c'est mon objectif pour l'instant), avec 5 000 bornes.
Actuellement je fais des sorties entre 70 et 90 kms, moins de la moitié du parcours d'Embrun, et je ne me sentirai pas de me taper un marathon dérrière.
Alors comment faîtes-vous?
Deffective, je suis d'accord avec toi quant au fait de "souffrir" lorsqu'on fait du sport, si on veut progresser il faut se rentrer dedans.
Je veux bien que chacun peut repousser ses limites, mais là ce serait encore plus que les repousser.
C'est pour ça que je me pars sur une base de 9 000-10 000 kms de vélo d'ici Embrun.
Mon ami d'entrainement à boucler 2 fois la course en 14h/14h30, et il abordait la course avec 3500/4000 bornes montagnes !
Tout dépend aussi ton objectif !!
Si tu prépare un marathon, tu vas pas courir 42 bornes à chaque entrainement ????
La qualité est souvent plus payante que la quantité !!!
Tu rajoute qques commando fdf, ça te donnera la pèche !!!!!!!!
pour info je connais un triathlete qui lorsqu il reconnait le parcours velo d embrun se sent incapable de courrir derriere....et pourtant il l a fait et refait et tres bien le jour j
ben moi j'ai pas compté cette année et de toutes façons depuis embrun c'est plus qu'anecotique, mais en Mai, le cumul de mes 3 plus grosses sorties faisait...1350 bornes, soit 450 bornes de moyenne par sortie. qui dit mieux?
ptitlance a écrit :pour info je connais un triathlete qui lorsqu il reconnait le parcours velo d embrun se sent incapable de courrir derriere....et pourtant il l a fait et refait et tres bien le jour j
Ben moi, la première fois que j'ai reconnu le parcours d'Embrun, c'était le 15 août 1990. Eh bien à la fin du vélo, je me suis senti incapable de courir derrière Et pourtant, j'ai couru, si on peut dire , 4 h 02'. Et c'était mon premier "marathon".
Allez, allez, arrêtez de vous posez des questions, laissez de côté le Polar et foncez
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
pmptri a écrit :ps: ceci un échange au troisième degré trop rarement pratiqué de nos jours...un peu comme le pignon fixe!
Moi, c'est jamais en dessous de 12°, quand ça tape les 14, 14.5°, ça devient vraiment intéressant, un 100 % syrah par exemple, pour peu que les tannins soient bien ronds, soyeux, équilibrés => post Vin
valens13 a écrit :Deffective, je suis d'accord avec toi quant au fait de "souffrir" lorsqu'on fait du sport, si on veut progresser il faut se rentrer dedans.
Je veux bien que chacun peut repousser ses limites, mais là ce serait encore plus que les repousser.
C'est pour ça que je me pars sur une base de 9 000-10 000 kms de vélo d'ici Embrun.
les limites sont dépassées quand tu meurt ou quand plus rien ne repond et que tu ne peut plus faire autrement que de tomber par terre.
et ça arrive aussi sur des 400m course à pied. j'ai deja vu des mecs tomber 30m avant la ligne d'arrivé tellement ils étaient au taket.
comme dit scott molina, dans le tri ironman c'est un malaise lourd et lent qui s'installe. plus les kil défilent plus tu t'affaibli c'est ça qu'il faut gérer : etre a fond mais selon la forme du moment.