En l'occurrence, Vittoz est arrivé et Fourcade est passé totalement au travers de sa saison 2018-2019.
Il ne mettait plus un pied devant l'autre à ski.
CQFD
En l'occurrence, Vittoz est arrivé et Fourcade est passé totalement au travers de sa saison 2018-2019.
Et puis on sent que Martin F. a vieillit, il n’est plus aussi étincelant qu’avant, il n’est même plus le meilleur français, là aussi la logique est respectée. Y a pas de miracle, on est pas dans le cyclisme où les vieux arrivent à dominer les jeunes. J. BOE est très fort, il domine outrageusement aujourd’hui, mais il ne sort pas du chapeau, ça fait quelques années qu’il est sur le circuit et il a été matté par Fourcade jusqu’à l’année dernière.
Concernant l’article du Monde sur le dopage dans le ski de fond (car il ne traite pas du biathlon en fait), il faut y aller avec prudence. L’un des arguments avancés est la variabilité du taux d’hématocrite. En réalité, si c’est décoléré du calendrier des compétitions, cela ne veut pas dire grand-chose. Du temps où je courrais, il m’est arrivé d’avoir un taux d’hématocrite légèrement supérieur à 50 après un séjour de 15 jour en altitude, au ski. A l’inverse, je pouvais descendre sous les 40 après une course à étape montagneuse d’une semaine (fatigue importante). Avoir 52 d’hématocrite en janvier et 39 en juillet n’a strictement aucun intérêt pour un coureur cycliste donc les objectifs sont sur l’été. Il y a variabilité importante sur l’année (13 points), parfaitement logique, sans aucune pratique dopante… Ce qui pose problème, c’est ceux qui ont 49 d’hématocrite le 1er jour de course et toujours 49 au bout de 7 jours (voir au bout de 21 jour sur les grands tours !). Donc on pourrait avancer l’argument inverse comme signe de dopage : avoir 49 toute l’année, quelle que soit la charge de travail.FAYARD a écrit : ↑22 déc. 2019, 19:04Tu nous sors un article qui parle des fondeurs et du combiné, pas du biathlon, ou alors comme je ne suis pas abonné, ils en parlent peut être dans le reste de l’article, mais je n’ai pas pu le lire.
Merci pour la précisionPEB a écrit : ↑23 déc. 2019, 12:47Concernant l’article du Monde sur le dopage dans le ski de fond (car il ne traite pas du biathlon en fait), il faut y aller avec prudence. L’un des arguments avancés est la variabilité du taux d’hématocrite. En réalité, si c’est décoléré du calendrier des compétitions, cela ne veut pas dire grand-chose. Du temps où je courrais, il m’est arrivé d’avoir un taux d’hématocrite légèrement supérieur à 50 après un séjour de 15 jour en altitude, au ski. A l’inverse, je pouvais descendre sous les 40 après une course à étape montagneuse d’une semaine (fatigue importante). Avoir 52 d’hématocrite en janvier et 39 en juillet n’a strictement aucun intérêt pour un coureur cycliste donc les objectifs sont sur l’été. Il y a variabilité importante sur l’année (13 points), parfaitement logique, sans aucune pratique dopante… Ce qui pose problème, c’est ceux qui ont 49 d’hématocrite le 1er jour de course et toujours 49 au bout de 7 jours (voir au bout de 21 jour sur les grands tours !). Donc on pourrait avancer l’argument inverse comme signe de dopage : avoir 49 toute l’année, quelle que soit la charge de travail.
Mon propose n’est pas de dire qu’il n’y a pas de dopage. C’est un fléau qui m’a écœuré du haut niveau. Mais il ne faut pas extrapoler sur des bribes d’informations qui ne permettent pas d’avoir une vision globale. Ce sont des accusations graves qui doivent être étayées scientifiquement (seule manière dont nous disposons pour « objectiver » un jugement) et non par des supputations qui, in fine, décrédibilisent la lutte contre le dopage.
Boulegan a écrit : ↑23 déc. 2019, 09:57La différence de niveau entre nations s'explique aussi par l'investissement et les moyens que mettent les fédérations dans cette discipline.Pelvoux a écrit : ↑22 déc. 2019, 13:03 Biathlon: ca sent pas bon.
Chez les gars, des francais et des norvegiens qui font passer les autres nations pour des amateurs.
Boe qui pourraient gagner a 15 ou 16 sur 20 tranquille.
J ai cru revoir festina/ telekom de 97 sur la mass start du grand bornand....
On part a bloc des le debut, ne reste plus que des norvegiens et des francais avant meme le premier tir.
Sur les 10 premiers, 4 norvegiens, 4 francais.
Et eder qui finit 7 ou 8 comme si il avait gagne....
Le fartage? Les autres sont des truffes alors...
En Norvège, le biathlon, c'est quasi le sport-roi, J.-T Boe est célébré en héros dans son pays.
En France, Martin Fourcade a un statut de quasi légende, au même titre que Teddy Riner. Il est multiple champion olympique et ces médailles ramenées des JO, c'est du bain béni pour la FFS qui voit ses moyens multipliés par X.
Je serais curieux de connaitre, du reste, l'argent brassé dans le biathlon du temps de Raphaël Poiré et aujourd'hui avec cette génération incroyable (Fourcade, Fillon-Maillet, Desthieux, Guignonnat, Jacquelin).
Pour ce qui concerne les épreuves Grand Bornand, surtout hier dimanche, les conditions étaient compliquées avec une neige mouillée, collante. Le fartage est primordiale et le savoir-faire des techniciens est le facteur X de la réussite. Quand tu vois les reportages sur les techniciens de l'EdF de biathlon, tu te dis que c'est presque de la F1 ! Les types testent les skis (en général 3 paires par athlète) avec différents farts, puis éliminent une paire, en gardent deux, re-testent les deux paires, changent de skis (pied droit-pied gauche pour tester la glisse) et enfin, font essayer la meilleure paire à l’athlète.
Quelles nations a les moyens de faire ça ? Quelles nations a les moyens de payer 6-8 techniciens ski, des entraineurs de tir de haut-niveau, kinés, attachés de presse, etc. Au sujet des entraineurs de tir, les 3-4 meilleurs nations en biathlon ont dans leurs rangs, les 4 meilleurs entraineurs de tir. Ya pas de hasard.
On ne prête qu'aux riches, dans le sport y compris.
Benedikt Doll a quand même gagné le sprint du Grand Bornand jeudi dernier avec une vitesse à ski supersonique.abdo_kassou a écrit : ↑23 déc. 2019, 21:01 Ceci dit, les Allemands ont me semblent ils de gros moyens et ont du mal (mais ils sont specialistes pour commencer doucement et avoir leur pic de forme en janvier).
Même si c'est le cas, quelle bêtise… Tu sais qu'il y a des contrôles, tu sais que la cocaine se détecte facilement… comment peux tu passer 20 ans de ta vie à travailler pour atteindre ton but, et te laisser aller à prendre de la coke en soirée ?FAYARD a écrit : ↑03 janv. 2020, 12:14 https://www.lequipe.fr/Patinage-artisti ... ne/1094887
Ça sent plus la ligne de coke au cours d’une soirée qu’un dopage classique, mais au final ça pourrait lui coûter cher !!!
Allez savoir, c'est peut-être son kiné qui lui injecté les urines de Frédéric Beigbeder direct dans la vessie pendant qu'elle dormaitshika a écrit : ↑13 janv. 2020, 07:37 Ça ne semble pas être le cas apparement:
https://www.lequipe.fr/Patinage-artisti ... er/1095161
Alors elle est bête à manger du foin si c’est confirmé pour la prise lors de la competshika a écrit : ↑13 janv. 2020, 07:37 Ça ne semble pas être le cas apparement:
https://www.lequipe.fr/Patinage-artisti ... er/1095161
Pantani, UIlrich... pour moi ça n'intérroge pas et ce n'est pas vraiment nouveau...