Salut tout le monde,
J'entends bcp les athlètes parler d'amélioration de la VMA comme un passage obligé pour améliorer ses performances, que ce soit son endurance ou ses seuils.
Si je comprends bien le discours, étant donné que les seuils sont placés à des % de la VMA, si on améliore la VMA, on repousse les seuils.....est ce que je suis dans le vrai ????
L'autre école, prétend que fractionner à des vitesses proches de la VMA est traumatisant et peu utile étant donné qu'en course, on court dans le meilleur des cas au seuil (DO) --> Cf R.Debureau (au fait qu'est ce qu'il devient celui là ??) ou autres. De plus, la VMA étant un paramètre fortement lié à la biomécanique (fatigue du jour, terrain, météo...) il apparait moins fiable que l'utilisation des % seuil anaérobie qui sont plus organiques (peu de variation sur une période donnée)
Mon avis personnel (triathlète moyen -, laborieux, mais coriace...) est que pour les athlètes désirant faire du sport "santé/loisirs" et travailler sur le long terme, il vaut mieux privilégier l'endurance, le fartlek et le développement du seuil anaérobie
Et vous ?
A+
Renaud
VMA et seuils
VMA et seuils
Il n'y a pas de vent favorable pour celui qui ne connait pas son port
Vaste sujet....
Bref, je pratique le triathlon depuis 11ans maintenant, et ma propre expérience me fait dire...qu'il n'y a pas de vérité absolue...nous avons tous des physiologies différentes. Par exemple, un triathlète X peut avoir une VMA de 18Km/h et soutenir cet effort pendant 4mn. Un triathlète B peut avoir la même VMA et soutenir l'effort pendant 8mn. D'après la théorie de Véronique Billat, il faut fractionner sur une durée double du temps de soutien avec des 30/30 par exemple. Donc, attention à ne pas fractionner n'importe comment au niveau de la durée d'effort...
Tout ça pour dire, qu'il faut améliorer sa VMA au maximum, mais bon il ne faut espérer beaucoup de progression pour un triathlète déjà confimé.
Par contre, le temps de soutien aux alentours du seuil est important pour nous, c'est grosso modo notre allure de course sur CD.
Je vais donc faire une réponse de "normand" : privilégier un cycle d'augmentation de VMA puis travailler en allure 2 et allure 2+ ce qui correspond à 85%VMA et 90%VMA. Mais ce n'est que mon humble avis...
Bref, je pratique le triathlon depuis 11ans maintenant, et ma propre expérience me fait dire...qu'il n'y a pas de vérité absolue...nous avons tous des physiologies différentes. Par exemple, un triathlète X peut avoir une VMA de 18Km/h et soutenir cet effort pendant 4mn. Un triathlète B peut avoir la même VMA et soutenir l'effort pendant 8mn. D'après la théorie de Véronique Billat, il faut fractionner sur une durée double du temps de soutien avec des 30/30 par exemple. Donc, attention à ne pas fractionner n'importe comment au niveau de la durée d'effort...
Tout ça pour dire, qu'il faut améliorer sa VMA au maximum, mais bon il ne faut espérer beaucoup de progression pour un triathlète déjà confimé.
Par contre, le temps de soutien aux alentours du seuil est important pour nous, c'est grosso modo notre allure de course sur CD.
Je vais donc faire une réponse de "normand" : privilégier un cycle d'augmentation de VMA puis travailler en allure 2 et allure 2+ ce qui correspond à 85%VMA et 90%VMA. Mais ce n'est que mon humble avis...