BENEDICTO DANS L'EQUIPE MAG
BENEDICTO DANS L'EQUIPE MAG
Pour information, beau petit sujet ce matin dans l'Equipe Mag sur l'adorable et toujours souriante Juliette Bénédicto, notre championne du monde juniors.
Une page dans la catégorie des espoirs à suivre. J'essaie de trouver une astuce en interne pour vous récupérer le texte et le mettre dans le forum. @+
Eh bien voilà, aussitôt dit, aussitôt fait. Ci-dessous le texte du papier de L'Equipe Mag écrit par Laurent Acharian.
UN SOIR DE MAI À MADÈRE. Juliette Benedicto est au piano de l’hôtel. Elle vient de devenir championne du monde juniors de triathlon et ne peut plus s’arrêter de jouer. « J’avais besoin de m’envoler. Pendant toute la semaine, j’ai joué. Ce soir-là, j’ai beaucoup répété Mistral Gagnant de Renaud », se souvient la jeune fille. Il faut dire qu’elle avait de quoi être heureuse :« Le parcours était fait pour moi. Il n’y avait que 700 mètres de natation, mon point faible,et le vélo était vraiment très dur, avec un pourcentage qui pouvait atteindre les 20 %. Moi, plus ça monte, plus j’aime », se souvient la triathlète, qui a rejoint le pôle France de Montpellier en septembre. Sortie 15e de l’eau, à 50 secondes de la première, elle a refait son retard à vélo avant de parachever son exploit lors des 5 kilomètres de course à pied.« C’est sa force. L’an passé, elle faisait partie de l’équipe de France de cross-country après sa troisième place aux Championnats de France juniors », souligne Pascal Choisel, entraîneur national. Depuis, l’athlète licenciée à Brive a obtenu son bac S avec mention et n’a pas voulu aller en classes préparatoires pour pouvoir mener de front toutes ses passions.«Je me suis inscrite en BTS photographie. Ce matin, j’étais à la piscine pour faire des photos des nageurs du pôle France à travers les hublots », indique la championne. Parallèlement, elle continue à faire du piano une heure par jour. Tout y passe : Franz Schubert mais aussi Pascal Obispo et Francis Cabrel. En novembre, elle a reçu le trophée Micheline-Ostermeyer, qui récompense les sportifs qui savent allier leur activité à une discipline artistique.« Le piano me détend. Il y a pas mal de points communs avec le sport. Là aussi, pour réussir, il faut faire ses gammes. C’est la seule manière pour que cela s’inscrive dans ton cerveau. » Contrairement à beaucoup de triathlètes, Juliette Benedicto a fait d’emblée toutes les disciplines du triathlon, sur le modèle de ses parents, champions d’Aquitaine en vétérans, mais aussi de son frère, troisième des Championnats de France cadets en 1999. « Cela ne fait pas tout, prévient cependant Juliette. Quand j’allais à la piscine, je n’étais bien que sous la douche. » Juste avant les Jeux d’Athènes, elle a participé au stage de l’équipe de France de triathlon pendant deux semaines. De quoi mesurer le travail qui lui restait à accomplir :« Ils enchaînaient 120 kilomètres de vélo avec du fractionné. Pour moi, ça fait encore un peu trop. » Pas de quoi inquiéter son entraîneur, Pascal Choisel, qui constate d’ores et déjà de nets progrès chez sa protégée.« Il se passe quelque chose en ce moment. En natation, elle a battu ses records aux évaluations de décembre, notamment ceux du 400 m et du 800 m. » Les choses sérieuses commenceront fin mai avec les Championnats de France juniors, suivis des Europe fin juillet. À 18 ans, Juliette a encore le temps de se préparer, elle qui avoue sans détour faire des prochains Jeux son principal objectif. Mais elle n’est pas la seule. À Madère, une autre Française, Camille Cierpik, a fini cinquième.
Eh bien voilà, aussitôt dit, aussitôt fait. Ci-dessous le texte du papier de L'Equipe Mag écrit par Laurent Acharian.
UN SOIR DE MAI À MADÈRE. Juliette Benedicto est au piano de l’hôtel. Elle vient de devenir championne du monde juniors de triathlon et ne peut plus s’arrêter de jouer. « J’avais besoin de m’envoler. Pendant toute la semaine, j’ai joué. Ce soir-là, j’ai beaucoup répété Mistral Gagnant de Renaud », se souvient la jeune fille. Il faut dire qu’elle avait de quoi être heureuse :« Le parcours était fait pour moi. Il n’y avait que 700 mètres de natation, mon point faible,et le vélo était vraiment très dur, avec un pourcentage qui pouvait atteindre les 20 %. Moi, plus ça monte, plus j’aime », se souvient la triathlète, qui a rejoint le pôle France de Montpellier en septembre. Sortie 15e de l’eau, à 50 secondes de la première, elle a refait son retard à vélo avant de parachever son exploit lors des 5 kilomètres de course à pied.« C’est sa force. L’an passé, elle faisait partie de l’équipe de France de cross-country après sa troisième place aux Championnats de France juniors », souligne Pascal Choisel, entraîneur national. Depuis, l’athlète licenciée à Brive a obtenu son bac S avec mention et n’a pas voulu aller en classes préparatoires pour pouvoir mener de front toutes ses passions.«Je me suis inscrite en BTS photographie. Ce matin, j’étais à la piscine pour faire des photos des nageurs du pôle France à travers les hublots », indique la championne. Parallèlement, elle continue à faire du piano une heure par jour. Tout y passe : Franz Schubert mais aussi Pascal Obispo et Francis Cabrel. En novembre, elle a reçu le trophée Micheline-Ostermeyer, qui récompense les sportifs qui savent allier leur activité à une discipline artistique.« Le piano me détend. Il y a pas mal de points communs avec le sport. Là aussi, pour réussir, il faut faire ses gammes. C’est la seule manière pour que cela s’inscrive dans ton cerveau. » Contrairement à beaucoup de triathlètes, Juliette Benedicto a fait d’emblée toutes les disciplines du triathlon, sur le modèle de ses parents, champions d’Aquitaine en vétérans, mais aussi de son frère, troisième des Championnats de France cadets en 1999. « Cela ne fait pas tout, prévient cependant Juliette. Quand j’allais à la piscine, je n’étais bien que sous la douche. » Juste avant les Jeux d’Athènes, elle a participé au stage de l’équipe de France de triathlon pendant deux semaines. De quoi mesurer le travail qui lui restait à accomplir :« Ils enchaînaient 120 kilomètres de vélo avec du fractionné. Pour moi, ça fait encore un peu trop. » Pas de quoi inquiéter son entraîneur, Pascal Choisel, qui constate d’ores et déjà de nets progrès chez sa protégée.« Il se passe quelque chose en ce moment. En natation, elle a battu ses records aux évaluations de décembre, notamment ceux du 400 m et du 800 m. » Les choses sérieuses commenceront fin mai avec les Championnats de France juniors, suivis des Europe fin juillet. À 18 ans, Juliette a encore le temps de se préparer, elle qui avoue sans détour faire des prochains Jeux son principal objectif. Mais elle n’est pas la seule. À Madère, une autre Française, Camille Cierpik, a fini cinquième.
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vincent_tri
- Messages : 965
- Inscription : 16 oct. 2004, 16:48
mais hélas... 
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pierre guivarc'h
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idemvincent_tri a écrit :et ben moi je suis fan de juju!!!!!(+ que fan???)
www.cyber-sport.fr (Arrivage Newton Running)
