jmboma a écrit :Tung a écrit :jmboma a écrit :Toute la masse qui va plonger dans l'eau va te freiner. Plus ton corps sera haut dans l'eau, moins d'énergie tu vas dépenser.
Y a diverses écoles je crois sur cette théorie.
Il y a celle qui dit que la partie du corps exposée aux remous de la surface est aussi exposée à des perturbations néfastes à la glisse. Celui qui dit ça est aussi celui qui fait la plus longue coulée en compétition (M. Phelps). Mais là on parle de de 15m maxi ... toutefois il a pas tort le bonhomme.
Non il n'y a pas plusieurs écoles.
La coulée est le moyen le plus rapide pour évoluer dans l'eau mais c'est très éphémère... Mais nous parlons de triathlon, donc à minima de 750m de natation...
Pour être le plus efficace il faut minimiser les résistances, dans l'eau et dans l'air. Donc la solution c'est d'être le plus horizontal possible à l'interface de l'air et de l'eau, à chacun d'y trouver son équilibre.
Bonjour!
C'est vrai que les remarques et conseils sur les coulées relèvent de la technique en bassin. Ces techniques peuvent néanmoins déclencher des déclics d'apprentissage, des automatismes et faciliter les entraînements (j'apprends par exemple la culbute aux triathlètes que j'entraîne dans ce but), donc à terme s'avérer utiles en tri ou eau libre.
La clé pour avancer réside en la diminution des résistances, comme dit jmboma, avec la meilleure horizontalité possible, mais avec le plus possible du corps dans l'eau, même si la résistance dans l'air est moindre, car tout ce qui est au-dessus de la surface enfonce le reste dans l'eau, c'est de la physique.
La surface est une zone de remous, surtout avec de nombreux nageurs proches les uns des autres, et cette zone perturbée, on est condamnés à y évoluer. En revanche, pour les appuis, au plus profond ils seront, au plus ils seront appliqués sur une masse d'eau stable, donc efficaces.
A+!